Une fois, j'ai sevré ma fille et j'ai senti involontairement une petite grosseur dans le sein, même si elle ne fait pas mal, mais le cœur marmonne quand même, je ne sais pas s'il s'agit d'une simple hypertrophie mammaire ou autre.

Je n'ai pas ressenti de gêne, donc je n'ai pas pris cela au sérieux, mais un jour, j'ai eu un peu de temps et j'ai décidé d'aller à la maternité pour un examen de contrôle. J'ai d'abord passé une échographie, et lorsque les résultats sont arrivés, le médecin m'a proposé un autre examen. Pendant que j'attendais les résultats, je me suis dit qu'il n'y aurait pas de problème, mais je ne pouvais pas m'empêcher d'y penser dans ma tête. Après environ une heure et demie d'attente, les résultats sont sortis et j'ai été emmenée chez le médecin, qui m'a conseillé d'enlever la masse dure et de l'emmener ensuite au laboratoire. Je n'ai pas décidé de me faire opérer tout de suite et j'ai préféré rentrer chez moi et en discuter.

J'ai alors décidé de choisir un autre hôpital de la ville et de voir ce que le médecin en dirait, après tout, cet hôpital était plus formel et plus grand que celui où j'avais fait le bilan de santé, puis j'ai pris la décision d'opérer ou non.

Lorsque le médecin a examiné mes fiches d'échographie et les films qu'il avait pris, il m'a dit qu'il y avait une chance sur deux pour que cette chose dure qui poussait soit mauvaise et qu'elle ne pouvait pas être prise en charge pour une chirurgie conservatrice du sein dans sa position. En d'autres termes, s'il s'agissait vraiment d'une mauvaise chose, il faudrait enlever tout le sein. Lorsque j'ai entendu cela, j'ai pleuré, bien qu'il y ait eu beaucoup d'autres personnes à côté de moi, mais je n'ai pas pu m'en empêcher. Le médecin m'a recommandé de programmer une intervention chirurgicale en milieu hospitalier dès que possible pour vérifier si c'était bon ou mauvais.

L'hospitalisation a été organisée l'après-midi même et une partie des tests a été effectuée.

Une fois les tests effectués, l'intervention chirurgicale a été programmée pour la deuxième séance du matin.

Comme il s'agissait d'une intervention chirurgicale, elle a été anesthésiée, mais il s'agissait d'une anesthésie locale, de sorte que j'étais éveillée pendant toute la procédure et que je pouvais sentir la brûlure.

Le temps a passé, la masse dure a finalement été retirée, et j'ai vaguement senti dans leur conversation qu'elle ne ressemblait pas à une bonne tumeur ....... Ils l'ont retirée et l'ont envoyée directement au laboratoire de pathologie.

Après l'opération, le médecin m'a habillé, m'a mis un bandage, m'a aidé à me relever et m'a habillé, puis je suis rentré seul dans le service. Peu de temps après, l'infirmière est venue me donner un flacon d'injections pour arrêter l'hémorragie. Le médecin a dit que les résultats généraux seraient connus dans l'après-midi.

J'ai attendu l'après-midi et j'ai vu les résultats : carcinome canalaire in situ du sein.

Honnêtement, je n'aurais jamais pensé que je pouvais être atteinte d'un cancer à un si jeune âge. Comme je n'étais pas sûre qu'il y ait eu une infiltration dans la région, je devais attendre les résultats du rapport pathologique détaillé. C'était vendredi et le médecin m'a dit que les résultats détaillés sortiraient dimanche et qu'il me parlerait également d'une opération ultérieure, ce qui signifie que ce sein pourrait ne pas être sauvé.

Afin de sauver mes seins, mes parents et mes amis m'ont demandé s'il était possible de conserver mes seins, mais le résultat a été qu'il était recommandé de les enlever.

Je n'aurais jamais pensé qu'un jour je serais si proche de la mort... Le 1er juillet, un jour que je n'oublierai jamais.

Le médecin m'a dit que c'était une bonne chose que cela ait été détecté tôt, sinon j'aurais pu être .......

