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Existe-t-il un virus plus grave que le VIH ?

Existe-t-il un virus plus grave que le VIH ?

Existe-t-il un autre virus au monde qui soit plus effrayant que le VIH ? Tout d'abord, pour répondre à cette question, nous devons comprendre à quel point l'existence du VIH nous effraie, et je vais maintenant vous parler de l'horreur du VIH : le VIH n'est pas directement mortel, ce qui est mortel, c'est la faible fonction du système immunitaire causée par l'infection du virus. Le VIH n'est donc pas trop effrayant par rapport à de nombreux virus directement mortels, mais il est effrayant dans le sens où il détruit le système immunitaire, un mécanisme très différent de celui d'autres virus. Voici une liste de virus mortels qui existent encore dans le monde et qui peuvent être considérés comme plus effrayants que le VIH.

Type I : virus de l'herpès B (80 % de mortalité) Le virus de l'herpès B est très nocif, avec un taux de mortalité de 80 %. L'herpèsvirus rhésus B est un virus simplex qui infecte les singes rhésus et se propage d'un hôte à l'autre par le biais d'infections des nerfs périphériques. Le virus affecte le système nerveux central et, s'il n'est pas traité, peut entraîner un déclin neurologique ou la mort. Parmi les principaux symptômes d'une infection virale figurent l'essoufflement, la coordination musculaire et la fièvre - c'est un virus qui fait peur !

Type II : virus de la rage (100 % de mortalité) Le virus de la rage est un neurovirus qui provoque la rage chez l'homme. Le virus se transmet par la salive des animaux ou les fluides corporels humains. Près de 55 000 personnes meurent de la rage chaque année. La maladie virale zoonotique est transmise par des animaux tels que les chats, les chauves-souris, les chiens, les singes et les mangoustes. Létal à 100 %, le virus est mortel car il affecte directement le cerveau et le système nerveux de l'homme et de l'animal. Les symptômes de l'infection virale peuvent aller de l'hydrophobie à l'incapacité de bouger. Si les symptômes apparaissent, le taux de mortalité est presque de 100 %. (J'ai été mordu par un chien quand j'étais enfant, j'ai été vacciné pendant une semaine et je tremble encore dans mes bottes.)

Le troisième : le virus de la variole, qui a aujourd'hui disparu et dont je n'ai pas besoin de vous dire à quel point il est horrible.

Il existe un certain nombre de virus plus effrayants que le VIH, et si nous devions dresser une liste des virus les plus effrayants, le VIH ne figurerait même pas dans le trio de tête. Jetons un coup d'œil à quelques-uns des virus les plus effrayants. (Classement subjectif, bien entendu, réfutation acceptée).

Tout d'abord, le virus de la grippe

Le virus de la grippe, bien qu'il y ait des épidémies chaque année, ne semble pas grave. Mais le virus de la grippe mute différemment chaque année, ce qui fait qu'il est difficile de le prévenir, par exemple par la vaccination. De plus, le virus de la grippe est transmissible par l'air, ce qui facilite sa propagation entre les personnes. Certaines mutations sont extrêmement meurtrières. Par exemple, la grippe espagnole a causé 19 millions de morts en peu de temps, un effet dévastateur qui ne peut être égalé par le virus du sida.


Deuxièmement, le virus Ebola

Il y a quelques années, l'Afrique de l'Ouest a connu une épidémie du virus Ebola qui a tué 8 000 personnes. Plusieurs de mes enseignants se sont rendus dans les zones infectées dans le cadre d'équipes d'aide médicale en Afrique.

Je pense que ce virus est également plus effrayant que le virus du SIDA.

Elle est très contagieuse et mortelle, et le taux de mortalité des personnes infectées peut même atteindre quatre-vingt-dix pour cent. Les patients infectés par le virus souffrent de défaillances multiples des organes et finissent par mourir.

Niveau de biosécurité quatre, un niveau plus élevé que le virus du SIDA, et plus le niveau est élevé, plus le virus est terrifiant.


Troisièmement, le virus de Marburg

Un virus aussi mortel que le virus Ebola, pour lequel il n'existe ni prévention ni traitement efficace et dont le taux de mortalité peut atteindre 100 % après l'infection. Également connu sous le nom de virus de la maladie du singe vert, il peut être contracté par les humains et les primates tels que les singes et les orangs-outans.

Le niveau de biosécurité est également de niveau quatre.

La maladie se déclare dans la semaine qui suit l'infection et le patient saigne de toutes les parties du corps, a une forte fièvre, vomit et meurt généralement dans la semaine qui suit.

En 2004, une épidémie en Afrique a tué 300 personnes.

Il s'agit d'une maladie de niche, moins répandue que le sida, mais dont le début est très violent.


À cela s'ajoutent l'hantavirus, le sras, la grippe aviaire et le virus de l'hépatite B, qui constituaient chacun un fléau majeur.

Cependant, le sida est aujourd'hui une tendance croissante. Nous devrions tous rester propres et nous prémunir contre ce virus.

C'est le cas.

