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Comment prévenir les attaques cérébrales ?

Comment prévenir les attaques cérébrales ?

Le meilleur moyen de prévenir les maladies vasculaires cérébrales est de changer immédiatement son mode de vie, quel type de mode de vie est "mauvais" ? Le meilleur moyen de prévenir les maladies vasculaires cérébrales est de changer immédiatement son mode de vie. Quel est ce mode de vie ? Il consiste à ne pas faire d'exercice, à privilégier une alimentation riche en huile et en sel, et à être dépendant du tabac et de l'alcool. Par conséquent, le bon remède consiste à "garder la bouche fermée et les jambes ouvertes".

Adhérer au régime "trois fois moins" - moins d'huile, moins de sel, moins de sucre - afin de surmonter les "trois fois plus" - taux élevé de graisse dans le sang, tension artérielle élevée et taux de sucre élevé, l'hypertension artérielle et l'hyperglycémie.

Il est recommandé de manger plus de légumes et de fruits frais en général. Les légumes et les fruits sont riches en vitamines, notamment en vitamine C, en carotène, en calcium, en phosphore, en potassium, en magnésium et autres minéraux, ainsi qu'en fibres alimentaires. Manger souvent pour réduire le cholestérol, améliorer l'élasticité vasculaire, promouvoir le métabolisme des enzymes cardiaques, protéger la santé cérébrovasculaire joue un rôle irremplaçable, bien mieux que de s'en remettre uniquement aux médicaments. Il est recommandé de consommer chaque jour au moins 8 à 2 légumes frais et 2 à 4 fruits. Les légumes sont souvent frais, vert foncé, en plus des champignons blancs ou noirs, des haricots verts, du varech, etc. Le kiwi contient plus de dix-sept sortes d'acides aminés, de la pectine, de l'acide ellagique, de l'acide citrique, des flavonoïdes, en particulier du Vc et du sélénium. Le jus de pastèque est riche en VA, B, C et en protéines, en glucose, fructose, sucrase, acide glutamique, citrulline, arginine, acide malique, pigment de tomate, acide phosphorique et calcium, fer, fibres brutes, etc. et a un très bon effet sur l'hypertension. Le kaki contient plus de vitamines que la moyenne des fruits, ce qui est très bénéfique pour les maladies cardiaques, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux. Il contient une sorte de composés phénoliques qui préviennent l'athérosclérose et réduisent l'incidence des maladies cardiovasculaires. Les fraises, agrumes souvent consommés, peuvent prévenir les maladies cardiovasculaires.

Il est recommandé de manger du poisson 2 à 3 fois par semaine, en particulier du poisson de mer, qui contient des acides gras insaturés, bons pour améliorer l'élasticité et la perméabilité des vaisseaux sanguins, réguler la pression artérielle, réduire l'incidence des maladies cérébrovasculaires et inhiber la formation de caillots sanguins. En outre, des aliments comme le lait et le tofu sont également bons. Mais essayez de manger moins d'abats d'animaux, comme le foie, les rognons, les œufs de poisson, etc.

Notez également qu'il ne faut pas manger trop ou trop d'huile par jour. Si vous mangez trop, l'excès de nourriture sera converti en lipides sanguins, de sorte que le taux de graisse dans le sang sera élevé et, avec le temps, l'hypertension artérielle et l'artériosclérose apparaîtront. Les viandes grasses, les crèmes, les fritures sont des aliments à éviter.

Mangez moins de sel. Un excès de sel peut facilement provoquer une hypertension artérielle, qui à son tour peut conduire à une maladie cérébrovasculaire. La quantité moyenne de sel par personne et par jour devrait être réduite à environ 6 grammes, et une capsule de bouteille de bière suffit.

La consommation d'alcool entraîne une vasodilatation, le flux sanguin est accéléré, ce qui se traduit par une augmentation de l'afflux sanguin vers le cerveau. C'est pourquoi de nombreuses personnes sont victimes d'hémorragies cérébrales aiguës après avoir consommé de l'alcool ; il convient donc de boire moins d'alcool, pas plus d'un tonneau de vin blanc ou d'une bouteille de bière par jour pour les hommes, les femmes devraient réduire leur consommation de moitié, les femmes enceintes n'ont pas le droit de boire de l'alcool.

La consommation de café est également interdite. Le café a un effet excitant et peut également provoquer une constriction des vaisseaux sanguins cérébraux, et le flux sanguin vers le cerveau diminuera progressivement, entraînant une hémorragie cérébrale, des vertiges, etc. et augmentant le risque de maladie.

