Il existe quatre principaux types de diabète : le diabète de type 1, le diabète de type 2, le diabète de stress et le diabète gestationnel. Aujourd'hui, nous nous concentrons sur le diabète de type 2 et le diabète de stress.

Les principales causes du diabète de type 2 sont une carence relative en insuline et une diminution de la sensibilité à l'insuline des cellules cibles. Étant donné que l'hyperlipidémie interfère avec l'efficacité de l'insuline, le profil typique d'une glycémie élevée qui se produit lorsqu'elle est associée à une hyperlipidémie sévère est à la fois une glycémie à jeun et une glycémie postprandiale élevées. Par exemple, une glycémie à jeun de 10 et une glycémie postprandiale de 15.

Le règlement est axé sur les lipides et le régime alimentaire !

Le diabète de stress est un diabète temporaire causé par une sécrétion accrue d'hormones antagonistes de l'insuline, telles que l'hormone adrénocorticotrope, les catécholamines, le glucagon et l'hormone de croissance, en cas de stress intense.

Il est important de noter que même les diabétiques de type 2 peuvent avoir une réaction de stress importante qu'il faut prendre au sérieux ! Le stress est également une cause majeure de perturbation, voire d'élévation anormale de la glycémie.

Le profil typique de la glycémie observé dans le diabète de stress est élevé à jeun, élevé et normal après les repas, et parfois hypoglycémique. Par exemple, hier, la glycémie à jeun était de 9 et la glycémie postprandiale de 8, aujourd'hui la glycémie à jeun est de 8 et la glycémie postprandiale de 15.

Le conditionnement est axé sur : l'élimination du stress !

Le scénario le plus probable pour une glycémie instable est qu'une réponse au stress a été déclenchée !

Notre corps dispose d'un mécanisme très sophistiqué de régulation de la glycémie. Il existe de nombreuses hormones différentes dans le corps qui affectent les niveaux de glucose dans le sang, en plus de l'insuline, il y a aussi le glucagon, l'adrénaline, l'hormone de croissance sécrétée par la glande pituitaire antérieure, la thyroxine, les catécholamines, et ainsi de suite. Le stress, la tension, les soirées tardives, l'insomnie, l'alcoolisme, une charge de travail élevée, une mauvaise alimentation et des hypoglycémies fréquentes sont autant de stimuli stressants courants qui peuvent facilement entraîner une augmentation du taux de sucre dans le sang !

Les dernières recherches sur le diabète confirment que la tension et le stress constants sont des déclencheurs majeurs du diabète ! Lorsque nous sommes en état de stress, le cerveau a besoin de consommer beaucoup de sucre dans le sang pour assurer son bon fonctionnement et le corps se retrouve en état d'hypoglycémie. Le sucre étant la principale source d'énergie, lorsqu'une situation d'hypoglycémie se produit, l'organisme déclenche une réaction de stress hypoglycémique avec une augmentation du glucagon, une suppression de l'action de l'insuline, une dégradation du glucose sanguin par le glycogène hépatique, et les protéines ainsi que les graisses dans les muscles sont converties en glucose sanguin par gluconéogenèse, ce qui augmente les réserves de glucose sanguin de l'organisme.

Si les situations d'urgence se répètent, l'organisme est en état de préparation au combat (stress) et la demande de glucose sanguin augmente considérablement, avec une excitation sympathique, la sécrétion de l'hormone adrénocorticotrope (le glucagon le plus puissant), une élévation soutenue du glucagon (l'hormone glucagon prédominante), la promotion de la production de glucose sanguin par les protéines et les graisses par le biais de la gluconéogenèse, et la reconstitution de grandes quantités d'acides gras libres dans la circulation sanguine pour fournir les matières premières nécessaires à l'élévation du glucose sanguin.

Lorsque le corps augmente activement le taux de sucre et que l'hormone adrénocorticotrope et le glucagon sont sécrétés en grande quantité, les médicaments hypoglycémiants et l'insuline deviennent inefficaces ! Lorsque le stress disparaît et que les médicaments agissent, ils provoquent à nouveau une chute brutale du taux de sucre dans le sang !

Par conséquent, en cas de diabète de stress ou d'hyperglycémie causée par un stress important, l'utilisation de médicaments et d'insuline pour réduire la glycémie peut aggraver la réponse au stress !

Comme ce type de diabète ne nécessite généralement pas de traitement hypoglycémiant, les médecins ne vous parlent généralement pas de diabète de stress, même si la plupart des diabètes sont déclenchés par le stress. Nous pouvons néanmoins observer trois phénomènes typiques :Phénomène de Sumuje, phénomène de l'aube, phénomène du crépuscule.

Le phénomène de Sumuje, qui est aussi une réponse au stress, laIl s'agit d'un phénomène d'hypoglycémie suivi d'une hyperglycémie. Parfois, une hypoglycémie sévère entraîne une hyperglycémie réactive qui peut durer plusieurs jours. En effet, la sécrétion de glucagon, d'hormone de croissance, d'hormone adrénocorticotrope et d'épinéphrine par l'organisme augmente considérablement afin d'éviter les dommages causés par l'hypoglycémie, de sorte qu'une glycémie élevée survient après chaque hypoglycémie.

Phénomènes de l'aube et du crépusculeAssociée à une augmentation de l'hormone de croissance et du glucagon, elle est généralement observée chez les personnes atteintes de diabète de type 1 ou sous insulinothérapie, avec une glycémie élevée le matin et au crépuscule.