Le VIH n'est pas considéré comme un virus très effrayant parce qu'il n'est pas très infectieux et ne peut être contracté que par le sang, les rapports sexuels et la transmission mère-enfant ; les infections plus graves doivent être transmises par l'air ou par contact, comme le virus de la grippe, qui est beaucoup plus infectieux que le VIH. Deuxièmement, le taux de mortalité du VIH n'est pas élevé et il faut attendre dix ans, voire des décennies, pour mourir de la maladie, alors que de nombreux virus meurent immédiatement après l'infection.

Le virus le plus horrible est sans aucun doute le virus historique de la variole, où presque tous les enfants ont été infectés et où 1/3 d'entre eux sont morts après l'infection, un virus qui infecte et tue les enfants si efficacement qu'ils n'ont aucune chance de devenir adultes et de se reproduire, et qui est très efficace pour contrôler les populations. L'élimination de la variole a été l'une des raisons de l'explosion démographique.

L'histoire de l'humanité peut atteindre le niveau du virus de la variole avec le virus de la grippe. La pandémie de grippe de 1918-1919 a tué entre 50 et 100 millions de personnes, faisant chuter l'espérance de vie par habitant aux États-Unis de 12 ans d'un coup, ce qui fait du virus de la grippe la plus grande menace pour l'humanité aujourd'hui. Le virus de la grippe est donc la plus grande menace à laquelle l'humanité est confrontée aujourd'hui. En raison de la grande mutabilité du virus de la grippe, le vaccin antigrippal actuel ne peut être administré que pendant un an, et le vaccin antigrippal annuel ne fonctionnera certainement pas en cas de pandémie mondiale de grippe. Le nombre de morts de chaque pandémie mondiale de grippe dans l'histoire se compte en millions, et dans une pandémie comme celle de 1918, le nombre de morts atteindra des centaines de millions, et ce en quelques mois seulement ! La pandémie de grippe est une période de l'histoire de l'humanité.

Les virus vicieux doivent être des virus d'origine animale, capables d'infecter l'homme par mutation et extrêmement virulents en raison de leur méconnaissance de l'environnement physique de l'homme, comme dans le cas de la grippe aviaire, dont le taux de mortalité est très élevé mais qui ne peut être transmise d'homme à homme, et dont le taux de mortalité n'est pas aussi élevé qu'il le serait si elle pouvait être transmise d'homme à homme.

Le premier des virus potentiellement dangereux est Ebola, qui a tendance à devenir progressivement plus contagieux et qui a toujours un taux de mortalité extrêmement élevé, mais qui n'a pas encore quitté l'Afrique.

Le second est le virus Nipah, qui a un taux de mortalité de 39 % et laisse plus de 50 % des survivants avec de graves lésions cérébrales, et qui, comme le virus Ebola, est également transmis par les chauves-souris. Il y a aussi le virus de Marburg, entre autres.

Davantage de virus se trouvent chez les animaux sauvages, et tant que l'homme continuera à envahir les territoires des animaux, les virus animaux continueront à muter et à pénétrer chez l'homme comme le VIH, créant ainsi de nouveaux fléaux.

Celui qui pense que le sida est le pire est probablement un jeune frère, mais quand on connaît le virus, on sait ce que signifie "désespoir" !

La menace que représentent les virus pour l'homme réside dans leurrisque biologiquePlus le risque biologique est important, plus les conséquences sont graves. Pour l'identification des niveaux de danger biologique, les quatre niveaux réglementés par les Centres de contrôle des maladies (CDC) des États-Unis sont actuellement dominants dans le monde :

premier niveau

Le risque pour l'homme, les animaux et l'environnement est faible, toutes les caractéristiques de l'agent pathogène sont connues et il ne provoquera pas de maladie chez les chercheurs. Une prévention efficace peut être obtenue par le contact avec des gants, le lavage des mains après le contact et le lavage des tables et des ustensiles touchés.


Cette classe comprend les personnes suivantesVirus de l'hépatite infectieuse canine (n'infecte pas l'homme), baculovirus (n'infecte pas l'homme), herpèsvirus du cobaye (n'infecte pas l'homme), herpèsvirus du singe écureuil (n'infecte pas l'homme), virus de la leucémie du spermophile doré (n'infecte pas l'homme), virus de la leucémie de la souris (n'infecte pas l'homme), virus de la leucémie du rat (n'infecte pas l'homme), adénomavirus mammaire de la souris (n'infecte pas l'homme), ribopolyédrovirus (n'infecte pas l'homme), virus adéno-associés de type 1 à 4 (n'entraînent pas de maladie). (n'infecte pas les mammifères), virus adéno-associé de type 1 à 4 (ne provoque pas de maladie).

deuxième niveau

Le risque pour l'homme et les animaux est modéré et le risque pour l'environnement est faible. L'agent pathogène est modérément infectieux, associé à certaines maladies humaines courantes et potentiellement dangereux.

