Les patients diabétiques souffrent d'hyperglycémie chronique en raison d'une sécrétion insuffisante d'insuline dans l'organisme. L'hyperglycémie ne nuit pas directement au corps humain, mais les complications chroniques causées par l'hyperglycémie peuvent sérieusement menacer la santé du corps humain. L'insuline est sécrétée par les cellules β du pancréas humain. Lorsque les îlots pancréatiques sont endommagés, la sécrétion d'insuline est insuffisante et le taux de sucre dans le sang est élevé :

1, les mauvaises habitudes alimentaires : si le régime alimentaire à long terme comporte une surcharge énergétique, comme la consommation d'aliments à haute teneur énergétique, notamment les frites, le poulet frit, la crème glacée, les boissons sucrées, la viande grasse, les abats et d'autres aliments, l'apport énergétique excessif se traduira par une accumulation de graisse dans l'organisme, ce qui conduira à l'obésité. L'obésité provoque une résistance à l'insuline, de sorte que la sensibilité de l'organisme à l'insuline diminue, ce qui entraîne la sécrétion compensatoire d'une plus grande quantité d'insuline pour réduire la glycémie ; avec le temps, le pancréas est surchargé et le diabète apparaît.

2, si le manque d'exercice entraîne facilement l'obésité, et un exercice insuffisant réduira également la sensibilité du corps à l'insuline, ce qui augmentera le risque de diabète. Les "Directives chinoises pour la prévention et le contrôle du diabète par l'exercice" mentionnent également que le diabète est considéré comme une maladie due au manque d'exercice, et que moins d'exercice augmentera le risque de diabète.

3. Se coucher tard, le stress mental et d'autres modes de vie néfastes provoquent des troubles endocriniens dans le corps humain, de sorte que l'élévation inappropriée des hormones du glucose, telles que l'adrénaline, les catécholamines, l'hormone de croissance, etc. ont pour effet d'augmenter la glycémie, ce qui accroît la charge de travail des îlots pancréatiques ; si les îlots pancréatiques sont surchargés de travail pendant une longue période, il est facile d'y développer des lésions, ce qui entraîne le diabète.

4, le tabagisme, l'alcoolisme et d'autres mauvaises habitudes augmentent également le risque de diabète, le tabagisme affectant directement la fonction des îlots pancréatiques, l'alcoolisme entraînant des troubles du métabolisme des lipides et affectant le taux de sucre dans le sang.

L'insuline est la seule hormone sécrétée par les cellules β des îlots pancréatiques du corps humain qui est capable de réduire la glycémie. Lorsque la fonction des îlots pancréatiques du corps humain est altérée, cela peut entraîner une sécrétion insuffisante d'insuline et une augmentation de la glycémie. C'est un peu comme lorsque la fonction cardiaque diminue, une insuffisance cardiaque se produit lentement, le débit sanguin du cœur diminue et l'ischémie et l'hypoxie se produisent. Qu'est-ce qui peut donc endommager la fonction des îlots pancréatiques ?

L'obésité, les mauvaises habitudes alimentaires telles que la suralimentation, un grand nombre d'aliments riches en sucre, les régimes hypercaloriques, le manque d'exercice, le fait de se coucher tard, le manque de sommeil, le stress, le tabagisme, l'abus d'alcool, etc. augmentent la charge sur les îlots pancréatiques, les îlots pancréatiques sont surchargés, augmentant la charge de travail, ce qui conduira à une diminution de la synthèse des cellules des îlots pancréatiques et de la capacité à libérer de l'insuline au fil du temps. Le tabagisme et l'alcoolisme peuvent endommager directement la synthèse et la capacité de libération des cellules β du pancréas, entraînant une diminution progressive de la sécrétion d'insuline. Que vous soyez diabétique ou normal, vous devez donc essayer de l'éviter.

Par Jing Yun Zhang à l'hôpital Fengtai, Pékin, Chine Membre du réseau Pharmacie 15 août 2018

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Merci d'avoir invité Wu Yibo, membre de la Chinese Popular Science Writers Association, à répondre à vos questions.

Les causes possibles de la diminution de l'insuline dans l'organisme sont : le tabagisme, la consommation d'alcool, la structure du régime alimentaire, l'obésité, la génétique et les maladies chroniques.

Comment ces causes peuvent-elles entraîner une baisse de la production d'insuline ?

Les cigarettes contiennent des substances nocives telles que la nicotine, le monoxyde de carbone, le goudron et la norépinéphrine, qui réduisent la synthèse des protéines de transport du glucose, affaiblissant ainsi l'action de l'insuline.(L'insuline doit activer les protéines de transport du glucose pour avoir un effet hypoglycémiant ; comme une recharge de stylo et un étui de stylo, vous avez besoin des deux pour que cela fonctionne, vous ne pouvez pas avoir l'un sans l'autre) ;Le facteur de nécrose tumorale alpha produit par le tabagisme favorise également le catabolisme des adipocytes et la libération d'acides gras libres, ce qui peut indirectement induire une résistance à l'insuline.En cas de résistance à l'insuline, le pancréas sécrète davantage d'insuline pour la soutenir afin de rétablir la glycémie ; cependant, à long terme, le pancréas ne peut pas tenir le coup et, en tant que producteur, sa production diminue naturellement et lentement lorsque sa fonction décline.