Personne ne sait à quel point j'ai été paniquée lorsque j'ai vu le chariot d'opération poussé pour venir me chercher à l'entrée du service. Je me persuadais silencieusement : ce n'est pas grave, ce n'est qu'une opération. Mais je n'ai pas pu empêcher les larmes de couler.

L'opération n'est pas très lourde, mais elle dure près de deux heures et nécessite une anesthésie générale.

Je me souviens qu'au moment où les gouttes d'anesthésiant se sont déposées dans mon sang, j'ai commencé à tousser de manière incontrôlée, puis mon cerveau a commencé à perdre lentement conscience et j'ai vaguement entendu l'infirmière à côté de moi dire : "Détendez-vous, détendez-vous. Pourquoi réagit-elle si mal ? ......"

Quand on m'a réveillée et que j'ai ouvert les yeux, l'opération était terminée. Mais l'anesthésie n'avait pas complètement disparu et, bien que je puisse ouvrir les yeux, je ne pouvais ni parler ni tourner la tête, et je ne pouvais pas retenir mes larmes.

J'ai mal au cœur pour moi, pour ma fille, et je ne sais pas quels péchés j'ai commis dans ma dernière vie pour devoir souffrir autant dans celle-ci.

Les gens autour de moi continuaient à essuyer mes larmes, je ne voulais pas trop me gêner, après tout, il y avait de la famille, mais je ne pouvais pas m'en empêcher.

Comme je ne pouvais pas bouger, le médecin leur a demandé de me pincer les jambes de temps en temps pour m'aider à bouger mes membres inférieurs afin d'éviter la formation de caillots sanguins. Comme l'anesthésie n'avait pas complètement disparu, je me suis sentie très endormie et j'ai voulu dormir, mais le médecin m'a rappelé que je ne devais pas dormir, et les gens autour de moi m'ont également dit de ne pas dormir, mais j'ai senti que je ne pouvais pas du tout ouvrir les yeux. ......

Hospitalisée depuis quelques jours, ma fille est restée avec moi à l'hôpital, en la regardant, j'ai vraiment mal au cœur, elle est encore si petite, elle n'a que trois ans, elle doit me suivre pour manger et dormir à l'hôpital, j'ai vraiment pitié d'elle.

Personne ne sait comment j'ai pu traverser cette période ......

À l'avenir, pour le bien de ma propre fille, j'essaierai de vivre une bonne vie, et j'espère seulement que cette maladie ne réapparaîtra pas, car le médecin a dit qu'une fois qu'elle réapparaît, il est peut-être temps de dire au revoir .......

Dans le futur, à part la vie et la mort, tout le reste est insignifiant !

Dans les premières années, la belle-fille de ma voisine, lorsque sa fille avait trois mois, a senti des bosses dures se développer sur ses seins, et sa fille ressentait une vague douleur lorsqu'elle allaitait.

Ma belle-mère et ma mère ont toutes deux déclaré : "Dans le passé, c'est le vieux dicton qui dit que c'est l'accumulation de lait, lorsque le bébé a sucé quelques fois et a mangé en douceur, tout va bien.

La belle-fille de la voisine a écouté les anciens et s'en est accommodée, mais le bébé avait six mois et sentait que les bosses devenaient de plus en plus dures. Elle a donc pensé qu'elle ferait mieux d'aller à l'hôpital pour un contrôle, mais sa belle-mère et la mère de sa mère ont continué à dire qu'il y avait de nombreux exemples de tels cas dans le passé et que le bébé irait bien lorsqu'il serait sevré.

La belle-fille de la voisine a donc continué à endurer l'enfant jusqu'à ce qu'il ait un an, puis l'a sevré, bien que la belle-mère et la mère de l'enfant veuillent encore le laisser manger pendant deux mois, mais la belle-fille n'a rien dit.

Après le sevrage, elle s'est d'abord rendue à la petite clinique de notre village et a demandé l'avis du médecin, qui lui a conseillé de se rendre au service des seins d'un grand hôpital.

Voyant qu'elle laisse son enfant derrière elle tous les jours pour aller à l'hôpital, sa belle-mère et la mère de sa belle-mère ont dit qu'elle était délicate et qu'elle irait chez le médecin si elle avait une douleur ou une démangeaison, ce qui n'était pas un problème dans le passé, et qu'elle s'en accommoderait et s'en remettrait.