En plus de l'alimentation, l'autre partie consiste à renforcer le mouvement. Après avoir mangé et s'être allongé pendant 20 minutes, sortez marcher et jouer au tai-chi, ou pour ceux qui sont en meilleure santé, vous pouvez également choisir la marche, le jogging, le vélo, la natation et d'autres sports.

En outre, les maladies cérébrovasculaires et le temps sont étroitement liés, les patients atteints de maladies cérébrovasculaires ne doivent pas pratiquer d'activités de plein air pendant les trois neuf jours de la période des trois volts ou en cas de changements soudains de température. Pour prévenir l'infarctus cérébral, il convient de se maîtriser et d'éviter les fluctuations émotionnelles, l'excès de fatigue et l'excès d'effort. Traiter en temps utile les maladies susceptibles de provoquer un infarctus cérébral, telles que l'athérosclérose, le diabète sucré, les maladies coronariennes, l'hyperlipidémie, l'hyperviscosité, l'obésité, la spondylose cervicale, etc.

Maintenant que vous savez à quoi vous attendre dans la prévention de l'infarctus cérébral, cela commence par votre vie quotidienne. Respectez-le et vous pourrez éviter l'infarctus cérébral !

L'infarctus cérébral est principalement observé chez les personnes âgées, mais l'incidence de l'infarctus cérébral augmente avec l'âge. L'infarctus cérébral est prévenu de différentes manières selon les groupes de personnes, principalement celles qui n'ont jamais eu d'infarctus cérébral et celles qui ont déjà eu un infarctus cérébral.

Les personnes qui n'ont jamais eu d'infarctus cérébral doivent contrôler activement les facteurs sous-jacents susceptibles de provoquer un infarctus cérébral, qui se répartissent principalement en trois catégories : la première concerne les mauvaises habitudes de vie : consommation excessive d'alcool, tabagisme, préférences alimentaires (graisse, sucre, etc.) ; la deuxième concerne le contrôle des maladies sous-jacentes : hypertension, diabète sucré, hyperlipidémie, fibrillation auriculaire, etc. et elles doivent prendre activement des médicaments oraux pour les ramener à un état normal ; la troisième concerne les facteurs génétiques. Troisièmement, les facteurs génétiques : les personnes ayant des antécédents familiaux d'infarctus cérébral devraient accorder plus d'attention que les autres à la prévention des maladies vasculaires cérébrales.

Pour les patients ayant déjà subi un infarctus cérébral, la prévention secondaire de l'infarctus cérébral doit être effectuée activement, faute de quoi le risque d'un autre infarctus cérébral augmentera. Dans le cadre de la prévention des maladies de base susmentionnées, il convient de prendre des médicaments par voie orale à long terme, tels que des antiplaquettaires (comprimés entérosolubles d'aspirine ou clopidogrel, etc.), des hypolipidémiants et des stabilisateurs de plaque (statines), et de vérifier régulièrement la fonction de coagulation et la fonction hépatique, afin de prévenir l'infarctus cérébral. Entre-temps, il convient de prêter attention aux hémorragies cérébrales et à la production de lésions hépatiques.

L'infarctus cérébral est une maladie qui peut causer de graves dommages physiques et mentaux aux patients et à leur famille. Des études récentes ont montré que le nombre de patients qui se suicident après un accident vasculaire cérébral augmente d'année en année et que les patients ayant déjà subi un infarctus cérébral devraient être activement protégés contre la dépression, ce qui devrait être pris au sérieux par les patients et leur famille. L'infarctus cérébral étant de plus en plus fréquent chez les jeunes, les personnes âgées devraient boire modérément, arrêter de fumer, suivre un régime pauvre en sel et en graisses, faire de l'exercice et éviter activement l'hypertension artérielle, le diabète sucré, l'hyperlipidémie et d'autres facteurs de risque communs de l'infarctus cérébral.

Réponse : Bao Qian M.S.

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Ma mère infarctus cérébral, hémorragie cérébrale, est causée par de mauvaises habitudes, manger ne pas soutenir ne pas arrêter, mais aussi manger de l'huile spéciale particulièrement salée, mais aussi tous les jours de manger des cubes de sucre, mais aussi ne pas aimer bouger, la nuit plus de cinq heures pour manger un repas sur le lit, un sommeil pendant plus de dix heures, des dizaines d'années, sans éducation, surtout la vie capricieuse, vraiment jamais pensé à pour les autres. Après l'hémorragie cérébrale a pris le relais et je vis, la vie ne peut pas prendre soin d'eux-mêmes, mais chaque jour lui a dit de marcher plus, bien bouger le corps, bon gars, en plus de manger est de dormir, personne comme elle, je sens que cette moitié d'année je meurs de colère par elle, l'amour ce que vous voulez faire, de faire mon devoir, elle veut comment vivre comment vivre c'est leur propre paresse à la mort.