Chez les buveurs chroniques, la sensibilité à l'insuline est significativement réduite et la prévalence d'une tolérance anormale au glucose est significativement plus élevée.En effet, la consommation d'alcool à long terme peut induire une résistance à l'insuline dans divers organes cibles de l'insuline, notamment le muscle squelettique, la graisse et le foie ; elle peut également altérer directement la capacité des cellules β du pancréas à synthétiser et à libérer de l'insuline.Par conséquent, la consommation d'alcool à long terme est encore plus terrible : non seulement elle augmente la charge de travail du pancréas, mais elle l'attaque directement, ce qui entraîne une diminution progressive de la sécrétion d'insuline.

En termes de structure alimentaire.au cas oùConsommation excessive de calories, de graisses, de protéines, de sucre et de saccharose raffiné，Elle augmente l'incidence de la résistance à l'insulinel'aggravation du pancréas au fil du tempsLa fonction de production d'insuline du pancréas est progressivement affaiblie et la sécrétion d'insuline diminue.Un régime riche en graisses peut modifier la teneur en acides gras de la membrane cellulaire, entraver la fonction des récepteurs de l'insuline, affecter le transport du glucose, inhiber l'utilisation oxydative du glucose et provoquer l'apoptose des cellules β des îlots de Langerhans du pancréas. Par conséquent, si la structure du régime alimentaire n'est pas raisonnable, elle entraînera également une réduction de la sécrétion d'insuline.

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L'obésité produit également des effets de résistance à l'insuline, en particulier l'obésité centrale, qui empêche progressivement le pancréas de fonctionner correctement, ce qui entraîne une diminution progressive de la sécrétion d'insuline.

Le diabète sucré présente une prédisposition génétique évidente et est une maladie héréditaire polygénique et multifactorielle.. Par conséquent, si un membre de la famille immédiate est atteint de diabète, la génération suivante sera beaucoup plus susceptible de développer la maladie que s'il n'y a pas d'antécédents de diabète.Mais ce n'est qu'une possibilité probabiliste, cela ne veut pas dire que cela va se produire.

En ce qui concerne les maladies chroniques, les patients souffrant d'hypertension artérielle courent un risque dix fois plus élevé de développer un diabète que les personnes ayant une tension artérielle normale ; les personnes souffrant de dyslipidémie exacerberont également la diminution de la sécrétion d'insuline, ce qui accélérera le rythme du développement du diabète.

Bien sûr, il existe d'autres causes de réduction de la sécrétion d'insuline, aussi partageons-nous aujourd'hui les points principaux ci-dessus haha.

Vous trouverez ci-dessous un résumé de ce qui a été partagé :

Question Réponse : Lian Siheng, Fujian Medical University Révision : Wu Yibo

L'insuline est sécrétée par les cellules bêta du pancréas. L'insuline est impliquée dans la régulation du métabolisme du glucose et dans le contrôle de l'équilibre glycémique. En plus de l'insuline, le pancréas sécrète une hormone appelée glucagon, qui augmente le taux de glucose dans le sang. L'insuline est la seule hormone qui réduit la glycémie dans le corps, et les hormones qui augmentent la glycémie sont le glucagon, l'adrénaline, l'hormone de croissance, etc. Lorsque notre corps s'alimente, les aliments dans le tube digestif se transforment en sucre dans le sang, l'insuline commence à sécréter, tout en abaissant le taux de sucre dans le sang, mais aussi pour résister à l'effet antagoniste de diverses autres hormones.

Pour chaque individu, il existe de nombreux facteurs qui peuvent affecter sa propre résistance à l'insuline, en plus de l'héritage familial. En général, lorsque nous vieillissons, prenons du poids, grossissons au niveau de la taille, dormons moins, sommes plus stressés, avons un niveau d'activité plus faible, sommes malheureux, tombons malades, nous blessons, notre insuline rencontre forcément plus de forces antagonistes, c'est-à-dire que la résistance à l'insuline s'accroît.

La définition médicale de la "résistance à l'insuline" est que les tissus périphériques cibles de l'insuline (principalement le muscle squelettique, le foie et le tissu adipeux) ont une sensibilité et une réactivité réduites à l'insuline endogène ou exogène, ce qui se traduit par une dose physiologique d'insuline qui produit un effet physiologique inférieur à la normale.

Par analogie, si l'on considère l'insuline comme un "ouvrier" chargé d'abaisser la glycémie, l'apparition d'une résistance à l'insuline équivaut à une diminution de l'efficacité des ouvriers, et la tâche initiale qui peut être accomplie par deux ouvriers nécessite désormais quatre ou même six personnes pour être menée à bien. Lorsque les cellules β sont pleinement fonctionnelles, elles peuvent envoyer davantage de travailleurs pour accomplir la tâche de réduction de la glycémie. Bien que la consommation de main-d'œuvre ait augmenté, le travail peut toujours être effectué et le diabète n'apparaît donc pas.