Le diabète est l'une des maladies les plus mal diagnostiquées.

Le Premier ministre britannique Theresa May, après deux ans de traitement incorrect du diabète, a découvert qu'elle avait été diagnostiquée avec le mauvais type de diabète, ce qui est pour le moins risible et déplorable, mais c'est l'état de l'art en matière de diagnostic médical et de traitement du diabète !

Les examens de routine effectués à l'hôpital pour confirmer le diagnostic de diabète sucré sont les suivants : tests biochimiques (fonction hépatique ; lipides sanguins ; glycémie à jeun ; fonction rénale ; acide urique ; lactate déshydrogénase ; créatine myrosinase, etc.), hémoglobine glyquée et test de tolérance au glucose.

En règle générale, lorsque la glycémie dépasse les valeurs standard (glycémie à jeun supérieure à 7 mmol/l et glycémie postprandiale supérieure à 11,1/l), vous êtes étiqueté comme diabétique. La glycémie est alors généralement traitée comme un diabète de type 2, c'est-à-dire une carence en insuline, indépendamment de l'altération de la fonction pancréatique et de la réduction de la sécrétion d'insuline.

Le coup de grâce ! Les hôpitaux ne vérifient presque jamais la présence de l'hormone adrénocorticotrope (GC), du glucagon, des catécholamines, de l'épinéphrine et d'autres hormones qui provoquent une augmentation de la glycémie, et ne recherchent pas le stress et d'autres facteurs qui déclenchent une glycémie élevée. Par conséquent, le diabète de stress ou les anomalies de la glycémie causées par des stimuli stressants ne sont pas reconnus et sont très susceptibles de faire l'objet d'un diagnostic erroné et d'être retardés.

Comment pouvez-vous identifier le type de diabète de stress ?

S'il n'y a pas de réduction de la sécrétion d'insuline, la glycémie a tendance à augmenter anormalement, souvent accompagnée de symptômes d'hypoglycémie : sueurs, faim, panique, tremblements, pâleur, etc. Dans les cas graves, il peut également y avoir inattention, agitation, irritabilité ou même coma. Dans les cas les plus graves, il peut s'agir d'inattention, d'agitation, d'irritation, voire de coma. S'il existe des facteurs de stress évidents ou de mauvaises habitudes, vous pouvez suspecter une hyperglycémie provoquée par le stress ou un diabète provoqué par le stress ; en outre, vous pouvez communiquer avec le médecin, effectuer des tests supplémentaires de l'hormone adrénocorticotrope (GC) et de l'hormone pancréatique hyperglycémiante, afin d'éviter un diagnostic erroné.

Cinq principes de gestion du diabète Vista :

Tout d'abord, la régulation des lipides sanguins

Nous aidons un grand nombre de personnes obèses atteintes de diabète de type 2, grâce à la perte de poids pour réduire les lipides sanguins, la glycémie peut revenir à la normale. En d'autres termes, les patients souffrant d'hyperlipidémie ont besoin d'un taux de sucre plus élevé pour répondre aux besoins de l'organisme ; il faut donc réduire le taux de graisse dans le sang plutôt que de simplement abaisser le taux de sucre. Veillez à ne pas manger beaucoup de riz raffiné et de nouilles, ce type d'aliments fait monter le sucre trop vite et le fait baisser rapidement, puis l'excès de sucre sera converti en cholestérol, qui est la cause la plus négligée de l'hyperlipidémie et qui affecte donc le métabolisme du sucre !

La graisse est une préoccupation pour de nombreuses personnes, en particulier le diabète est également sujet à des troubles du métabolisme des lipides, mais l'apport de graisses et d'huiles de haute qualité est essentiel, l'huile de lin, l'huile d'olive, les poissons de haute mer sont de bons choix. Le sucre, les graisses, les protéines dans l'apport de calories, doivent avoir la participation de la vitamine B afin d'être pleinement convertis et utilisés. Les aliments riches en vitamines B comprennent les viandes maigres, le malt et la levure de bière.

La régulation des lipides sanguins permet d'éviter le recours aux statines, médicaments hypolipidémiants de première intention, mais en inhibant la conversion du sucre sanguin en cholestérol, elles peuvent entraîner une augmentation de la quantité de sucre sanguin retenue dans la circulation sanguine, ce qui peut provoquer une augmentation de la glycémie.

Deuxièmement, des repas réguliers

Consommez de manière équilibrée du riz brun, des haricots, du poisson, de la viande et des légumes. Ne suivez pas de régime, mangez des aliments à faible indice glycémique - ne pensez pas trop à suivre un régime pour réduire votre taux de sucre, mais veillez à vous tenir à l'écart des conditions hypoglycémiques. Si l'hypoglycémie persiste, l'hormone adrénocorticotrope et la sécrétion de glucagon augmentent, les protéines graisseuses sont converties en glucose sanguin par la néoglucogenèse, tout en inhibant l'action et la sécrétion de l'insuline, et une grande quantité d'acides gras libres pénètrent dans la circulation sanguine pour préparer les matières premières nécessaires à la poursuite de l'augmentation de la glycémie. Préparation. Les glucides se rapportent principalement au riz et aux nouilles que nous mangeons souvent. Comme le riz et les nouilles sont aujourd'hui transformés de plus en plus finement, ils manquent des fibres alimentaires et des vitamines nécessaires, et leur teneur en sucre augmente trop rapidement, ce qui stimule la sécrétion excessive d'insuline.