Plus tard, elle s'est rendue à l'hôpital d'oncologie d'ici pour un contrôle et, lorsque le film est sorti, le médecin lui a demandé si elle avait accompagné sa famille. La belle-fille de ma voisine a répondu que non, qu'elle était venue seule et qu'elle m'avait dit si quelque chose n'allait pas, mais le médecin lui a tout de même suggéré d'amener sa famille la prochaine fois qu'elle viendrait en consultation.

Trois jours après l'examen, son mari l'a accompagnée chez le médecin, qui lui a dit que la maladie était si grave, qu'elle se propageait avant qu'elle ne se souvienne de venir consulter, et qu'il était temps de faire quelque chose .......

Son mari était confus et ne comprenait pas ce que le médecin lui disait. Le médecin a pris les diapositives de pathologie et, ne comprenant apparemment pas son analyse et ses explications, il savait seulement que sa femme avait crié à propos de la douleur dans les masses mammaires, qu'elle souffrait en fait d'un cancer, et que celui-ci s'était maintenant propagé à un stade avancé, la possibilité de guérison étant très faible.

Lorsqu'elle a été admise à l'hôpital, sa belle-mère et la mère de sa mère ne l'ont pas crue et ont demandé au médecin s'il ne s'était pas trompé, et le médecin l'a critiquée en termes très clairs : "Êtes-vous des parents comme ça ? L'expérience peut-elle être un remède ?

Plus tard, bien que la belle-fille de la voisine ait été opérée, l'enfant, qui avait deux ans cette année-là, n'était toujours pas là. La mère de la voisine a pleuré à chaudes larmes, disant qu'elle avait fait du mal à sa propre fille, et la belle-mère n'a fait que regretter, pensant d'abord que c'était l'ancienne génération qui disait souvent que le lait s'était accumulé, mais ne sachant pas qu'il s'agissait en fait d'une maladie.

Mais il est trop tard pour être triste.

Commençons par quelques exemples concrets dans le monde entier :

1⃣️ Le collègue d'un proche est décédé à l'âge de 31 ans d'un cancer du foie avancé. Les parents travaillent dans des entreprises étrangères, les prestations sociales sont très bonnes, chaque année l'entreprise organise des examens médicaux gratuits, son collègue a été en bonne santé, avant le début de ma participation aux jeux sportifs de leur entreprise, l'esprit du jeune homme est très, juste marié enfants seulement quelques mois lorsque le cancer du foie vérifié, il n'a pas pris beaucoup de temps pour aller.

2⃣️ Le fils d'un ami a également la trentaine, il s'est marié tôt et a deux enfants. Pendant un certain temps, il a occupé un emploi qui l'obligeait à travailler tard et à se coucher tard, mais il pouvait se reposer pendant la journée. Il a également perdu son cancer du foie environ trois mois après sa découverte. Il était à la fin de l'adolescence lorsque je l'ai rencontré, et j'ai eu du mal à entendre la nouvelle, soupirant que la vie est imprévisible.

3 ⃣️ a treasure mother has ovarian cancer, she is very good financial condition, now fly to foreign countries every month for regular checkups and treatment, with expensive new targeted drugs to control, but the future is not known. Quatre mois avant l'apparition de la maladie, elle s'est rendue à Shanghai et a dépensé des milliers de dollars pour un examen complet, mais aucun symptôme n'est apparu. En moins de trois ou quatre mois, elle a ressenti des douleurs dans les jambes et on lui a ensuite diagnostiqué un cancer de l'ovaire.

Je voudrais dire qu'il est important de consulter un médecin lorsqu'il y a des symptômes, mais que bien souvent il n'y a pas de symptômes. Les gens sont aussi petits que des grains de sable dans le long fleuve de l'histoire et dans les milliers de mondes. Nous ne pouvons que chérir le présent, vivre dans le présent, mais faire de bonnes actions et ne pas nous poser de questions sur notre avenir.