L'infarctus cérébral est l'accident vasculaire cérébral le plus fréquent. Il touche principalement les personnes d'âge moyen et les personnes âgées, mais ces dernières années, le nombre de jeunes patients a également tendance à augmenter ; il est donc nécessaire de prêter attention aux mesures préventives de l'infarctus cérébral.

Causes et symptômes courants de l'infarctus cérébral ?

L'infarctus cérébral est causé parIschémie du tissu cérébral due à l'obstruction des vaisseaux sanguinsIl s'ensuit une série de changements pathologiques, dont la thrombose cérébrale, l'infarctus lacunaire et l'embolie cérébrale. Il existe également un type d'infarctus cérébral occlusif non artériel, dominé par l'ischémie et l'hypoxie des cellules cérébrales.

Les cellules cérébrales sont sensibles à l'ischémie et à l'hypoxie et subissent généralement un œdème et une nécrose 4 à 6 heures après le début de l'infarctus, avec un temps de latence de 1 à 2 heures.Étourdissements, maux de tête, vomissements, symptômes de coma, accompagnés de lésions des fonctions cérébrales, se manifestant par une hémiparésie, une aphasie, une ataxie, etc. et, dans les cas graves, un coma profond avec dilatation des pupilles et perte de conscience peut survenir. ......
Comme ce patient de 62 ans souffrant d'un infarctus cérébral dû à une obstruction de l'artère cérébrale moyenne gauche et d'une hémiparésie du membre droit.

Quelles sont les causes fréquentes d'infarctus cérébral ? Comment peut-on le prévenir ?

Les causes de l'infarctus cérébral aigu comprennent le rétrécissement et l'obstruction des artères cérébrales dus à des anomalies vasculaires, hématologiques et hémodynamiques. Les principaux facteurs de risque sont les patients atteints des trois HTA (hypertension, diabète sucré, hyperlipidémie), les maladies coronariennes, le tabagisme, la consommation d'alcool et l'obésité.

Le contrôle des trois marqueurs élevés est la mesure la plus importante pour prévenir l'infarctus cérébral chez les personnes d'âge moyen et les personnes âgées.Les patients souffrant de trois niveaux d'hypertension doivent faire contrôler régulièrement leur tension artérielle, leur glycémie et leurs lipides sanguins et prendre régulièrement les médicaments prescrits par leur médecin. De nombreux patients souffrant de trois niveaux d'hypertension artérielle pensent que les médicaments sont trois fois toxiques, ce qui les amène souvent à réduire la dose de médicaments en fonction de leurs propres souhaits, ce qui, à long terme, aggravera les dommages potentiels causés aux vaisseaux sanguins cérébraux. Certaines maladies cardiaques, telles que la fibrillation auriculaire et les valvulopathies, présentent un risque beaucoup plus élevé d'infarctus cérébral que les personnes normales, et devraient suivre les conseils de cardiologues professionnels pour contrôler scientifiquement la maladie sous-jacente.

Outre l'application des médicaments décrits ci-dessus, les personnes d'âge moyen et les personnes âgées doivent éviter l'excitation émotionnelle et la fatigue excessive (il n'est pas rare que les patients subissent un infarctus cérébral en raison d'une violente colère), les personnes obèses doivent réduire leur poids corporel, adhérer à l'exercice aérobique régulier, éviter l'alcool et le tabac, le régime alimentaire habituel doit être renforcé par un régime pauvre en graisses et en sel, et augmenter la consommation d'aliments riches en vitamines.

Bien que les recommandations ci-dessus soient toutes des clichés et connues de beaucoup, certaines personnes ne sont pas convaincues de l'utilité de ces mesures. Nous démontrons la validité scientifique des points ci-dessus à l'aide d'exemples concrets :
Ce patient de 54 ans souffrait d'hyperlipidémie depuis de nombreuses années, d'athérosclérose et de sténose. Après trois ans d'exercices d'aérobic, un régime pauvre en graisses et des médicaments pour contrôler les lipides sanguins, un examen a révélé que la plaque d'athérosclérose avait disparu. Le programme recommandé par le médecin était le suivant :
Faire de l'exercice pendant plus de 30 minutes par jour, marcher à un rythme de six kilomètres par heure, réduire la consommation d'abats, augmenter la consommation de légumes et de fruits, et arrêter de fumer.