Le diabète devrait être évité en mangeant du riz délicat et des nouilles de base, en ajoutant du riz brun, du fourrage grossier, des céréales mélangées, des légumineuses et des légumes, ce qui peut grandement contribuer à adoucir la glycémie postprandiale. Les haricots mixtes et le riz brun, parce qu'ils sont riches en fibres ou directement supplémentés en fibres, permettent une absorption lente des sucres et des lipides sans les variations en dents de scie de la glycémie et des lipides.

Dans le cas du diabète, le nutriment le plus important pour équilibrer la glycémie et les lipides est la fibre alimentaire !Les fibres alimentaires ralentissent l'absorption du sucre et des graisses dans les intestins, empêchant ainsi une augmentation rapide de la glycémie et des lipides sanguins après un repas, ce qui ralentit la pression exercée sur le pancréas et le foie. De plus, comme les fibres alimentaires permettent à l'organisme d'absorber lentement le sucre dans le sang, elles lissent la glycémie tout en maximisant l'utilisation des nutriments alimentaires afin d'éviter l'hypoglycémie.

Troisièmement, dépister le stress

C'est essentiel ! Sinon, l'organisme libère de grandes quantités de glucagon pour augmenter la glycémie tout en supprimant l'action de l'insuline lorsque le sucre sanguin est désespérément nécessaire. Les situations qui peuvent conduire au stress sont les suivantes : soirées tardives, charges de travail élevées, stress, peur, pression, émotions négatives, régimes alimentaires irréguliers et hypoglycémies fréquentes sont autant de facteurs de stress courants qui peuvent déclencher une augmentation de la glycémie. Les facteurs de stress tels que le stress et les émotions ont un impact beaucoup plus important sur la glycémie que ce qui est traditionnellement reconnu !

La peur et la nervosité entraînent une augmentation de la sécrétion d'adrénaline, ce qui provoque une élévation de la glycémie Le stress et l'anxiété provoquent une augmentation de la sécrétion de catécholamines, qui inhibent l'action de l'insuline, ce qui provoque une élévation de la glycémie La puberté, la grossesse, la ménopause, la stimulation mentale, les traumatismes et d'autres causes entraînent une augmentation de la sécrétion de thyroxine. La thyroxine peut favoriser l'absorption du glucose par la muqueuse de l'intestin grêle, tout en favorisant la glycogénolyse et la néoglucogenèse, ce qui entraîne une augmentation de la glycémie. Adoptez un régime alimentaire régulier, évitez de provoquer des lésions dues au stress et veillez à vous reposer et à vous détendre !

De nombreuses personnes ne savent pas comment se détendre, et même dormir ne leur permet pas de se reposer, il est donc nécessaire d'apprendre la thérapie du pas de la montagne et l'entraînement à l'autorelaxation. La thérapie du pas de printemps : marcher lentement une heure après les repas, en posant d'abord le talon sur le sol, les paumes des pieds sur le sol, puis cinq orteils pour ramasser le sol, de sorte que les orteils soient entièrement en contact avec le revêtement de la chaussée. En stimulant les zones réflexes de la plante des pieds, le corps et les émotions peuvent patienter jusqu'à la détente. Lors de la marche, le rythme respiratoire est de deux inspirations et une expiration.

Quatrièmement, faire attention à la mesure de la glycémie

Encore une fois, n'accordez pas trop d'importance à l'hypoglycémie. Il est important de comprendre que les diabétiques ont besoin d'une glycémie plus élevée que la personne moyenne, et que la glycémie ne redescendra naturellement que lorsque le stress et les autres causes de résistance à l'insuline auront été éliminés. Le diabète ne doit jamais être trop réduit par l'insuline, car si l'on essaie de réguler la glycémie en une seule étape, le résultat est souvent trop rapide. Par exemple, certains médecins recommandent de suivre un régime, de faire de l'exercice pour abaisser le taux de sucre et de contrôler strictement la glycémie, mais ne savent pas comment prévenir le risque d'hypoglycémie, ce qui est une pratique très dangereuse. Même en mettant deux sucres dans votre poche, vous ne pouvez pas contrecarrer les dommages que l'hypoglycémie peut causer à votre corps, et lorsque vous avez l'impression d'être en hypoglycémie, c'est que les dommages ont déjà eu lieu.

Les personnes atteintes de diabète doivent être attentives à la possibilité d'une hypoglycémie. Chaque hypoglycémie déclenche une réaction de stress, qui rend la prochaine hypoglycémie plus probable et augmente la réserve de sucre dans le sang. C'est pourquoi une personne moyenne ne souffre pas d'hypoglycémie tant que sa glycémie n'est pas inférieure à 2,8, alors que les diabétiques souffrent d'hypoglycémie à partir d'une glycémie de 3,9, et que certaines personnes ayant une forte réaction au stress souffrent même d'hypoglycémie lorsque leur glycémie tombe à 5 !

Cinquièmement, insister sur la respiration abdominale

L'énergie obtenue par le métabolisme des sucres est 19 fois plus importante en hypoxie qu'en aérobie ! De nombreuses personnes respirent si superficiellement qu'avant que la première moitié de leur souffle ne soit inspirée, la seconde moitié est déjà expirée, aucun échange gazeux n'a lieu et le corps se trouve en fait dans un état d'hypoxie chronique. Le manque d'énergie pousse également l'organisme à augmenter activement le taux de sucre ! C'est pourquoi la plupart des diabétiques présentent des symptômes de fatigue et de faiblesse. S'entraîner à gonfler l'estomac pendant l'inspiration permet d'assurer un apport suffisant en oxygène. L'oxygène adéquat aide le corps à réaliser des réactions métaboliques normales, ce qui permet d'obtenir suffisamment d'énergie tout en réduisant les déchets métaboliques qui sont nocifs pour le corps.