Cette classe comprend les personnes suivantesVirus de l'hépatite A, virus de l'hépatite B, virus de l'hépatite C, virus de la grippe A, virus de la parainfluenza, virus respiratoire syncytial, parapneumovirus humain, virus EB, polyomavirus BK, cytomégalovirus, adénovirus, virus de l'herpès simplex de type 1 et 2, norovirus, virus de la rubéole, virus de la varicelle et du zona, virus Zika, VIH, et autres.

troisième niveau

Le risque pour l'homme et les animaux est élevé et le risque pour l'environnement est faible. L'agent pathogène est hautement infectieux (il peut être transmis en laboratoire par inhalation ou par piqûre accidentelle, etc.) et nécessite une protection spécialisée.


Cette classe comprend les personnes suivantesCoronavirus du SRAS, coronavirus MERS, néocoronavirus, virus de l'encéphalite du Nil occidental, virus de l'encéphalite équine vénézuélienne, virus de l'encéphalite équine de l'Est, virus de la fièvre de la vallée du Rift, virus de la fièvre jaune, flexovirus, Flaxovirus, hantavirus dans le laboratoire.

quatrième niveau

Le risque pour l'homme et les animaux est le plus élevé et le risque pour l'environnement est le plus élevé. L'agent pathogène est très contagieux ou a des propriétés inconnues en grand nombre, se caractérise par une morbidité et une létalité élevées et nécessite un niveau de protection élevé. En outre, il n'existe pas de vaccin ou de traitement efficace.

Cette classe comprend les personnes suivantesVirus de la fièvre hémorragique argentine, virus de la fièvre hémorragique du Congo, virus Ebola, virus Guanaretto, hantavirus infecté par des animaux, virus de l'herpès B, virus Hendra, Ribavirus, virus Marburg, virus Sabia, virus de la fièvre hémorragique de Lassa, virus de la forêt de Cossanour, virus de l'encéphalite à tiques, virus Lujo, virus Machupo, virus de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo, virus de la fièvre hémorragique d'Omsk.

Il est évident que le VIH, qui se trouve dans la deuxième catégorie, est un petit frère comparé aux virus qui se trouvent dans la quatrième catégorie de dangerosité.Savez-vous à quel point il est difficile de traiter un virus (ou une substance) biohazard de niveau 4 ?

Premièrement, elle doit être effectuée dans un laboratoire conforme au niveau 4 (BSL4 ou P4), dont l'accès est soumis à un contrôle très strict et qui doit être isolé sous pression négative afin d'éviter les fuites en cas de rupture. Deuxièmement, le personnel doit être séparé des objets à manipuler (par exemple, les objets sont placés dans des boîtes à gants à pression négative ou le personnel porte des combinaisons d'isolation complètes à ventilation indépendante).

À quel point ces virus sont-ils effrayants ? Il suffit de donner quelques châtaignes pour s'en rendre compte.


quatrième niveau

1. le "roi" - le virus Ebola

Apparue en 1976 en Afrique centrale, la maladie se manifeste sur une courte période, avec un taux de mortalité pouvant atteindre 90 %. Elle peut entraîner la destruction des organes internes du corps humain, les personnes infectées suintant le sang par tous les pores, mais aussi de nombreux films à suspense et romans à suspense dont elle est le "protagoniste".

Là où le virus Ebola est apparu, plus de 30 000 personnes sont mortes en l'espace d'un demi-mois, la grande majorité d'entre elles dans les 45 jours suivant l'apparition de la maladie. Si deux personnes sont infectées par la maladie, l'une d'entre elles mourra.

Le taux de mortalité à six mois de ce virus est de 53 %, soit le taux le plus élevé de tous les virus connus sur Terre. Il est classé par les centres américains de contrôle et de prévention des maladies comme une arme de bioterrorisme de premier ordre.

2. le virus de Marburg

Le virus de Marburg a fait la une des journaux en 1967 lorsque sept scientifiques européens sont morts alors qu'ils travaillaient sur des singes verts, et à nouveau dans les années 1980 lorsque le virus de Marburg s'est déclaré en Afrique du Sud, tuant 25 % des personnes infectées. Le virus de Marburg n'est pas moins horrible que le virus Ebola.

3. le virus de la fièvre de Lassa

La fièvre de Lassa est causée par un virus à grains de sable qui a été remarqué pour la première fois par des médecins dans les années 1950. Lorsqu'une personne est infectée par ce virus, ses organes internes saignent abondamment, sa tension artérielle chute de façon spectaculaire et son cerveau est endommagé. Une personne infectée sur sept meurt.

4. hantavirus

Les hantavirus présentent une diversité inhabituelle, peuvent évoluer avec leurs hôtes et sont transmis par divers rongeurs. L'infection humaine se traduit par des symptômes tels qu'une forte fièvre, des hémorragies, des lésions rénales, un dysfonctionnement immunitaire et un taux de mortalité pouvant atteindre 75 %.

troisième niveau

1) King - Nouveau coronavirus (2019-nCoV)

Inutile de vous en dire plus.

2. LE SRAS

L'épidémie de SRAS qui a balayé le monde entre 2002 et 2003 nous a tous profondément marqués, car cette maladie hautement contagieuse a semé la panique dans la société et de nombreux professionnels de la santé sont décédés des suites de l'infection. Le virus 2019 nCoV est comme un "frère" du virus 2019 nCoV.