Ces habitudes saines doivent être prises lentement dès le plus jeune âge et peuvent vous être bénéfiques tout au long de votre vie. Comme nous le disons toujours, ne choisissez pas la facilité ! Nous connaissons tous le raisonnement, l'essentiel est de le faire !

Je le suis.Dr Howe, ImagerieMerci de votre lecture et n'hésitez pas à me suivre.

L'infarctus cérébral, également appelé accident vasculaire cérébral ischémique, est défini comme une nécrose ischémique limitée ou un ramollissement du tissu cérébral causé par une altération de l'apport sanguin cérébral, l'ischémie et l'hypoxie. Les types cliniques courants sont l'infarctus cérébral athérothrombotique, l'embolie cérébrale et l'infarctus lacunaire. L'infarctus cérébral représente environ 70 à 80 % de tous les accidents vasculaires cérébraux.

L'infarctus cérébral n'est plus l'apanage des personnes âgées, et de plus en plus de jeunes et de personnes d'âge moyen en souffrent aujourd'hui. Par conséquent, nous, les jeunes, devrions également prêter attention au fait que des jeunes d'une vingtaine d'années souffrent d'infarctus cérébral, ce qui doit éveiller notre attention.

Tout d'abord, nous devons connaître notre état de santé et nous soumettre à un examen médical annuel. Avons-nous de l'hypertension, des lipides, de la glycémie, des plaques, de l'athérosclérose, de la fibrillation auriculaire, etc.

Deuxièmement, nous devons faire un peu de planification pour nous-mêmes dans notre vie quotidienne, contrôler le poids en termes de quantité, ne pas manger trop gras, afin de manger trop d'aliments frits pour un moment de désir, en particulier la nourriture de rue, le barbecue, etc. Mangez plus de légumes et de céréales secondaires chaque jour. Il est préférable de cuisiner soi-même tous les jours, il est difficile de s'assurer que la nourriture en dehors du matériel, de l'huile, de la quantité de vert et de sain.

En outre, nous devons travailler et nous reposer régulièrement, ne pas nous coucher tard, conseiller à certains de se coucher tard, les "noctambules", se coucher tard augmente considérablement le risque de maladies cardiovasculaires, la santé du corps est très préjudiciable, beaucoup de morts subites se produisent dans les heures tardives de la nuit. Se coucher à 10 heures tous les soirs, une bonne nuit de sommeil est non seulement saine, mais aussi énergique, le travail et le corps sont bons.

Une demi-heure d'exercice aérobique par jour, la vie c'est le mouvement. L'exercice accélère la circulation sanguine et le métabolisme, et chaque cellule est sollicitée, ce qui vous rend plus fort, améliore l'immunité de votre organisme et vous rajeunit.

C'est bientôt la veille du Nouvel An, et j'aimerais souhaiter à tous les fans et amis une bonne année et tous mes vœux de réussite. Le Nouvel An est une période de réunion de famille, il est inévitable qu'il y ait une variété de repas, assurez-vous de boire moins de vin, plus de compagnie. Fumez moins et communiquez davantage. Soyez heureux, mais ne vous emballez pas, restez calmes et tranquilles, réunissez-vous pour le Nouvel An.

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Réponse:J'aime la phrase du nutritionniste Hu Xiaosong, il n'y a pas de malbouffe, il n'y a que de la malbouffe. En fonction de sa propre situation, il faut se taire (veiller à la nutrition), ouvrir les jambes (faire de l'exercice modéré), procéder à temps à un examen physique, en particulier pour les personnes d'âge moyen et les personnes âgées qui examinent la veine jugulaire, afin de déterminer clairement le type de caillots sanguins qui se sont formés dans le cœur et le cerveau, et de mettre en place un traitement et une prévention précoces.

L'infarctus cérébral, également connu sous le nom d'accident vasculaire cérébral ischémique, est l'un des types les plus courants de maladie cérébrovasculaire, et le rapport de l'enquête nationale rétrospective par sondage sur les causes de décès réalisée ces dernières années montre que les maladies cérébrovasculaires se sont hissées en tête de la liste des décès liés à la maladie en Chine. Parmi ces maladies, l'infarctus cérébral aigu est celle qui présente le taux d'invalidité le plus élevé, et sa morbidité, son taux d'invalidité et son taux de mortalité élevés représentent un lourd fardeau et une grande souffrance pour les patients, les familles et la société. Comment prévenir ce type de maladie ? La prévention de l'infarctus cérébral se divise en prévention primaire et prévention secondaire.