De nos jours, de plus en plus de patients diabétiques ne présentent pas les symptômes typiques des trois plus et un moins, mais souffrent généralement de fatigue et de faiblesse, comme un déficit énergétique, ce qui indique qu'il s'agit davantage d'un problème de métabolisme du glucose sanguin et d'utilisation de l'énergie, l'hypoxie est également une sorte de stimulus de stress, et il est plus probable que l'hypoxie apparaisse dans le corps en cas de tension et de situation stressante. L'hypoxie peut également provoquer une élévation de la glycémie dans l'organisme, et l'abaissement de la glycémie à ce moment-là peut aggraver le déficit énergétique et aggraver l'état de santé.

Si la respiration abdominale est difficile à respecter au début, se lever et se déplacer toutes les demi-heures et prendre quelques respirations profondes peut également être un bon moyen d'améliorer l'hypoxie. En ce qui concerne l'exercice, parce qu'il augmente la dépense énergétique et peut déclencher une hypoglycémie, le temps, la méthode et la quantité d'exercice requis pour les différents types d'exercice diabétique sont différents, et cet article ne fournit pas une introduction détaillée, vous pouvez consulter mes questions-réponses sur l'exercice diabétique.

Le diabète n'est pas effrayant, ce qui est effrayant c'est que vous avez peut-être créé le besoin de votre corps d'avoir un taux élevé de sucre dans le sang depuis le début, et que les médicaments que vous utilisez peuvent accélérer cette tendance encore plus.

Pour en savoir plus sur le diabète, l'hyperuricémie, l'hyperlipidémie, le régime cétogène, le stress, etc., consultez mes questions-réponses sur les Gnoses. Auparavant, le sanatorium a guidé la guérison lente de la maladie, le régime non médicamenteux complet est là. 418 réponses dans Wukong.

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Dans la vie quotidienne, certaines personnes se lèvent le matin à jeun après avoir pris des mesures et constatent que leur glycémie à jeun est relativement élevée.

1) Manger trop. Comme nous le savons tous, le régime alimentaire d'un individu a une relation plus directe avec son niveau de sucre dans le sang, si vous mangez trop, ou si vous consommez trop d'aliments riches en graisses et en protéines et d'autres aliments riches en calories, lorsque le patient dans les prémisses des médicaments hypoglycémiants ou de l'insuline est inchangé, les calories ne peuvent pas être entièrement consommées, seront converties en sucre dans le sang, et conduisent finalement à l'apparition d'une glycémie à jeun trop élevée.

2. manger trop peu. Ce point est en fait facilement ignoré par de nombreuses personnes, mais dans la clinique, il est relativement courant. Certaines personnes présentent une hypoglycémie le matin à 2 ou 3 heures, et un phénomène d'hyperglycémie le matin, ce phénomène étant surtout observé chez les patients atteints de diabète de type 1. Comme l'excès d'insuline du patient induit une hypoglycémie, à ce moment-là, le corps se protège, la sécrétion de glucagon pancréatique, d'hormone de croissance et d'hormone adrénocorticotrope augmente de manière significative, de sorte que chaque fois qu'une hypoglycémie se produit, le taux de sucre dans le sang apparaît comme élevé.

3. augmenter ou réduire brusquement l'exercice physique du patient. Une augmentation soudaine de l'exercice peut entraîner une hypoglycémie aux premières heures du matin, ce qui peut augmenter la sécrétion de glucagon et conduire à une augmentation de la glycémie à jeun dans la matinée. Une autre raison est la diminution soudaine de l'exercice, qui fait que les calories excédentaires ne sont pas consommées, ce qui conduit finalement à l'apparition d'une hyperglycémie.

Instructeur : Ren Zhengxin, médecin titulaire, département de médecine générale, hôpital populaire de Zhangye affilié au Hexi College.

Spécialité : 21 ans de travail clinique en médecine générale, le champ d'application du traitement comprend le diabète sucré, les maladies coronariennes, les maladies gynécologiques et pédiatriques courantes, ainsi que l'analyse et la gestion complètes de l'examen physique quotidien.

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Le diabète ne nous est pas inconnu, nous sommes plus ou moins entourés de parents, d'amis ou d'étrangers diabétiques, ou peut-être sommes-nous nous-mêmes diabétiques. Le diabète est fréquent chez les personnes d'âge moyen et les personnes âgées, l'incidence des personnes obèses est relativement élevée, de sorte que le travail habituel de perte de poids doit être effectué. En veillant à ce que les besoins nutritionnels de base de l'organisme soient satisfaits, en adoptant un régime pauvre en graisses, en protéines, en sel et en sucre, et en faisant en même temps plus d'exercice, on peut réduire les risques de développer un diabète, mais on peut aussi contrôler le développement du diabète.