3. le virus de la variole

Il existe un désaccord international sur la question de savoir s'il faut placer le virus de la variole au niveau de biosécurité 3 ou 4. Le virus de la variole, introduit sur le continent américain par les colons européens, est très contagieux et l'infection peut entraîner des symptômes graves de toxémie sévère, ainsi que des complications sérieuses, telles que l'ostéomyélite, la septicémie, la méningite, la pneumonie, l'otite moyenne, la bronchite, voire la mort en raison d'une défaillance de plusieurs organes.

La population de 100 millions d'habitants sur le continent américain pendant 100 ans a été réduite à moins de 10 millions par la variole, dont l'horreur a suscité le mépris. Le virus de la variole a aujourd'hui disparu et aucun cas d'infection connexe n'a été signalé dans notre pays.

Pour des raisons d'espace, les autres virus ne sont pas mentionnés pour l'instant. Il existe en fait un"Grippe espagnole".(1918), avait infecté environ 1/3 de la population mondiale (environ 500 millions de personnes) et tué 25 à 40 millions de personnes (la population mondiale était d'environ 1,7 milliard à l'époque). Si vous êtes intéressés, vous pouvez me suivre, le prochain numéro sera plus passionnant.

Merci d'avoir lu cet article et j'espère qu'il vous a été utile.Je suis la panthère de la médecine, une amie qui se préoccupe davantage de votre santé. Bienvenue pour laisser un message, une discussion, une attention, un like, pour que plus de gens voient.

Références pour cet article :

[1] LI Guangxia,ZHAO Yuxia. Progrès dans la pathogenèse du virus Ebola[J]. Journal of Shandong Higher Medical College,2015,37(4):316-318.

[2] Liang Huigang,Huang Cui,Ma Haixia,et al. Laboratoire de biosécurité de haut niveau et biosécurité[J]. Actes de l'Académie chinoise des sciences,2016,31(4):452-456.

[3] WANG Bo,LI Liming. Progrès de la recherche épidémiologique[J]. Shanghai Preventive Medicine,2016,28(1):3-6.

[4] Zhou Zhengn. Introduction à la relation entre les virus et les organismes biologiques [J]. New curriculum introduction,2020,489(22):102.

Si les virus sont classés, je vais vous résumer la situation : le VIH est de l'or. Le SRAS est du platine, Ebola est du diamant et la rage est le roi !

Alors, le VIH fait-il peur ? Effrayant ! Existe-t-il un virus plus effrayant que le VIH ? Bien sûr que oui, et il y en a plus d'un ! Le VIH, aussi effrayant soit-il, n'est même pas dans le trio de tête !

Beaucoup de gens ont seulement entendu dire que le SIDA fait peur, mais ils ne comprennent même pas ce qu'il y a d'effrayant dans cette maladie. Essayons donc de nous faire une idée approximative de l'effroi que suscite le SIDA.

Tout d'abord, découvrons à quel point le sida est effrayant.

Le VIH est un virus qui s'attaque au système organique interne du corps humain et n'est pas directement mortel en soi. Ce qui est fatal, c'est que lorsque le système immunitaire est détruit par le VIH, l'organisme humain n'a plus de système immunitaire. Les bactéries et les virus sont capables d'envahir à volonté, et la moindre maladie peut vous tuer, et finalement le corps entier s'affaiblit et meurt.

En termes simples, ce qui est effrayant avec le SIDA, c'est qu'il tue avec un couteau emprunté. Il s'agit d'une maladie incurable.Le taux de létalité est extrêmement élevé (plus de 80 %).Même avec les médicaments, les effets secondaires sont nombreux. Si vous ne prenez pas vos médicaments, votre état s'aggravera et vous devrez peut-être même vous préparer à prendre des médicaments pour le reste de votre vie.

À ce jour, 64 millions de personnes dans le monde ont été infectées par le VIH, avec une moyenne de 7 000 nouveaux cas par jour. Cela signifie que toutes les 13 secondes, une personne est infectée. Plus de 30 millions de personnes sont déjà mortes du sida.

Aujourd'hui.Nous ne pouvons toujours rien y faire.Le SIDA est toujours incurable et il n'y a pas de remède, et c'est aussi une maladie infectieuse. Si vous avez le SIDA, vous devrez vivre avec la maladie pour le reste de votre vie, et vous serez discriminé par votre famille et vos amis, ainsi que par le monde extérieur.

Le sida, aussi terrible soit-il, n'arrive qu'en quatrième position, alors que trois autres virus dans le monde sont pires que lui.

Type I : virus du SRAS

Tous ceux qui ont connu le SRAS savent à quel point le virus du SRAS est horrible, et ce n'est en aucun cas une bonne chose qu'il puisse se classer devant le sida. S'il n'avait pas soudainement disparu, les conséquences auraient été inimaginables. Pour décrire les personnes infectées par le SRAS à l'époque, les personnes décédées ont certainement été malheureuses, mais les vivants n'auront peut-être pas la bénédiction d'une vie après la catastrophe.