Le cancer, du cancer unicellulaire au cancer, est un processus long, qui prend généralement une dizaine d'années, en raison de la lenteur du développement précoce, de sorte que le cancer précoce n'a généralement pas de symptômes spécifiques. Tous ne sont pas dépourvus de symptômes, la présence ou l'absence de symptômes précoces du cancer est principalement liée au site où le cancer se développe.

Les premiers symptômes du cancer superficiel de la peau peuvent être observés sur la peau, qui est riche en nerfs sensoriels, et le cancer précoce de la peau peut se manifester par des douleurs, des démangeaisons, des engourdissements et même de petits ulcères. Si vous présentez de tels symptômes précoces, vous devez vous rendre chez un spécialiste de la peau pour effectuer une biopsie et une pathologie à temps pour confirmer le diagnostic. Dans le travail clinique, on constate souvent que les personnes ressentent soudainement l'inconfort d'une petite plaie locale, des démangeaisons et une persistance de la douleur, et que la pommade générale est inefficace. En conséquence, la pathologie cutanée a confirmé le diagnostic de cancer cutané précoce, après résection chirurgicale, traitement radical, pas de récidive.

Cancer du rectum, début du cancer du rectum près de l'anus, cancer précoce dans la couche de la muqueuse rectale, selles faciles, en particulier selles sèches ressemblant à du caca de chèvre, abrasion de la muqueuse rectale et selles sanguinolentes, selles fraîches, d'abord du sang puis des selles. Nous voyons souvent ce symptôme précoce en clinique, parfois diagnostiqué à tort comme une hémorragie hémorroïdaire. Quelques mois plus tard, les symptômes du patient se sont aggravés et un cancer du rectum a été diagnostiqué. Il existe également des cas de saignements précoces qui ont été diagnostiqués à temps et complètement guéris après un traitement chirurgical précoce. Il y a vingt ans, Li XX, homme de 50 ans, a soudainement saigné après avoir été à la selle, le saignement n'est pas important, chaque selle doit contenir du sang, le proctoscope a détecté, à partir de l'anus, un ulcère peu profond de 10 mm, d'une taille d'environ 5 mm, la biopsie pathologique a révélé un adénocarcinome rectal. Chirurgie, vingt ans sans récidive, beaucoup de cancer examen physique, pas de cancer, jusqu'à présent en bonne santé.

Le cancer du sein, à un stade précoce, peut entraîner un durcissement des ganglions dans le sein, une augmentation de leur taille, des symptômes précoces, une absence d'attention et un retard de diagnostic, ainsi que la meilleure période de traitement.

D'après notre expérience clinique à long terme, certaines parties superficielles du cancer présentent des symptômes, tels que le cancer de la bouche et de la langue, des petites vésicules précoces, des douleurs dans la bouche, des épisodes répétés et de longue durée. Le carcinome nasopharyngé peut se manifester par une congestion nasale et des saignements répétés du nez à un stade précoce. Le cancer de la peau présente des ulcères et des douleurs à un stade précoce. Cancer du sein : ganglions durs et immobiles dans le sein, avec gonflement et douleur, débordement du mamelon ou du lait. Au stade précoce du cancer du col de l'utérus, saignements irréguliers ou de contact, et saignements vaginaux soudains après la ménopause. Au stade précoce du cancer colorectal, on observe une modification des selles, une diarrhée, un amincissement ou des selles sanguinolentes. Stade précoce du cancer du rectum avec du sang suivi de selles et d'un sentiment d'urgence. Certains cancers présentent donc des symptômes à un stade précoce. Il suffit de ne pas y prêter attention pour que le diagnostic soit retardé. Il est nécessaire d'accroître la publicité, de populariser les symptômes précoces du cancer, de sensibiliser la population, de prévenir le problème avant qu'il ne survienne et de parvenir réellement à un diagnostic et à un traitement précoces.

Bonjour, je suis le Dr Zheng du département de chirurgie générale. Les manifestations tumorales précoces varient en fonction de la localisation et du type de tumeur. Certains patients auront une réaction inconfortable, tandis que d'autres n'auront aucune réaction. Je prendrai l'exemple d'une tumeur abdominale.