Afin de prévenir l'apparition du diabète et de contrôler le taux de sucre dans le sang, nous devons généralement effectuer un bon contrôle du taux de sucre dans le sang, le contrôle de la glycémie à jeun étant particulièrement important. Cependant, il est également important de savoir qu'une glycémie à jeun élevée ne peut pas être identifiée comme un diabète, en l'absence de symptômes, pour diagnostiquer le diabète, il faut non seulement que le test de glycémie à jeun dépasse la valeur normale, mais aussi que la glycémie postprandiale dépasse la valeur normale, afin que le diagnostic puisse être confirmé.

Ne vous inquiétez pas trop, même si votre glycémie est élevée lorsque vous êtes à jeun, il ne s'agit pas nécessairement d'un diabète et cela peut être dû à plusieurs choses :

Premièrement, l'obésité excessive, ce groupe de personnes est enclin à une glycémie à jeun élevée, ce qui constitue également une population potentielle de diabétiques, principalement en raison du métabolisme relativement lent des muscles de ce groupe de personnes.

Deuxièmement, une faible sécrétion d'insuline tend à augmenter la glycémie à jeun.

Troisièmement, un stress émotionnel ou mental excessif, qui peut entraîner des fluctuations de la glycémie.

Quatrièmement, la quantité d'exercice est considérablement réduite, l'insuline ne peut pas jouer un rôle efficace, ce qui entraîne une glycémie élevée.

E. La consommation excessive de sucreries ou de boissons sucrées, qui peut facilement provoquer une augmentation du taux de sucre dans le sang en peu de temps.

L'hypoglycémie suivie d'une hyperglycémie de rebond est connue sous le nom de phénomène SOMOGYI.

Septièmement, la prise de certains médicaments, tels que la prednisone, la dexaméthasone et d'autres médicaments qui peuvent provoquer une hyperglycémie, ainsi que la prise de certains sirops contre la toux.

La consommation d'alcool peut entraîner une hypoglycémie ou une hyperglycémie.

(ix) Patients diabétiques, en cas de maladie ou d'autres urgences, si la dose initiale d'insuline ou de médicaments hypoglycémiants oraux utilisée est insuffisante, etc.

En même temps, il est important de noter qu'il est préférable de mesurer la glycémie à jeun tôt le matin, entre 6 et 8 heures, sans utiliser de médicaments hypoglycémiants, sans prendre de petit-déjeuner ou sans faire d'exercice avant le prélèvement sanguin. Si l'heure de la prise de sang à jeun est trop tardive, la valeur de la glycémie mesurée peut difficilement refléter l'effet thérapeutique du patient et le résultat peut être trop élevé ou trop bas.

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Pour répondre à votre question, une glycémie élevée à jeun est due au repas que vous avez pris hier soir, les calories sont importantes et ne sont pas libérées, ce qui provoque une glycémie élevée à jeun, essayez de suivre un régime hypocalorique, mettez les calories du repas, consommez les calories du corps en faisant de l'exercice, le corps est en sueur à droite, fermez la bouche et ouvrez les jambes !

Les causes d'une glycémie élevée à jeun doivent être analysées en fonction du problème.

(a) Diabète sucré avec "une glycémie à jeun élevée comme principale manifestation" au début de la maladie, avec une augmentation insignifiante de la glycémie après les repas. Cela est souvent dû à la présence d'une "résistance à l'insuline" plus évidente dans cette partie du foie. Le foie est un réservoir de glucose, qui est transporté vers les vaisseaux sanguins pendant le jeûne pour fournir de l'énergie à l'organisme. En cas de résistance à l'insuline, le glucose du foie est constamment transporté vers les vaisseaux sanguins et la quantité de glucose transportée augmente, ce qui entraîne une concentration élevée de glucose dans les vaisseaux sanguins pendant le jeûne et une augmentation de la glycémie à jeun. Si c'est le cas, il est possible de le traiter avec de la metformine.

Deuxièmement, un diabète a été diagnostiqué et le traitement consiste toujours en une glycémie élevée à jeun. Dans ce cas, trois possibilités sont à envisager :

1) Comme indiqué ci-dessus, la résistance à l'insuline du foie n'est pas prise en compte, les mesures sont les mêmes que ci-dessus.

(2) "Phénomène de Sumuje". Lorsque l'hypoglycémie survient la nuit, en particulier dans la seconde moitié de la nuit, l'organisme active la procédure d'autoprotection et augmente la glycémie par l'excitation des nerfs sympathiques et la sécrétion d'hormones, puis le matin il constate que la glycémie à jeun est élevée. Cette situation est souvent liée à des facteurs tels que l'utilisation excessive de médicaments thérapeutiques ou d'insuline, ou l'absence d'un repas raisonnable avant le coucher, et nécessite une adaptation du programme de traitement.

(3) "Phénomène de l'aube". Dans la dernière partie de la nuit, pendant la phase de l'aube, l'organisme sécrète des hormones qui augmentent la glycémie (par exemple, l'hormone de croissance, le glucagon, les glucocorticoïdes, etc.), tandis que la quantité d'insuline qui diminue la glycémie peut être insuffisante, ce qui entraîne un déséquilibre dans la régulation de la glycémie et une glycémie à jeun élevée. ), tandis que la quantité d'insuline qui abaisse la glycémie peut être insuffisante, ce qui entraîne un déséquilibre dans la régulation de la glycémie et une glycémie à jeun élevée.

