Le principal ingrédient des comprimés de progestérone est la progestérone, qui est une progestérone naturelle, une hormone non stéroïdienne sécrétée par le corps jaune de l'ovaire, le placenta et les glandes surrénales.

Les principaux effets pharmacologiques de la progestérone sont les suivants

I. Favoriser la maturation de l'endomètre, l'exfolier et maintenir un cycle menstruel normal en vue de l'implantation de l'œuf fécondé. Le début de la grossesse peut réduire l'excitabilité de l'utérus et garantir une croissance sûre du fœtus.

D'autre part, il agit de concert avec les œstrogènes pour favoriser le développement des seins et préparer la lactation.

Troisièmement, pour que l'ouverture du col de l'utérus soit fermée, le mucus se réduit et s'épaissit, les spermatozoïdes ne peuvent pas pénétrer facilement ; de fortes doses peuvent avoir un effet de rétroaction négative sur l'hypothalamus, produisant un effet d'inhibition de l'ovulation.

IV. antagonisme compétitif de l'aldostérone.

V. Il a pour effet d'augmenter légèrement la température corporelle, ce qui se traduit par une température basale plus élevée pendant la phase lutéale du cycle menstruel.

La progestérone, en tant qu'hormone endogène, est aujourd'hui largement utilisée dans le domaine de la contraception post-partum et de la procréation assistée chez les femmes.

L'hormone lutéinisante est utilisée cliniquement pour l'insuffisance lutéale, la pré-éclampsie et l'avortement habituel, le syndrome de tension prémenstruelle, la dysménorrhée anovulatoire, l'aménorrhée secondaire, l'utilisation combinée avec l'œstrogène dans le traitement des syndromes ménopausiques, la reproduction assistée, etc.

Référence : Zhai Yan. Progrès de la recherche sur l'application clinique de la progestérone[J]. Straits Pharmacology,2017,29(7):110-112.

QIAN Lijuan,ZHAI Zhanchuan. L'utilisation de la progestérone dans la pratique clinique [J]. International Journal of Reproductive Health/Family Planning,2001,20(2):101-102.

La progestérone est une progestérone naturelle, principalement sécrétée par l'ovaire, le placenta et les glandes surrénales. En présence d'une quantité suffisante d'œstrogènes, elle peut faire entrer l'endomètre dans la phase de sécrétion complète, offrant ainsi des conditions favorables à l'installation de l'œuf fécondé, et peut promouvoir la formation du placenta, réduire l'excitabilité du muscle lisse utérin et la sensibilité de l'utérus à la contraction utérine, maintenir l'état de grossesse, accélérer le développement des seins, et préparer l'allaitement post-partum. Elle peut également inhiber la production de gonadotrophines de l'hypophyse postérieure, réduire la sécrétion d'œstrogènes, inhiber le développement folliculaire et réduire l'ovulation ovarienne ; les comprimés de progestérone sont principalement utilisés pour le traitement en clinique :

• Prévention des fausses couches : l'insuffisance lutéale peut entraîner une baisse des taux de progestérone, ce qui peut provoquer une fausse couche, et la supplémentation en progestérone peut prévenir les fausses couches si elle est détectée à temps ; cependant, d'une part, les taux de progestérone fluctuent considérablement au cours de la grossesse et, d'autre part, la moitié des patientes ont des taux de progestérone normaux même si elles sont diagnostiquées comme souffrant d'insuffisance lutéale, et la dysplasie embryonnaire peut également entraîner de faibles taux de progestérone, de sorte qu'à l'heure actuelle, les directives nationales et internationales ne recommandent pas de tests de routine de la progestérone pour guider la préservation du fœtus, et la prise de progestérone pour prévenir les fausses couches est inefficace. Les directives officielles ne recommandent pas les tests de routine des niveaux de progestérone pour guider la préservation du fœtus, et la prise de progestérone pour prévenir les fausses couches est inefficace ; pour les patientes souffrant de fausses couches récurrentes, une supplémentation empirique en progestérone peut s'avérer bénéfique.
• Troubles menstruels : après la prise de progestérone, la sécrétion de progestérone par les femmes est réduite et la progestérone remplace la progestérone sécrétée par les femmes elles-mêmes, ce qui non seulement inhibe l'ovulation, mais aussi régule artificiellement le cycle menstruel, réduisant et évitant ainsi efficacement les troubles menstruels tels que l'aménorrhée, les saignements utérins fonctionnels, les menstruations irrégulières et la dysménorrhée.
• Syndrome de tension prémenstruelle : les hormones du corps fluctuent considérablement pendant la période prémenstruelle, les œstrogènes et la progestérone sont sécrétés en grandes quantités et le corps jaune s'atrophie rapidement. Le manque d'œstrogènes et de progestérone provoque chez les femmes de l'agitation, de la colère, de la dépression, de l'anxiété, des maux de tête et même des gonflements et des douleurs mammaires, ce que l'on appelle le syndrome de tension prémenstruelle ; la supplémentation en progestérone peut soulager efficacement les symptômes susmentionnés.
• Syndrome de la ménopause : En raison du déclin des ovaires et de la diminution du taux d'hormones sexuelles telles que la progestérone et les œstrogènes pendant la ménopause, des symptômes tels que les troubles menstruels, les bouffées de chaleur, les crises de panique, l'insomnie, les maux de tête, les acouphènes, la dépression, l'anxiété, l'irritabilité, etc. sont connus sous le nom de syndromes de la ménopause, et la supplémentation en progestérone peut soulager efficacement les symptômes susmentionnés.
  