1. le cancer de l'estomac

Les premières manifestations du cancer de l'estomac comprennent des malaises gastriques, des douleurs cachées, des reflux acides, des éructations, des nausées et des vomissements.

Un de mes patients, âgé de 34 ans seulement, est venu me voir pour un examen en raison d'une "gêne à l'estomac depuis un mois". Je l'ai d'abord soumis à un examen physique et j'ai constaté qu'il était rouge et qu'il n'avait pas de pression dans l'estomac. Il s'est plaint d'avoir pris des médicaments pour l'estomac au centre de santé pendant deux semaines sans que cela ne le soulage. Dans ce cas, la seule façon de le savoir était de faire une gastroscopie. Compte tenu de son jeune âge, je l'ai rassuré en lui disant que ce n'était pas grave. Contre toute attente, le résultat de la gastroscopie a révélé une masse de 2*2 cm dans le sinus gastrique. Trois jours plus tard, l'examen anatomopathologique a révélé un adénocarcinome gastrique. Après son hospitalisation, le scanner abdominal n'a révélé aucune métastase à distance ni aucune métastase des ganglions lymphatiques périgastriques. Un spécialiste d'un hôpital supérieur a été immédiatement appelé pour pratiquer une chirurgie laparoscopique du cancer gastrique. L'examen pathologique de la pièce d'estomac réséquée a révélé un cancer gastrique précoce, qui n'a pas nécessité de chimiothérapie ni d'examens réguliers. Cela fait maintenant 6 ans et sa santé est très bonne. À chaque fois, il a dit qu'il avait eu de la chance d'avoir des symptômes et d'avoir découvert le cancer à un stade précoce, sinon l'herbe dans sa tombe serait vieille et haute !

Un autre vieil homme, âgé de 70 ans, est généralement en bonne santé. En raison de son salaire élevé à la retraite, il accorde une attention particulière à sa santé et se rend régulièrement à l'hôpital pour y subir un examen physique, l'essentiel étant de procéder à une gastro-entérographie. La première fois que j'ai vérifié, il y avait un ulcère dans l'estomac, d'une taille d'environ 1,5 * 1,0 cm, j'ai fait une biopsie. 3 jours après les résultats de la pathologie, il s'agissait en fait d'un cancer de l'estomac. Le vieil homme ne présentait aucun symptôme gênant. Finalement, il a été opéré et le stade était également celui d'un cancer gastrique précoce. Le vieil homme s'est plaint que l'examen physique n'avait pas été inutile !

2. le cancer du pancréas

Le cancer du pancréas est le "roi des cancers" et a un taux de mortalité élevé. En général, les symptômes apparaissent à un stade avancé. Les premiers symptômes du cancer du pancréas sont atypiques et peuvent inclure des symptômes digestifs tels que des ballonnements, des nausées et des régurgitations, ainsi que de vagues douleurs abdominales.

Je me souviens que lorsque j'étais à Shanghai pour une formation complémentaire, j'ai vu un patient atteint d'un cancer du pancréas au stade précoce. Il s'est rendu à l'hôpital parce qu'il avait mal à l'estomac depuis dix jours, et il a subi une échographie, une analyse de sang et une gastroscopie, qui se sont toutes révélées satisfaisantes. Cependant, il avait toujours mal à l'estomac et il a passé un scanner de l'abdomen, qui était toujours bon. Je n'ai pas eu d'autre choix que d'être admis à l'hôpital pour un scanner amélioré de l'abdomen, et finalement une masse de 1 cm a été trouvée dans la tête du pancréas. Une intervention chirurgicale majeure pour un cancer du pancréas a été effectuée et le résultat de la pathologie était un carcinome neuroendocrine du pancréas.