4) Comment identifier le "phénomène Soumoujian" et le "phénomène de l'aube" ? Effectuez une mesure de la glycémie à 2 heures du matin. S'il y a une hypoglycémie à 2 heures du matin et une glycémie à jeun élevée dans la matinée, il peut s'agir du "phénomène de Soumoujian". S'il n'y a pas d'hypoglycémie à 2 heures du matin et que la glycémie à jeun est élevée, il peut s'agir du "phénomène de l'aube". Selon ce phénomène, différentes mesures doivent être prises.

5) Une glycémie élevée à jeun peut également être due à une alimentation trop riche le soir, à une veille tardive, à un mauvais sommeil ou à l'anxiété.

Causes de l'hyperglycémie à jeun

1,

glycémie à jeun

L'une des raisons du niveau élevé d'exercice physique faible

Insuffisance de l'efficacité de l'insuline, consommation excessive de sucreries ou de boissons sucrées, consommation excessive d'alcool.

obèse

Le rebond de l'hyperglycémie après une hypoglycémie est connu sous le nom de phénomène SOMOGYI. La consommation d'alcool peut provoquer à la fois une hypoglycémie et une hyperglycémie. Elle peut provoquer

un taux de sucre anormalement élevé dans le sang

ou si vous avez pris certains médicaments.

sirop antitussif

Après avoir découvert la cause de l'hyperglycémie à jeun, nous devons contrôler le nombre total de calories. Après avoir déterminé la cause de l'hyperglycémie à jeun, nous devons contrôler le nombre total de calories, qui doit être déterminé en fonction de l'état nutritionnel du patient, de son poids, de son âge, de son sexe, de son activité physique, etc. afin de bien contrôler la glycémie.

2. le jeûne

un taux de sucre anormalement élevé dans le sang

Raison n° 2

médicament antihyperglycémique

Doses insuffisantes de substances utilisées

3, glycémie élevée à jeun causes de la troisième par le rebond tôt le matin glycémie élevée à jeun

3.1 L'hyperglycémie à jeun de rebond en début de matinée se caractérise par une glycémie excessivement basse pendant la nuit, dans le

hypoglycémie

Stimulée par le glucagon dans l'organisme,

adrénaline

En outre, la sécrétion d'hormones telles que les corticostéroïdes et l'hormone de croissance, qui ont des effets antagonistes sur l'insuline, augmente, et l'organisme du patient ne peut pas augmenter en conséquence la sécrétion d'insuline pour contrer les effets de ces hormones qui augmentent le taux de sucre, ce qui augmente progressivement la glycémie et entraîne une hyperglycémie à jeun au début de la matinée. La plupart de ces phénomènes se produisent après que le patient s'est endormi, et les symptômes sont légers, sans aucune sensation.

3.2 Cependant, il existe des cas plus graves, tels que le patient peut se réveiller à cause de la faim, de la panique, de la transpiration et d'autres symptômes, à ce moment-là, si vous mesurez la glycémie immédiatement, la valeur sera souvent inférieure à 2,8 mmoI/L. La raison de cette situation est principalement due à un dosage excessif de médicaments hypoglycémiants. Dans la méthode de traitement, nous devrions envisager de réduire la dose de médicaments hypoglycémiants avant le dîner ou le coucher pour éviter l'hypoglycémie ; nous pouvons également essayer d'éviter l'hypoglycémie en mangeant un œuf cuit ou en buvant une tasse de lait avant le coucher pour corriger l'hyperglycémie de jeûne au petit matin. Il convient de souligner en particulier que lorsque le patient souffre d'une hypoglycémie sévère, une injection intraveineuse doit être effectuée immédiatement.

vins

Sucre ou nourriture immédiate pour corriger rapidement l'hypoglycémie.

Il s'agit d'une question très spécialisée, et si l'on se contente d'une réponse classique, la réponse est simple : une glycémie élevée à jeun peut indiquer que les cellules bêta du pancréas fonctionnent anormalement et que l'insuline basale n'est pas suffisamment sécrétée.

Mais pourquoi cela se produit-il ? La question est plus complexe lorsqu'on l'analyse en termes de mécanisme d'apparition.

Premièrement, la valeur de la glycémie à jeun est la valeur de la glycémie mesurée après un jeûne de 8 à 10 heures (à l'exception de la consommation d'eau) et après un prélèvement de sang avant le petit-déjeuner du jour 2.

En d'autres termes, la glycémie à jeun est la valeur de la glycémie qui se trouve à un niveau relativement constant dans notre corps, à l'exclusion de la glycémie fluctuante qui interfère avec notre alimentation et notre activité au cours de la journée.

Pour une personne normale, cette valeur constante de la glycémie à jeun se maintient entre 3,9 et 6,1 mmol/l. Les facteurs affectant le niveau de la glycémie à jeun peuvent être l'insuline, le système nerveux et les hormones endocrines, qui sont trois facteurs, dont l'insuline est le principal facteur de régulation de la glycémie à jeun dans notre corps, et également le seul facteur qui peut réduire la glycémie à jeun dans notre corps.

Comment l'insuline, le système nerveux et les hormones endocrines contribuent-ils à une glycémie élevée à jeun ? Ils sont décrits ci-dessous à titre indicatif.

Mécanismes de l'insuline à l'origine de l'hyperglycémie à jeun

L'insuline est une hormone sécrétée par les cellules bêta des îlots pancréatiques, des glandes situées dans le pancréas, et c'est aussi la seule hormone de notre corps qui réduit le taux de sucre dans le sang.