• Cancer de l'endomètre : la progestérone peut inhiber la production de gonadotrophines dans l'hypophyse postérieure, entraînant ainsi une diminution de la sécrétion d'œstrogènes, et peut être utilisée dans le traitement du cancer de l'endomètre, mais elle n'est actuellement indiquée que pour les patientes au stade I dont la tumeur est confinée au corps de l'utérus et pour les patientes dont le pronostic est bon.

Références :

Gélules de progestérone Instructions

La progestérone appartient à la classe des médicaments à base de progestérone et est couramment utilisée dans la pratique clinique pour le traitement des fausses couches et la préservation précoce du fœtus en cas de pré-éclampsie.

De nombreuses mères d'un premier enfant sont très nerveuses au début de leur grossesse, et lorsqu'elles constatent la présence de "vent et d'herbe", tels que des douleurs abdominales et des pertes vaginales brunes, elles craignent de faire une fausse couche. Lorsque vous vous rendez à l'hôpital pour un examen, l'obstétricien et le gynécologue vous prescrivent généralement des gélules de progestérone pour les femmes enceintes, à raison d'une gélule deux fois par jour. Les femmes enceintes plus graves se verront prescrire des injections de progestérone, une fois par jour, pendant une semaine.

Par conséquent, la progestérone est utilisée cliniquement pour traiter les conditions suivantes.

①Traitement des troubles menstruels, de l'insuffisance lutéale, de la pré-éclampsie et de l'avortement habituel (causé par l'insuffisance lutéale)

② Traitement du syndrome de tension prémenstruelle, de l'hémorragie utérine dysfonctionnelle anovulatoire et de l'aménorrhée anovulatoire

③ Utilisation combinée avec des œstrogènes dans le traitement des syndromes ménopausiques

④ comme médicament progestatif à libération lente dans les stérilets

La progestérone est contre-indiquée chez les patientes souffrant d'insuffisance hépatique ou rénale, et il faut veiller à passer à d'autres médicaments progestatifs chez les patientes souffrant d'une maladie hépatique ou rénale.

"Les points suivants doivent être pris en compte lors de l'utilisation de la progestérone.

(1) La nourriture augmente la biodisponibilité de la progestérone. Par conséquent, le médicament doit être pris en dehors des heures de repas. Certaines personnes peuvent ressentir des vertiges transitoires et ne doivent pas conduire de véhicules ou utiliser des machines.

(2) Il convient de procéder à un examen des seins et à un examen pelvien avant d'utiliser le médicament. L'utilisation à long terme du médicament nécessite un contrôle attentif de la fonction hépatique, en particulier un examen des seins.

(3) En cas de thrombophilie, telle que thrombophlébite, embolie pulmonaire, thrombose rétinienne, etc. ou de migraine, le médicament doit être arrêté immédiatement.

Je suis Little Medicine Doupi, pharmacien responsable d'un hôpital de soins tertiaires et pharmacien agréé, alors n'hésitez pas à suivre et à publier.

Bonjour, je suis le pharmacien Fung, je n'ai pas entendu parler de comprimés de flavonoïdes, seulement de la partie progestérone du médicament, sous des formes de dosage telles que les gélules, les capsules molles, les comprimés et les injections.

Tout d'abord, voyons ce qu'est la progestérone. La progestérone, également appelée hormone progestative, hormone lutéinisante, est la principale hormone progestative biologiquement active sécrétée par les ovaires, avec une formule moléculaire de C21H30O2. Avant l'ovulation, la quantité d'hormone progestative produite par jour est de 2~3mg, principalement par les ovaires. L'hormone lutéinisante agit comme suit :

1. les saignements utérins fonctionnels dus à une fonction lutéale insuffisante. Lorsque les saignements utérins sont dus à une maturation et à une élimination irrégulières de l'endomètre, l'application de progestatifs peut faire passer l'endomètre à la phase sécrétoire de manière coordonnée, ce qui permet de maintenir des menstruations normales.

2) La dysménorrhée et l'endométriose peuvent inhiber l'ovulation et réduire les contractions spasmodiques de l'utérus, soulageant ainsi la douleur, et peuvent également dégénérer l'endomètre ectopique. En association avec des préparations à base d'œstrogènes, l'efficacité est meilleure.

3. la pré-éclampsie et l'avortement habituel dus à l'insuffisance lutéale.

4. adénocarcinome de l'endomètre, hypertrophie de la prostate ou cancer.

Pris ensemble, la progestérone traite principalement les maladies ou conditions suivantes

1) Test de progestérone.

2. la préservation du fœtus.

3. hémorragie utérine dysfonctionnelle causée par un type anovulatoire ou une insuffisance lutéale.

4. l'aménorrhée.

5. dysménorrhée.

6. menstruation excessive.

7) Il est utilisé dans le traitement des troubles menstruels (tels que l'aménorrhée et l'hémorragie utérine fonctionnelle), de l'insuffisance lutéale, de l'avortement prémenstruel et habituel, et du syndrome prémenstruel.

8. comme médicament hormonal à libération lente dans les stérilets

C'est ce que je partage.