Premièrement, le SRAS a un taux de mortalité extrêmement élevé et il n'y a pas d'infections cachées. Deuxièmement, les séquelles du SRAS sont terribles : nécrose de la tête fémorale, fibrose pulmonaire et certaines maladies mentales. Le taux de mortalité des cas graves est supérieur à 85 % et le taux de réanimation des cas graves est inférieur à 15 %. Une fois infectés, même s'ils ne meurent pas, ils souffriront de la maladie pour le reste de leur vie.

Type II : Virus Ebola

Ebola est un virus rare qui est un filovirus.Il est extrêmement vigoureux.Même lorsque vous quittez l'hôte, vous pouvezSurvivre pendant des heures sur des objets en surface. Survivre pendant des jours dans les fluides corporels.Vous pouvez imaginer à quel point c'est contagieux.

Si un membre de votre famille est infecté.Elle peut être transmise en touchant des surfaces contaminées pour soigner d'autres membres de la famille. La maladie peut se développer en quelques jours, voire en quelques heures, avec une incapacité immédiate. En l'espace de quelques jours seulement, le malade saigne abondamment par les sept orifices, puis meurt lentement. Beaucoup disent qu'Ebola est un massacre de l'humanité.

EbolaLes taux de morbidité et de mortalité atteignent 90 %, ce qui correspond également au taux de létalité.L'un des virus les plus élevés .... Aujourd'hui, Ebola est toujours présent au Congo et aucun médicament spécifique n'a été développé.

Type III : Virus de la rage

La rage, un virus fait pour mourir.J'oserais dire que le virus de la rage est bien plus effrayant que le sida, et la rage est une maladie qui tue 100 % des gens. En termes de létalité.La rage est le véritable roi des virus.. Les personnes atteintes de la rage, lorsqu'elles ont une attaque, meurent presque à coup sûr, sans jamais faire d'exception.

Si vous avez la malchance d'être infecté par le sida, vous pouvez encore vivre humblement en prenant des médicaments. Mais si vous êtes infecté par la rage, une fois que vous avez une attaque, même Hua Tuo dans le monde est impuissant à vous aider, il n'y a qu'une seule façon de mourir. Et la façon de mourir de la rage est très misérable, c'est de mourir dans une posture sans la moindre dignité, et vous devez mourir dans les dix jours qui suivent l'apparition de la maladie !

Outre ces virus, qui sont pires que le sida, il y aDengue, hépatite, hantavirus, virus de Marburg, néocoronavirus sont autant de virus qu'il ne faut pas sous-estimer.

Le VIH n'est pas directement mortel ; c'est le système immunitaire déprimé par l'infection qui est mortel. Le VIH n'est donc pas trop effrayant par rapport à la létalité directe de nombreux virus, mais il est effrayant dans le sens où il détruit le système immunitaire, un mécanisme très différent de celui d'autres virus. Vous trouverez ci-dessous une liste de virus qui existent encore dans le monde et qui peuvent être considérés comme plus mortels que le VIH (cette liste n'est peut-être pas complète, mais il ne s'agit pas d'un virus considéré comme éteint, tel que la variole). Notez également que cette liste ne comprend que des virus, et non des bactéries mortelles (comme l'anthrax, le choléra, la peste bubonique, etc., qui peuvent être assez effrayantes).


Virus de la grippe aviaire (mortalité - 60 %)

Le sous-type H5N1 du virus de la grippe A est également connu sous le nom de "grippe aviaire". Le virus mortel H5N1 a infecté l'homme pour la première fois en 1997 et a tué 60 % des patients infectés. Le virus se transmet à l'homme par l'intermédiaire des oiseaux. Une étude menée par certains chercheurs a confirmé pourquoi le virus est si mortel pour l'homme. L'étude a montré que le virus peut déclencher 10 fois plus de protéines inflammatoires que le virus H1N1. Ces protéines inflammatoires virales peuvent provoquer chez l'homme une pneumonie grave et une détresse respiratoire aiguë mettant en jeu le pronostic vital. La grippe aviaire est en fait un virus mortel pour les oiseaux. Outre les complications respiratoires, d'autres symptômes tels que les vomissements, la diarrhée et les symptômes grippaux courants sont fréquents, et le virus peut également provoquer une défaillance grave de plusieurs organes.

Virus Lujo (mortalité - 80 %)

Le virus Lujo a été baptisé après les épidémies survenues en 2008 à Lusaka, en Zambie, et à Johannesburg, en Afrique du Sud. Les deux premières lettres de ces deux villes forment le nom du virus Lujo. Lujo est un virus brutal dont le taux de mortalité est de 80 %. L'épidémie de 2008 s'est soldée par cinq infections et quatre décès. Les scientifiques affirment que le virus est aussi mortel qu'Ebola. On sait que la première épidémie a été provoquée par une femme vivant dans la banlieue de Lusaka. Elle souffrait d'une forte fièvre qui s'est aggravée avec le temps. Le virus mortel Lujo est connu pour provoquer une fièvre hémorragique virale (FHV) chez l'homme. Le virus est connu pour provoquer des symptômes similaires à ceux d'Ebola, tels que des saignements des gencives et du nez.