L'insuline favorise l'absorption et l'utilisation du glucose dans le sang par les cellules des tissus de l'ensemble de l'organisme et, dans le même temps, inhibe la dégradation du glycogène en glucose dans l'organisme, empêchant ainsi la glycémie d'augmenter ; elle empêche même la conversion en glucose de substances non glycémiques dans l'organisme, ce qui entraîne une augmentation de la glycémie.

Comme vous pouvez le constater, l'insuline réduit le taux de sucre dans le sang de trois façons :La première consiste à favoriser l'absorption et l'utilisation du glucose par les cellules des tissus, la seconde à empêcher la conversion du glycogène en glucose et la troisième à empêcher la conversion des substances non sucrées en glucose.

Par conséquent, la glycémie à jeun est élevée lorsque les 5 conditions suivantes sont réunies.

Scénario 1 :La sécrétion absolue d'insuline est insuffisante ;

Scénario 2 :Altération de l'utilisation de l'insuline ;

Scénario 3 :Carence absolue en insuline + mauvaise utilisation de l'insuline ;

Scénario 4 :Sous-production relative d'insuline ;

Scénario 5 :Déficit relatif en insuline + mauvaise utilisation de l'insuline.

Voici les 5 causes insuliniques de l'hyperglycémie à jeun.

Mécanismes des causes neurologiques de l'hyperglycémie à jeun

Nous savons que le système nerveux comprend les nerfs centraux et périphériques, qui à leur tour comprennent les nerfs sympathiques et parasympathiques, entre autres :

1) Les nerfs sympathiques peuvent inhiber la sécrétion d'insuline, ce qui entraîne une sécrétion insuffisante d'insuline et, par conséquent, ils sont capables d'augmenter la glycémie à jeun.

2) Les nerfs parasympathiques stimulent la sécrétion d'insuline et peuvent donc réduire la glycémie à jeun.

Il s'ensuit que la régulation de la glycémie à jeun par le système nerveux, laEn fin de compte, c'est l'insuline qui en est la cause ;En même temps, le système nerveux régule la glycémie à jeun, dans les deux sens, leIl peut augmenter ou diminuer la glycémie à jeun.

Mécanismes des causes endocriniennes et hormonales de l'hyperglycémie à jeun

De nombreuses hormones endocrines présentes dans notre corps peuvent affecter la glycémie à jeun, y compris l'insuline (qui est également une hormone), mais, à l'exception de l'insuline, qui peut réduire la glycémie à jeun, toutes les autres hormones ne peuvent qu'augmenter la glycémie à jeun.

Ces hormones sont : l'hormone de croissance, l'adrénaline, les glucocorticoïdes, la thyroxine, etc. et même le glucagon, une hormone sécrétée par les cellules alpha des îlots pancréatiques.

On le voit, c'est parce que l'insuline est la seule hormone de notre corps capable de réduire la glycémie à jeun, d'autres hormones sont responsables de l'élévation de la glycémie à jeun, ainsi, l'insuline semble être seule, une fois que l'insuline de notre corps présente des anomalies, une sécrétion insuffisante, non seulement nous n'avons pas de deuxième hormone pour nous aider à réduire la glycémie, mais au contraire, ces autres hormones vont s'enhardir, plus frénétiquement pour élever la glycémie à jeun.

En résumé : les causes d'une glycémie élevée à jeun sont nombreuses, mais les trois plus importantes sont l'insuffisance et/ou l'altération de l'utilisation de l'insuline, la régulation sympathique/parasympathique et l'action des hormones endocrines.

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Introduction：La glycémie à jeun (GLU) désigne la valeur de la glycémie mesurée après un jeûne d'une nuit (au moins 8 à 10 heures sans aucune nourriture, à l'exception de l'eau potable), le sang étant prélevé avant le petit-déjeuner, c'est le test le plus couramment utilisé comme indicateur du diabète.

Les causes courantes d'une élévation de la glycémie à jeun sont les suivantes :1. trop de repas ou trop d'aliments riches en calories la veille, en particulier une grande quantité d'aliments riches en calories au dîner ; 2. manger trop tard et trop longtemps la veille, par exemple lors d'un dîner, etc. 3. pas assez d'exercice la veille, en particulier le repos au lit immédiatement après le dîner ; 4. manque ou sous-dosage de médicaments hypoglycémiants ; 5. dose d'injection d'insuline insuffisante, ou oubli d'injecter de l'insuline, ou échec de l'insuline ; 6. diminution de la fonction des îlots pancréatiques, sécrétion insuffisante d'insuline basale ; 7. phénomène de l'aube : en raison de l'heure de l'aube (3 à 9 heures), le taux d'insuline plasmatique du patient diminue et la sécrétion de l'hormone de croissance du glucose augmente ; 8. réaction de Sumuje : après la survenue d'une hypoglycémie dans les premières heures du matin, l'organisme, par autoprotection, sécrète de lui-même certaines hormones de croissance du glucose, ce qui entraîne une augmentation de la glycémie à jeun ; 9. autres facteurs : présence ou non d'un rhume, d'une fièvre et d'autres conditions. rhume, de la fièvre et d'autres conditions.

La glycémie à jeun est la glycémie mesurée après une période de jeûne de 8 à 12 heures, c'est-à-dire au début de la matinée. Idéalement, la glycémie à jeun doit être contrôlée entre 3,9 et 6,0 mmol /mL.