Cependant, une surcharge prolongée peut endommager les cellules bêta du pancréas. Lorsque la fonction des cellules bêta est endommagée, la capacité à sécréter de l'insuline diminue, ce qui signifie qu'il n'y a plus de travailleurs pour faire le travail, que la glycémie ne peut pas être réduite et que le diabète se forme à long terme. On peut dire que la résistance à l'insuline est l'une des principales causes du diabète.

Le résultat de la résistance à l'insuline est que les cellules bêta du pancréas doivent compenser en sécrétant plus d'insuline pour surmonter la résistance à l'insuline et maintenir des effets physiologiques normaux.

Une autre conséquence de la résistance à l'insuline est que les cellules bêta du pancréas, après une longue période de charge de travail élevée, sont finalement submergées et la production d'insuline diminue.

Une fois la sécrétion d'insuline réduite, la résistance à l'insuline persiste et se poursuit tout au long du diabète de type 2.

Il existe dans l'organisme un type de cellule qui régule la glycémie. Lorsque cette cellule est endommagée ou dégradée, elle perd sa fonction régulatrice. Cela peut être dû à des facteurs héréditaires ou à une dégénérescence liée à l'âge, ou à des dommages acquis causés par l'alimentation et les habitudes de vie. Dans le premier cas, il peut être nécessaire de prendre des médicaments à vie ; dans le second, il est possible de guérir la maladie.

L'obstruction partielle des tissus du pancréas entraîne une diminution de la sécrétion d'insuline et une perte de qualité. La sécrétion pancréatique est plus alcaline parmi les organes humains, se classant au premier rang chez les femmes et au deuxième chez les hommes, avec un PH du liquide pancréatique pouvant atteindre 8,8, soit environ 1,4 de plus que le PH du sang. Cela signifie que le pancréas a besoin de plus de substances alcalines pour maintenir un métabolisme normal. Or, de nos jours, notre alimentation est dominée par des aliments acides, ce qui entraîne une diminution des substances alcalines dans l'organisme et, après une longue période, provoque un faible niveau de troubles métaboliques, conduisant à un blocage partiel des tissus pancréatiques, ce qui affecte le métabolisme normal du pancréas, entraînant une diminution de la qualité de l'insuline reconnaissante et une diminution de la sécrétion de l'insuline. Selon les résultats des recherches de Shinohara Hidetaka, un célèbre scientifique médical japonais, l'activité de l'insuline diminue de 30 % lorsque le pH sanguin baisse de 0,1.

La médecine moderne utilise également les alcalins pour traiter les cas de diabète. Extraits d'essais cliniques [Diabetes New World][J].2014,34(21):10-11 Yang Fengqiong. Observation sur l'efficacité de la Chuanxiongzine et de la scopolamine dans le traitement du pied diabétique.

Résumé:ObjectifObserver l'efficacité clinique de la trigonoxazine et de la scopolamine dans le traitement du pied diabétique. Méthodes 45 cas de patients atteints de pied diabétique admis dans cet hôpital d'octobre 2010 à novembre 2013 ont été divisés au hasard en groupe de traitement (23 cas) et groupe de contrôle (22 cas), le groupe de contrôle a été traité avec un traitement de base du diabète sucré, et le groupe de traitement a reçu de la Chuanqiongzine et de la scopolamine sur la base du groupe de contrôle, et les effets thérapeutiques cliniques des patients dans les deux groupes ont été observés et comparés. Le taux de guérison et le taux d'efficacité totale des patients du groupe de traitement étaient de 69,6 % et 91,3 %, qui étaient significativement plus élevés que ceux de 22,7 % et 50,0 % du groupe de contrôle, et les différences étaient statistiquement significatives (P<0,05) ; le nombre moyen de jours pour guérir et le nombre de jours pour s'améliorer étaient de (24,7±4,9) et (10,8±4,2), qui étaient significativement plus bas que ceux de (37,4±11,3) et ((19,7±8,6)) du groupe de contrôle, et le nombre moyen de jours pour guérir et de jours pour s'améliorer était de (24,7±4,9) et (10,8±4,2), qui étaient significativement plus bas que ceux de (37,4±11,3) et (19,7±8,6) dans le groupe de contrôle. 19,7±8,6)d, la différence était statistiquement significative (P<0,05). Conclusion : la chuanqiongzine et la scopolamine ont une efficacité clinique évidente sur le pied diabétique, qui peut soulager efficacement les symptômes cliniques des patients et faciliter l'amélioration de la condition, et méritent une promotion clinique.

Au cours des 30 dernières années, notre alimentation est passée d'aliments végétaux alcalins et d'une eau naturellement alcaline à des viandes acides, des céréales, de l'alcool, des boissons, des régimes et une eau acide, ce qui a soumis l'organisme à une double pression : une réduction de l'apport alcalin et une augmentation de l'apport acide. Ce changement de régime alimentaire a entraîné une diminution de l'alcalinité de l'organisme, ralentissant le métabolisme normal du pancréas et provoquant une recrudescence du diabète au cours des dernières années.