Virus de l'herpès B (mortalité - 80 %)

Le virus de l'herpès B est hautement délétère, avec un taux de létalité de 80 %. L'herpèsvirus B du macaque est un virus simplex qui infecte les macaques et se propage d'un hôte à l'autre par le biais d'infections des nerfs périphériques. Le virus affecte le système nerveux central et, s'il n'est pas traité, peut entraîner un déclin neurologique ou la mort. Depuis la découverte du virus de l'herpès B en 1932, 31 cas d'infection ont été recensés, dont 21 sont décédés. La maladie est rare chez l'homme, mais elle peut être facilement transmise par les morsures de singes ou d'animaux. Environ 80 à 90 % des singes rhésus sauvages sont porteurs du virus de l'herpès B (dans certaines régions). Les principaux symptômes de l'infection virale sont l'essoufflement, la coordination musculaire et la fièvre.

Virus Ebola (mortalité - jusqu'à 90 %)

Le virus Ebola est un virus assez mortel qui provoque une maladie connue autrefois sous le nom de "maladie à virus Ebola du Zaïre". Le virus a été découvert pour la première fois en 1976 près de la rivière Ebola au Zaïre. Anciennement connue sous le nom de fièvre hémorragique Ebola, la maladie à virus Ebola est une maladie grave et mortelle pour l'homme. Le taux de mortalité du virus chez l'homme peut atteindre 90 %, avec un taux de mortalité de 53 % pour certaines variantes soudanaises. Les premiers symptômes du virus sont similaires à ceux d'une grippe virale commune : mal de gorge, fièvre, douleurs musculaires et maux de tête. Les symptômes suivants peuvent être des vomissements, des diarrhées, du sang dans les selles, des éruptions cutanées, des lésions rénales et hépatiques. La maladie peut être fatale et mettre la vie en danger si le patient ne reçoit pas un traitement précoce.

Virus de Marburg (mortalité - 23 à 90 %)

Le virus de Marbourg est un virus infectieux mortel qui provoque la maladie de Marbourg, également connue sous le nom de fièvre hémorragique de Marbourg. Le virus a un taux de létalité très élevé, de 23 à 90 %, chez les patients non traités. Dans la plupart des cas, l'hémorragie ou la perte de sang n'est pas la cause du décès, mais plutôt le syndrome de dysfonctionnement d'organes multiples (MODS). Le virus a été découvert pour la première fois en 1967, lors d'épidémies simultanées dans des laboratoires de Francfort et de Marburg, en Allemagne. 31 patients ont développé des symptômes de fièvre hémorragique, entraînant sept décès. Les survivants de la maladie ont souffert de troubles oculaires prolongés, de perte d'audition, de faiblesse musculaire, d'hépatite et de bien d'autres problèmes.

Virus de la rage (mortalité - 100 %)

Le virus de la rage est un neurovirus qui provoque la rage chez l'homme. Le virus se transmet par la salive des animaux ou les fluides corporels humains. En 2009, une grave épidémie de rage en Angola a tué 93 enfants. Près de 55 000 personnes meurent de la rage chaque année. Les maladies virales zoonotiques sont transmises par des animaux tels que les chats, les chauves-souris, les chiens, les singes et les mangoustes. En 2010, le virus de la rage a tué 78 personnes sur l'île indonésienne de Bali. Si le patient n'est pas vacciné, le virus de la rage est très dangereux et les symptômes se développent et sont mortels à 100 %. Le virus est mortel car il affecte directement le cerveau et le système nerveux des humains et des animaux. Les symptômes de l'infection virale peuvent aller de l'hydrophobie à l'incapacité de bouger. Si les symptômes apparaissent, le taux de mortalité est presque de 100 %.

Helicobacter pylori ah, l'autre jour, j'ai vu dans un cercle d'amis que le taux d'infection des Chinois était de quatre-vingt-quatre pour cent, les bactéries infectées après que les gens aient parlé sont malodorantes, les personnes sérieusement essoufflées sont malodorantes, vous y pensez, vous êtes une personne normale, d'autres parlent de manière si malodorante que vous ne pouvez pas vomir ah. Et encore plus terrible est l'infection de la salive, vous pensez que vous savez que vous avez ce problème et puis vous buvez des médicaments durs, guéri et autour des personnes en contact avec un contact et a été infecté, jamais guérir, n'ose pas parler aux gens par crainte de puanteur d'autres personnes, mais aussi inquiet pour les enfants à l'école en raison de la parole de puanteur pas de partenaires, d'acheter des probiotiques, de se lever tôt pour se brosser les dents et gargariser toutes sortes de façons de penser, vraiment très ennuyeux, j'espère juste que vous n'avez pas ! J'espère seulement que vous ne serez pas infectés. Ne mangez pas au restaurant, ne partagez pas vos couverts, utilisez des baguettes pour les repas, lavez le bol et mettez-le dans le stérilisateur !

Dans le cas d'Ebola, le virus se propage rapidement et se multiplie en grand nombre dans le corps, attaquant divers organes, les faisant dégénérer, se nécroser et se décomposer lentement. En raison de la nécrose et de la décomposition des organes dans le corps, le patient vomit constamment les tissus nécrosés de sa bouche et finit par mourir, principalement en raison d'une hémorragie interne importante et de lésions cérébrales.