La prévention primaire fait référence à la prévention de la morbidité, qui consiste à modifier les modes de vie malsains et à contrôler les facteurs de risque avant que l'accident vasculaire cérébral ne survienne. Elle comprend quatre aspects, tels que le contrôle des facteurs de risque, le dépistage précoce de l'AVC, l'amélioration du mode de vie et une alimentation saine et rationnelle, que nous appelons les "quatre piliers" de la prévention primaire de l'AVC.

La prévention secondaire consiste à rechercher la cause d'un accident vasculaire cérébral après sa survenue et à contrôler les facteurs de risque sur lesquels il est possible d'intervenir pour prévenir et réduire le risque de récidive de l'accident vasculaire cérébral. Les patients ayant subi un accident vasculaire cérébral ischémique ont un risque de récidive neuf fois plus élevé que la population générale. Les antihypertenseurs, les hypolipidémiants de type statine et les antiplaquettaires sont les trois pierres angulaires de la prévention secondaire de l'AVC ischémique et doivent être pris pendant une longue période, voire à vie.

Ce type de maladie est causé par divers facteurs de risque, divisés en deux catégories : les facteurs de risque évitables et les facteurs de risque non évitables, parmi lesquels les facteurs de risque non évitables sont les facteurs génétiques, l'âge, le sexe, la race, etc. qui ne peuvent être modifiés ; tandis que les facteurs évitables sont la cible principale de notre prévention de ce type de maladie. Ils comprennent les éléments suivants : le tabagisme, l'hypertension, le diabète, la fibrillation auriculaire, la dyslipidémie, la sténose carotidienne asymptomatique, l'alimentation et la nutrition, l'inactivité physique, l'obésité, le syndrome métabolique, la consommation d'alcool, l'hyperhomocystéinémie, les contraceptifs oraux, la thérapie hormonale post-ménopausique, l'hypercoagulabilité, et ainsi de suite.

En plus de ce qui précède, nous devrions toujours garder à l'esprit que la prévention des accidents vasculaires cérébraux commence par moi-même. Nous devons connaître notre tension artérielle, bien la contrôler et prendre les médicaments prescrits par le médecin ; nous devons passer des examens médicaux réguliers pour connaître les niveaux de tension artérielle, de glycémie et de lipides sanguins, et détecter les anomalies à temps pour les traiter ; nous devons également changer notre mauvais mode de vie, tel que l'exercice physique approprié, le travail et le repos réguliers, la combinaison du travail et des loisirs et un régime alimentaire adapté, etc. et manger plus d'aliments riches en protéines et en fibres, et moins de sel et de régime riche en graisses ; enfin, nous devons surmonter la mauvaise habitude de fumer et de consommer modérément de l'alcool. Enfin, nous devons vaincre les mauvaises habitudes : arrêter de fumer, consommer de l'alcool avec modération. Je pense que si nous accordons plus d'attention aux aspects ci-dessus, la maladie de l'infarctus cérébral sera loin de nous tous.

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Les vaisseaux sanguins du corps humain sont comme la conduite d'eau à la maison, après des années d'utilisation, la paroi interne du tuyau est facilement entartrée, rouillée, lorsque l'écoulement de l'eau dans la conduite est bloqué et ne peut pas se faire en douceur, et le cholestérol, les triglycérides, les LDL, etc., sont comme le sang dans le "calcaire", lorsqu'ils s'accumulent de plus en plus sur les parois des vaisseaux sanguins, la formation de plaques, l'élasticité de la paroi du vaisseau sanguin sera réduite, et finalement les gens seront induits par l'ischémie et l'infarctus cérébral. L'élasticité de la paroi des vaisseaux sanguins sera réduite, et les gens finiront par souffrir d'ischémie et d'infarctus cérébral.

L'infarctus cérébral est une sorte de maladie soudaine, qui peut aller bien à un moment donné, mais dont le corps développe soudainement des symptômes d'infarctus cérébral l'instant d'après. Quels sont donc les signes avant-coureurs d'une attaque cérébrale ?

  1. aggravation soudaine des vertiges et des céphalées ou passage de céphalées intermittentes à des céphalées sévères persistantes. On considère généralement que les céphalées et les vertiges sont les signes précurseurs d'un infarctus cérébral ischémique, tandis que les céphalées sévères accompagnées de nausées et de vomissements sont les signes précurseurs d'un infarctus cérébral hémorragique.

  2) Déficience visuelle transitoire, se manifestant par une vision floue, ou des défauts du champ visuel, une vision incomplète, ce phénomène se rétablit généralement de lui-même dans l'heure qui suit, et constitue un signe prédictif précoce d'infarctus cérébral.