Un autre patient a eu beaucoup moins de chance. Ce patient a la quarantaine et dirige une petite entreprise. Comme il souffre de calculs biliaires, il subit chaque année un examen physique comprenant une gastroscopie, une tomodensitométrie et une coloscopie, qui sont toutes incluses dans le forfait d'examen physique. Cependant, à l'exception des calculs biliaires, l'examen physique annuel est généralement bon. Une fois, l'estomac a de nouveau fait mal, il a pensé à une crise de calculs biliaires, l'eau ne pouvant pas être suspendue, il a été hospitalisé pour une cholécystectomie. De manière inattendue, après l'opération, l'estomac est toujours douloureux et le scanner n'a rien révélé. Il a été transféré dans un hôpital de Shanghai pour un examen plus approfondi, et n'a rien vu d'autre que le pancréas était un peu rugueux et les ganglions lymphatiques qui l'entouraient étaient un peu plus gros. Le professeur de Shanghai a décidé de procéder à une chirurgie exploratoire par laparoscopie.

Une tumeur du pancréas a été suspectée pendant l'opération et une biopsie a confirmé un cancer du pancréas. Malheureusement, le cancer a été diagnostiqué tardivement et il est rentré chez lui pour y vivre pendant trois mois avant de partir. Lorsqu'il a été hospitalisé, sa famille a déclaré : avant qu'il ne soit hospitalisé pour des douleurs à l'estomac, il n'y avait aucun symptôme, et il n'a jamais pensé qu'une fois qu'il l'a découvert, il était à un stade avancé !

C'est pourquoi les symptômes des tumeurs malignes précoces sont atypiques et insidieux. Plus que les aléas du destin, tout ce que nous pouvons faire, c'est de nous soumettre à des contrôles médicaux réguliers.

Je suis le Dr Cheng, chirurgien généraliste. Si ma réponse vous a été utile, vous pouvez l'aimer. Pour en savoir plus sur la médecine, cliquez pour me suivre.

Les tumeurs malignes précoces n'entraînent vraiment aucune gêne, parlez-en autour de vous à l'aide d'exemples concrets.

Le premier est mon père, je viens d'obtenir mon permis de conduire il y a deux ans, mon père ne s'est pas inquiété que je conduise seul, il est allé s'entraîner avec moi tous les week-ends, il était indolore et très énergique, il avait un bon appétit lorsqu'il mangeait et dormait bien.

Il était très confiant dans son corps. C'est ainsi que nous nous sommes entraînés ensemble les week-ends pendant plus de 2 mois d'affilée (de janvier à mars 18) sans que rien ne sorte de l'ordinaire.

Ce n'est que plus tard, lorsque le temps s'est réchauffé (mars 18), que j'ai enlevé ses vêtements d'hiver et que j'ai remarqué que mon père avait perdu un peu de poids, que je l'ai emmené passer un examen médical et qu'il s'est avéré qu'il s'agissait d'un cancer en phase terminale. Tous les traitements ont été essayés et, après plus de six mois, mon père est décédé sans aucun regret.

Le second est le fils du cousin de ma mère. Cette année-là, lors de la fête du printemps, ils ont également dîné ensemble pour le Nouvel An, sans aucune différence. Juste après la fête des lanternes, j'ai entendu dire que le fils du cousin de ma mère avait été hospitalisé, pendant deux mois après la mort du cancer.

Le troisième est un de nos camarades de classe, il était de mauvaise humeur parce que sa petite amie était partie, il fumait et buvait beaucoup, puis il s'est évanoui et a été envoyé à l'hôpital pour un examen, et a découvert qu'il s'agissait d'un cancer en phase terminale, et il est mort peu après, il n'avait que 22 ans, et cela s'est passé il y a de nombreuses années. Avant cela, nous étions dans la même classe, et nous n'avons pas trouvé de différence.

Le quatrième est la mère d'une amie, 6.1 Jour des enfants cette année, mon amie a ramené l'enfant pour voir sa mère, à cette époque sa mère est assez bien, il n'y a pas de différence. 15 Juin quand sa mère ne se sent pas bien, pensant que c'est la constipation, aller à l'hôpital pour trouver le médecin a prescrit des médicaments contre la constipation, a mangé beaucoup mieux. Cependant, deux jours plus tard, elle ne se sentait toujours pas bien. Elle a donc été envoyée à l'hôpital pour un examen de contrôle, qui a révélé un cancer de l'intestin à un stade avancé.