Vous risquez de cracher votre structure anale par la bouche. Vous sentirez vos organes se transformer lentement en bouillie pendant que vous êtes conscient. Cette maladie est incurable. Le patient moyen meurt dans les 24 heures qui suivent l'apparition de la maladie.

Le tétanos est en fait un effet de Clostridium tetani, et non un effet viral. Mais c'est vraiment pitoyable. Comme il s'agit d'une bactérie anaérobie, il faut se blesser accidentellement dans des endroits bizarres pour risquer de la contracter, et les habitants du Nord-Est pensent qu'une petite blessure ne fait pas de mal. La plupart d'entre eux meurent par négligence. Soudain, les gens disparaissent.

Après tout, si vous vivez dans un endroit comme le Daxinganling, le système de santé vous semble complètement vide de sens. Même s'il ne mourait jamais, il devrait encore subir de nombreuses tortures. Chaque personne ayant une personnalité différente, les virus ne sont pas tous aussi effrayants les uns que les autres.

Lorsqu'il s'agit de savoir quelle maladie est plus horrible que le sida, il faudrait que le danger de cette maladie pour les êtres humains dépasse celui du sida, et nous ne pouvons pas simplement dire que la maladie entraîne la situation tragique de l'état d'un seul patient individuel. Je pense que dans l'histoire de l'humanité, la peste bubonique, également connue sous le nom de peste noire, devrait être bien plus nocive pour l'humanité que le sida.

L'histoire de l'humanité a connu trois pandémies de peste bubonique : la première a entraîné la chute d'un empire, la deuxième a durement touché les pays européens et la troisième a entraîné une pandémie mondiale. Nous allons les évoquer brièvement ci-dessous.

Historiquement, la première épidémie de peste bubonique est reconnue comme celle du VIe siècle après J.-C., une épidémie qui a coûté la vie à environ 100 millions de personnes. La peste est née au Moyen-Orient et s'est ensuite propagée au Proche-Orient et aux régions méditerranéennes, où elle a sévi pendant 60 ans. La peste a fait un grand nombre de victimes et a conduit directement à la chute de l'Empire romain d'Orient.

La deuxième pandémie mondiale de peste bubonique s'est déroulée principalement en Europe entre 1347 et 1351. La peste était alors connue sous le nom de "peste noire" et environ 25 millions de personnes, soit un tiers de la population totale, sont mortes des suites de cette catastrophe. On peut dire qu'il s'agit d'une pandémie de peste qui a plongé l'humanité dans l'horreur.

La troisième épidémie a été particulièrement étendue, une pandémie mondiale de peste qui a duré du XIXe siècle aux années 1940 et 1950. Le Yunnan, en Chine, a malheureusement été le plus touché.

Après avoir pris connaissance de tous ces éléments, pensez-vous également que la peste est plus terrible et plus nocive que le sida ?

Les humains luttent contre les virus depuis bien avant que notre espèce n'évolue vers sa forme moderne. Pour certaines maladies virales, les vaccins et les médicaments antiviraux nous ont permis d'arrêter la propagation des infections et d'aider les patients à se rétablir.

Mais alors que l'épidémie d'Ebola dévaste l'Afrique de l'Ouest, nous sommes encore loin d'avoir gagné la lutte contre le virus.

Le virus pandémique actuel, Ebola, tue jusqu'à 90 % des personnes infectées, ce qui en fait le membre le plus mortel de la famille Ebola. Elke Muberg, spécialiste d'Ebola et professeur agrégé de microbiologie à l'université de Boston, a déclaré : "La situation ne peut pas être pire".

Mais il existe d'autres virus tout aussi mortels, voire plus. Voici neuf des pires virus tueurs :

Virus de Marburg

Les scientifiques ont découvert le virus de Marburg en 1967, lorsqu'une petite épidémie s'est déclarée chez des laborantins allemands qui avaient été exposés à des singes infectés importés d'Ouganda. Le virus de Marburg est similaire au virus Ebola et tous deux peuvent provoquer une fièvre hémorragique, c'est-à-dire qu'une personne infectée développe une forte fièvre et des hémorragies dans tout le corps, ce qui peut entraîner un choc, une défaillance des organes et la mort.

Selon l'Organisation mondiale de la santé, le taux de mortalité lors de la première épidémie était de 25 %, mais lors de l'épidémie de 1998-2000 au Congo et de l'épidémie de 2005 en Angola, le taux de mortalité a dépassé 80 %.

Virus Ebola

Les premières épidémies humaines connues d'Ebola se sont produites simultanément au Soudan et au Congo en 1976. L'Ebola se transmet par contact avec du sang ou d'autres fluides corporels, ou avec des tissus humains ou animaux infectés.

Ebola Reston est une souche qui ne rend même pas les gens malades. Mais selon l'Organisation mondiale de la santé, le taux de mortalité atteint 50 % pour la souche Bendibuji et 71 % pour la souche soudanaise.