  3. des modifications de la parole et des facultés mentales, c'est-à-dire des difficultés d'articulation, une aphasie, des difficultés d'écriture ; des changements soudains de la personnalité, de la réticence, de l'indifférence ou de l'impatience, de la volubilité, de l'irritabilité ou une altération passagère du jugement ou de l'intelligence, de la somnolence.

  4. d'autres manifestations de l'aura, telles que nausées et vomissements ou strangulation, ou fluctuations de la pression artérielle et accompagnement de vertiges, d'étourdissements ou d'acouphènes, de sang nasal récurrent inexpliqué, souvent pour le précurseur récent de l'abri sanguin élevé, de sang cérébral.

  5. la somnolence et l'endormissement, qui se manifestent par des bâillements, en particulier la réponse du centre respiratoire à l'hypoxie. Avec l'aggravation de l'athérosclérose cérébrale, la lumière artérielle devient de plus en plus étroite, et l'ischémie cérébrale s'aggrave sérieusement - environ 80 % des personnes atteintes d'infarctus cérébral ischémique 5 à 10 jours avant l'apparition de bâillements fréquents, il ne faut donc pas ignorer cet important signal d'alarme.

  6. des anomalies somatiques sensorielles et motrices, telles que des épisodes d'engourdissement ou de faiblesse unilatérale des membres, la perte de la préhension des mains, des évanouissements ou des chutes inexpliqués et une paralysie faciale unilatérale, pouvant durer jusqu'à 24 heures. Le suivi montre qu'un infarctus cérébral ischémique survient chez environ la moitié des personnes 3 à 5 ans après l'apparition de ces phénomènes.

  7) Le phénomène de l'atterrissage du rasoir fait référence au processus de rasage, lorsque la tête est tournée sur le côté et que l'on ressent soudainement l'impuissance du bras qui tient le rasoir, l'atterrissage du rasoir, qui peut s'accompagner de troubles de l'élocution, mais qui revient complètement à la normale au bout d'environ 1 à 2 minutes. Ce phénomène est dû à la rotation du cou, qui aggrave la sténose de l'artère carotide déjà durcie, entraînant une irrigation sanguine insuffisante du crâne et du cerveau, et une ischémie cérébrale transitoire. Cela suggère qu'un infarctus cérébral ischémique peut survenir à tout moment.

  8) Le black lemon transitoire désigne l'apparition soudaine de noir devant les yeux d'une personne normale, qui ne voit pas les objets, et qui revient à la normale en quelques secondes ou minutes, sans nausée, ni vertige, ni trouble de la conscience. Ce phénomène est dû à une ischémie transitoire de la rétine, suggérant des changements hémodynamiques intracrâniens ou une obstruction temporaire des artères rétiniennes par de minuscules thrombus, ce qui constitue le premier signal d'alarme d'une maladie cérébrovasculaire.


Le principe de base du traitement de l'infarctus cérébral par la médecine chinoise est d'améliorer la circulation sanguine dans le cerveau, d'augmenter le flux sanguin cérébral et de réduire la zone de l'infarctus cérébral. Le principe du traitement de l'infarctus cérébral par la médecine chinoise est de traiter à la fois les symptômes et la cause première, de réguler les vaisseaux sanguins, les méridiens, les orifices cérébraux, le foie, les reins, le qi et le sang par la méthode consistant à favoriser le qi, à activer le sang et à promouvoir la circulation sanguine, et de mettre en œuvre le principe de la combinaison des trois passages et des trois suppléments, à savoir ouvrir les vaisseaux sanguins, ouvrir les méridiens et ouvrir les orifices cérébraux, et reconstituer le foie, reconstituer les reins, et reconstituer le qi et le sang.

En tenant compte de la tonicité, de la circulation, du traitement et de la prévention, et en utilisant des formules à base de plantes expérimentées qui favorisent le qi, nourrissent le sang, revigorent le sang et ouvrent les veines, on peut aider les veines et les canaux du corps à circuler sans problème.

La thérapie a également pour effet de réguler le qi et le sang, d'assurer l'équilibre du qi et du sang, de renforcer le qi et le sang et de débloquer les vaisseaux sanguins obstrués.

Toutefois, il a souligné qu'en raison des différentes causes de la maladie et de la constitution corporelle de chaque personne, certaines personnes peuvent présenter des symptômes plus évidents d'insuffisance du qi et du sang, tandis que d'autres peuvent présenter des symptômes plus évidents d'insuffisance rénale, de sorte que les médecins doivent prescrire le bon médicament pour différents patients, et les patients ne doivent pas utiliser aveuglément des médicaments de leur propre chef. Alors, comment prévenir l'infarctus cérébral au quotidien ?