Il existe trois causes principales d'une glycémie élevée à jeun :

Premièrement, le patient souffre d'hypoglycémie la nuit, sous la stimulation de l'hypoglycémie, le glucagon pancréatique, l'adrénaline, les corticostéroïdes, l'hormone de croissance et d'autres hormones ayant un effet antagoniste sur l'insuline sont sécrétés de manière excessive, et le corps du patient ne peut pas augmenter en conséquence la sécrétion d'insuline pour contrer l'effet du glucagon, ce qui conduit à l'augmentation de la glycémie à jeun.

Deuxièmement, le taux de sucre dans le sang commence à augmenter dans la seconde moitié de la nuit, ce qui se traduit par un taux élevé de sucre dans le sang à jeun au petit matin. Des études ont montré que les consommateurs de sucre sécrètent généralement plus d'hormones de croissance et de corticostéroïdes dans la seconde moitié de la nuit, ce qui entraîne une diminution de l'action de l'insuline dans l'organisme.

Une alimentation riche en fibres peut faciliter la décomposition et l'absorption des hydrates de carbone, ce qui contribue à équilibrer le taux de sucre dans le sang, et des vitamines adéquates peuvent aider le métabolisme de l'organisme.

La glycémie à jeun reflète principalement notre taux de glycémie de base. Après le dîner, notre glycémie diminue progressivement pour atteindre moins de 7,8 mmol/L environ 2 heures après le repas, et moins de 6,1 mmol/L environ 3 heures après le repas. Après avoir dormi la nuit, le métabolisme du corps ralentit progressivement, et la consommation de glucose sanguin diminue progressivement, et la glycémie nocturne reste presque à 3,9-6,1 mmol/L, et dure jusqu'au matin, ce qui est la glycémie à jeun normale. Quelles sont donc les causes de l'élévation de la glycémie à jeun ? Medical Senlution vous donne une explication.

在Sensibilité à l'insuline des tissus périphériques、Quantité adéquate d'insuline、Équilibre de régulation de l'insuline et du glucagonDans ce cas, notre glycémie à jeun peut rester dans la fourchette normale : 3,9-6,1 mmol/L. Une glycémie à jeun élevée, en revanche, est principalement due à un manque d'activité physique.Résistance à l'insuline, sécrétion insuffisante d'insuline, sécrétion relativement accrue de glucagoncausée par l'incapacité à maintenir la glycémie à jeun dans les limites de la normale.

• L'obésité est la cause la plus fréquente de la résistance à l'insuline. L'obésité à long terme entraîne des troubles métaboliques, de sorte que les tissus sont moins sensibles à l'insuline et que l'utilisation et la consommation de glucose sont réduites, ce qui se traduit par une augmentation de la glycémie à jeun. Pour ce groupe de patients, le contrôle du poids et le contrôle du régime alimentaire sont les principales méthodes de régulation, par l'exercice, la réduction de la consommation d'aliments riches en calories, et une réduction du poids d'environ 7 à 10 % en un an peut améliorer efficacement la résistance à l'insuline.
  

• Une sécrétion insuffisante d'insuline ne suffit pas à abaisser la glycémie pendant la nuit, ce qui se traduit par une glycémie à jeun élevée. Dans le diabète sucré de type 2, la résistance à l'insuline est prédominante dans les premiers stades, accompagnée d'une légère insuffisance d'insuline ; dans les stades ultérieurs, l'insuffisance d'insuline est prédominante, ce qui entraîne une élévation de la glycémie. Au premier stade du diabète sucré de type 2, l'exercice physique, le régime alimentaire et les médicaments hypoglycémiants oraux sont utilisés pour réguler la glycémie, tandis qu'au stade ultérieur, l'insuline est principalement utilisée pour réguler la glycémie.
  
• L'augmentation relative de la sécrétion de glucagon entraîne également une augmentation de la glycémie à jeun, également connue sous le nom de "phénomène de l'aube". Entre 4 et 8 heures du matin, le glucagon est progressivement sécrété, ce qui est un phénomène physiologique normal. Si la sécrétion d'insuline est suffisante à ce moment-là et qu'il n'y a pas de résistance à l'insuline, la glycémie peut être contrôlée dans la fourchette normale, mais si la sécrétion d'insuline est insuffisante ou s'il y a une résistance à l'insuline, la glycémie sera augmentée. Pour cette catégorie de patients, il est également recommandé de contrôler la glycémie par l'exercice physique et le régime alimentaire en premier lieu. Si cela s'avère inefficace, le seul moyen de contrôler la glycémie est d'utiliser des médicaments hypoglycémiants à action prolongée avant le coucher, tels que l'insuline diltiazem, l'insuline glycémique et d'autres médicaments à action prolongée.
  
• Il existe également une condition qui peut provoquer une augmentation de la glycémie à jeun, que nous appelons la réaction de Sumuje. Ce phénomène est dû à un surdosage de médicaments hypoglycémiants au coucher, qui provoque une hypoglycémie nocturne, entraînant une augmentation de la sécrétion de glucagon, qui à son tour provoque une hyperglycémie après l'hypoglycémie. En ajustant le dosage des médicaments hypoglycémiants au coucher, il est possible de maintenir la glycémie dans les limites de la normale.
  

En résumé, une glycémie à jeun élevée est principalement due à une résistance à l'insuline, à une sécrétion insuffisante d'insuline, à une sécrétion relativement accrue de glucagon et à la réponse au sulforaphane. La glycémie à jeun peut être améliorée en réduisant le poids, en contrôlant le régime alimentaire, en augmentant l'exercice physique et en ajustant le traitement hypoglycémiant.

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