L'épidémie en Afrique de l'Ouest, qui a débuté au début de l'année 2014, est la plus importante et la plus complexe à ce jour, selon l'OMS.

la rage

Bien que les vaccins contre la rage pour animaux de compagnie, introduits dans les années 1920, aient rendu la maladie extrêmement rare dans les pays développés, elle reste un problème grave en Inde et dans certaines régions d'Afrique.

L'expert a déclaré : "La rage détruit le cerveau et c'est une maladie très, très grave. Nous disposons d'un vaccin antirabique et d'anticorps antirabiques, de sorte que si une personne est mordue par la rage, nous pouvons la traiter".

Cependant, en l'absence de traitement, le taux de mortalité lié à la rage est de 100 %.

SIDA (mot d'emprunt)

Dans le monde moderne, le virus le plus mortel pourrait être le VIH". Il reste le plus meurtrier", a déclaré le Dr Amish Adalgar, médecin spécialiste des maladies infectieuses et porte-parole de l'Infectious Diseases Society of America (Société américaine des maladies infectieuses).

On estime que 36 millions de personnes sont mortes du VIH depuis que la maladie a été diagnostiquée pour la première fois au début des années 1980. "Adar a déclaré que la maladie infectieuse affecte actuellement le plus les humains.

Grâce à de puissants médicaments antirétroviraux, il est possible de vivre avec le VIH depuis des années. Mais la maladie continue de faire des ravages dans de nombreux pays à revenu faible ou intermédiaire, où se produisent 95 % des nouvelles infections par le VIH. Selon l'OMS, près d'un adulte sur vingt est séropositif en Afrique subsaharienne.

variole

En 1980, l'Assemblée mondiale de la santé a déclaré que le monde était débarrassé de la variole. Mais avant cela, l'humanité avait combattu la variole pendant des milliers d'années, et la maladie tuait environ un tiers des personnes infectées. Elle laissait aux survivants des cicatrices profondes et permanentes et souvent la cécité.

Le taux de mortalité est beaucoup plus élevé dans les populations extra-européennes, où les gens ont été peu exposés au virus avant qu'il ne soit introduit dans leur région. Par exemple, les historiens estiment que 90 % des Amérindiens sont morts de la variole introduite par les explorateurs européens. Au cours du seul vingtième siècle, la variole a tué 300 millions de personnes.

Adalja a déclaré : "C'est un fardeau énorme pour la planète, non seulement en termes de mortalité, mais aussi de cécité, et c'est ce qui a motivé l'éradication de la planète".

Hantavirus (famille de rodenticides mortels) responsable de fièvre hémorragique avec syndrome rénal ou syndrome cardio-pulmonaire.

Le syndrome pulmonaire à hantavirus (SPH) a suscité une grande attention aux États-Unis en 1993, lorsque de jeunes Navajos en bonne santé vivant dans la région des Four Corners avec leur fiancé sont décédés quelques jours plus tard en raison d'un essoufflement. Quelques mois plus tard, les autorités sanitaires ont isolé l'hantavirus à partir d'une souris sylvestre dans la maison d'un homme infecté. Selon les Centers for Disease Control and Prevention, plus de 600 personnes aux États-Unis ont été infectées par le SHP et 36 % d'entre elles sont mortes de la maladie.

grippe

Selon l'Organisation mondiale de la santé, au cours d'une saison grippale normale, jusqu'à 500 000 personnes dans le monde meurent de la maladie. Cependant, l'apparition d'une nouvelle souche de virus grippal peut parfois conduire à une pandémie, au cours de laquelle la maladie se propage plus rapidement et le taux de mortalité est généralement plus élevé.

La pandémie de grippe la plus meurtrière (parfois appelée grippe espagnole) a débuté en 1918, rendant malade jusqu'à 40 % de la population mondiale et causant environ 50 millions de décès.

Fièvre hémorragique de Singapour

Le virus de la dengue est apparu pour la première fois aux Philippines et en Thaïlande dans les années 1950 et s'est depuis répandu dans les régions tropicales et subtropicales du globe. Jusqu'à 40 % de la population mondiale vit aujourd'hui dans des zones où la dengue est endémique et, avec le réchauffement climatique, la maladie et les moustiques qui la véhiculent risquent de se propager encore davantage.

Selon l'Organisation mondiale de la santé, la dengue rend malade entre 5 et 100 millions de personnes chaque année. Bien que le taux de mortalité de la dengue soit inférieur à celui de certains autres virus (2,5 %), le virus peut provoquer une maladie semblable à l'Ebola, la dengue hémorragique, qui, si elle n'est pas traitée, a un taux de mortalité de 20 %.

rotavirus

Deux vaccins sont désormais disponibles pour protéger les enfants contre le rotavirus, principale cause de diarrhée sévère chez les nourrissons et les jeunes enfants. Le virus peut se propager rapidement par ce que les chercheurs appellent la voie fécale-orale.

L'Organisation mondiale de la santé estime que 453 000 enfants de moins de 5 ans sont morts d'une infection à rotavirus en 2008. Toutefois, les pays qui ont reçu le vaccin ont signalé une forte baisse des hospitalisations et des décès dus au rotavirus.

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