1) Dans la vie quotidienne normale, les gens devraient consommer davantage d'aliments riches en vitamines, tels que les tomates et l'aubépine, et avoir une alimentation légère, contrôler la consommation de sel à environ 6 grammes, et augmenter l'apport de potassium pour réduire la tension artérielle et prévenir les accidents vasculaires cérébraux.

2. consommer davantage d'aliments riches en potassium tels que les pêches, les oranges, les bananes, les épinards et les graines de soja, manger moins d'abats et veiller à la consommation quotidienne d'eau. 5 à 8 verres d'eau (environ 1 000 ml à 2 000 ml) devraient être garantis chaque jour, ce qui contribuera à diluer le sang et à prévenir la formation de caillots sanguins. Adoptez de bonnes habitudes de vie et évitez l'infarctus cérébral.

3) Les personnes souffrant d'hypertension, de maladies cardiaques, de diabète, d'hyperlipidémie, de fibrillation auriculaire chronique et d'autres maladies cardiovasculaires sont sujettes à la maladie et doivent être vigilantes.

4) Les personnes ayant des antécédents familiaux d'accident vasculaire cérébral doivent faire l'objet d'une attention particulière, car l'infarctus cérébral peut les atteindre ;

5) Les indiscrétions alimentaires, la surconsommation d'aliments gras et nourrissants, ainsi que l'alcoolisme, le tabagisme et l'obésité peuvent conduire à ce que l'humidité de la rate génère du flegme, que le flegme se déprime et se transforme en chaleur, ce qui induit le vent du foie, emprisonne le flegme et perturbe la maladie. Vivre correctement et développer de bonnes habitudes de vie peut prévenir l'infarctus cérébral.

pointe

Les maladies cardiovasculaires et cérébrovasculaires sont très dangereuses et la prévention précoce est cruciale :

1. adopter un régime alimentaire équilibré et prendre les suppléments appropriés. Le déséquilibre alimentaire est l'une des causes importantes des maladies cardiovasculaires et cérébrovasculaires. Le régime alimentaire doit donc être raisonnable sur le plan nutritionnel, manger régulièrement, en quantité suffisante, sans excès. En outre, moins d'exercice, la supplémentation en aliments chauds et la surabondance de toniques sont susceptibles de provoquer une augmentation des lipides sanguins, d'induire des maladies cardiovasculaires et cérébrovasculaires, c'est pourquoi les toniques d'automne et d'hiver sont adaptés à la constitution de l'individu.

2. l'équilibre psychologique. La mélancolie, l'anxiété, le pessimisme, le stress mental et le rire provoquent une contraction de l'endothélium vasculaire et accélèrent le vieillissement des vaisseaux sanguins ; l'excitation émotionnelle est un tabou des maladies cardiovasculaires.

3. la combinaison du travail et du repos. Le travail régulier et le temps de repos, la fatigue, le coucher tardif et la veille tardive perturbent l'horloge biologique cardiovasculaire, ce qui entraîne un dysfonctionnement des tissus et des organes du corps, une vasoconstriction, un ralentissement du flux sanguin, une augmentation de la viscosité et, à long terme, un effet sur le métabolisme des lipides sanguins.

4) Exercice approprié. Les patients souffrant de maladies cardiovasculaires et cérébrovasculaires doivent faire de l'exercice de manière appropriée, tout en veillant à prendre des dispositions raisonnables en matière de temps d'exercice et à contrôler la quantité d'exercice.

J'espère que mes réponses vous ont été utiles et vous pouvez obtenir davantage de connaissances en matière de santé en suivant mon compte Today's Headlines/Wukong Q&A.

Point clé : l'infarctus cérébral est une maladie cérébrovasculaire ischémique, due à l'ischémie qui entraîne un dysfonctionnement du tissu cérébral. Il est possible de prévenir l'infarctus cérébral en améliorant le mode de vie, en arrêtant de fumer et de boire de l'alcool, en adoptant un régime pauvre en sucres et en graisses, en faisant souvent de l'exercice aérobique, en veillant à dormir suffisamment et à être de bonne humeur.

L'infarctus cérébral est une sorte de maladie cérébrovasculaire ; les maladies cérébrovasculaires se divisent en maladies cérébrovasculaires ischémiques et en maladies cérébrovasculaires hémorragiques ; l'infarctus cérébral appartient aux maladies cérébrovasculaires ischémiques, qui sont des maladies cérébrales causées par des troubles de l'apport sanguin cérébral ; comme les différentes parties des tissus cérébraux assument des fonctions différentes dans le corps humain, l'infarctus cérébral dans différentes parties des tissus cérébraux entraînera une altération des fonctions due à l'ischémie des tissus cérébraux de ces parties, comme l'hémiplégie, l'aphasie, les troubles de la compréhension, etc.

Des études épidémiologiques ont confirmé que l'apparition de l'infarctus cérébral est associée à des maladies métaboliques, telles que l'obésité, l'hypertension, le diabète, l'hyperlipidémie, etc. et à des lésions vasculaires causées par de mauvaises habitudes, telles que le tabagisme, la consommation d'alcool, etc :

  • Arrêtez de fumer, limitez votre consommation d'alcool et contrôlez votre poids

  • Des repas réguliers, moins d'aliments riches en sucre et en graisse

  • Pratiquer régulièrement des exercices d'aérobic tels que la marche rapide et le jogging.

  • Assurer un sommeil suffisant et une bonne humeur

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L'infarctus cérébral, également appelé infarctus cérébral ou accident vasculaire cérébral ischémique, est principalement dû à la formation d'une plaque dans les vaisseaux sanguins du cerveau, la plaque se développe lentement et devient un thrombus bloquant les vaisseaux sanguins, ou après une hémorragie cérébrale où les vaisseaux sanguins se rompent, le sang est dans un état d'hypercoagulabilité, et il est facile de coaguler pour devenir une embolie, conduisant à l'ischémie et à la nécrose des tissus cérébraux !Les cas bénins d'infarctus cérébral présentent des symptômes tels que des vertiges et un engourdissement des membres, qui passent souvent inaperçus en raison de la courte durée des symptômes, tandis que les cas graves se traduisent par un coma, qui peut mettre la vie en danger s'il n'est pas traité à temps !

L'infarctus cérébral et l'hémorragie cérébrale ne peuvent être traités de manière symptomatique qu'après leur survenue, et la prévention est plus importante que le traitement !



Certaines études ont montré que 6 mois après le début de l'infarctus cérébral est la période d'or pour la récupération de la fonction neuronale cérébrale, sauf dans le cas de l'infarctus du myocarde.Sous la direction d'un médecin, l'utilisation de médicaments antiplaquettaires, d'aspirine, de clopidogrel ou de Tegretol, de statines stabilisant les lipides, telles que les comprimés d'atorvastatine (l'utilisation à long terme de médicaments antiplaquettaires peut entraîner des saignements des muqueuses gastro-intestinales et des tissus sous-cutanés, et il convient généralement de surveiller l'apparition de selles noires et de taches rouges sous-cutanées ; l'utilisation à long terme de statines doit permettre de surveiller l'apparition de douleurs musculaires).Nous devons également prêter attention aux trois points suivants dans notre vie !

1. régime pauvre en sel et en graisses.Or, l'Organisation mondiale de la santé recommande une consommation quotidienne de sel inférieure à 5 g. L'excès de sel augmente le risque d'hypertension artérielle, qui est aussi un facteur de risque d'infarctus cérébral ! De même. Une consommation trop importante de graisses entraîne une augmentation des graisses dans le sang, une augmentation de la viscosité du sang et favorise le développement de l'athérosclérose ! Par conséquent, les trois repas quotidiens doivent être équilibrés sur le plan nutritionnel, et il faut également éviter de manger des aliments épicés et trop stimulants.

2, plus d'exercice, comme la natation, le jogging et d'autres exercices d'aérobicIl est recommandé de faire de l'exercice pendant 30 à 60 minutes à chaque fois, de faire de l'exercice au moins cinq fois par semaine et d'atteindre un minimum de 150 minutes ou plus d'exercice aérobique par semaine. Une adhésion à long terme peut permettre de perdre du poids et d'abaisser la tension artérielle, d'améliorer le métabolisme de base et d'augmenter l'élasticité vasculaire !

3) Boire plus d'eau réduit la viscosité du sang et est également bénéfique pour la santé cardiovasculaire !

4. arrêter de fumer et de boire !

Les cigarettes contiennent de la nicotine et d'autres substances nocives, et une fois qu'elles pénètrent dans le corps humain, elles ont un impact sur les fonctions cardiovasculaires, lipidiques et de coagulation du sang, favorisant l'apparition d'infarctus cérébraux. La consommation excessive d'alcool et l'alcoolisme entraînent une diminution de l'élasticité des vaisseaux sanguins, provoquent une hypertension artérielle et, en fin de compte, une série de maladies cardiovasculaires et cérébrovasculaires.


Enfin, je vous souhaite à tous une bonne santé, du bonheur en famille, du bon travail et de la réussite dans vos études !

Purement écrite à la main, j'espère que ma réponse vous a été utile ! Si vous pensez que l'écriture est correcte, merci d'aimer et de suivre !

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