La cinquième était la tante de mon mari, qui avait 57 ans à l'époque et dont la fille venait de se marier. Cette année-là, le gendre de sa fille est venu le chercher avec sa tante pour le dîner du Nouvel An, en passant par notre maison, et est venu voir ma belle-mère pour discuter. À l'époque, il n'avait aucun symptôme, juste une respiration sifflante un peu profonde, il a dit que c'était un étage élevé, qu'il était un peu fatigué de monter les escaliers, et que nous vivions au 7e étage.

Qui savait qu'il serait hospitalisé quelques jours plus tard, qu'il s'agissait d'un adénocarcinome pulmonaire, que le cancer s'était propagé jusqu'à la gorge et qu'il mourrait dans moins d'un mois.

En combinant les exemples qui nous entourent, nous constatons qu'il n'y a pas de différence dans les premiers stades du cancer et que, lorsque nous le découvrons, il s'agit toujours d'un cancer avancé.

Quand j'étais enfant, je pensais que la vie était éternelle, je ne savais rien à l'époque et je vivais heureux.

Aujourd'hui, en vieillissant et en vivant de plus en plus de choses, j'ai plutôt l'impression que les gens sont incroyablement fragiles et qu'ils ne sont qu'un grain de poussière dans le monde.

Bonjour, je suis chirurgien anorectal et je rencontre souvent des patients atteints de cancer colorectal ou de certains cancers gynécologiques qui présentent une entérite radique après radiothérapie. Certains de ces patients sont à un stade avancé avec de multiples métastases, mais un petit nombre d'entre eux sont des cancers à un stade précoce qui présentent des symptômes et sont examinés à temps. En fait, un dicton dit que "le cancer de l'intestin et le cancer de la thyroïde sont des cancers chanceux", alors que le cancer du pancréas et le cancer du foie sont des cancers à évolution rapide et hautement mortels. Nous savons tous que le foie est un organe muet, difficile à détecter à un stade précoce, et que le cancer du pancréas est le "roi des cancers", difficile à traiter.

La stadification du cancer en trois étapes :

Stade précoce : l'état général de l'organisme est bon, il est en principe capable d'accomplir un travail normal ; la tumeur cancéreuse est confinée à une certaine partie de l'organe malade ou présente une légère adhérence avec les tissus environnants ; il peut y avoir des métastases ganglionnaires régionales (les critères locaux sont en principe équivalents à la classification en quatre stades des stades I à II).

Stade intermédiaire : l'état général de l'ensemble du corps est moins bon, mais le patient peut encore effectuer des travaux légers ou prendre soin de lui-même. La tumeur cancéreuse s'est développée au-delà de l'organe malade et il y a différents degrés d'invasion des tissus et organes adjacents, et il peut y avoir une atteinte des ganglions lymphatiques en dehors de la région, mais des métastases à distance ne se sont pas encore formées (le critère local est essentiellement équivalent au stade III de la méthode de classification en quatre stades).

Stade avancé : l'état général est manifestement affaibli ou malin, et la plupart des malades ne peuvent pas se soigner ; la croissance de la tumeur cancéreuse dépasse le stade moyen ou présente des métastases à distance (la norme locale équivaut essentiellement au stade IV de la classification en quatre stades).

Pourquoi le cancer de l'intestin est-il un cancer chanceux ? Parce que ses symptômes sont faciles à repérer à un stade précoce !

Le Dr Lam présente ici de nombreux exemples cliniques. La raison pour laquelle de nombreuses personnes passent à côté des "signaux" que nous envoie le côlon (sang dans les selles, augmentation de la fréquence des selles, douleurs abdominales, selles plus fines) est que ces signaux sont souvent traités comme des hémorroïdes, et ce ne sont pas seulement les patients qui commettent ce genre d'erreur, mais aussi de nombreux médecins :

1. Il y a 3 mois, une femme d'une quarantaine d'années a semblé avoir du sang dans les selles et a immédiatement consulté l'hôpital local. Le médecin ambulatoire lui a immédiatement fait subir une anoscopie et a constaté qu'il y avait de multiples renflements autour de la ligne dentée et que la surface était visqueuse et congestionnée ; il a immédiatement diagnostiqué qu'il s'agissait d'un ulcère interne et lui a prescrit une boîte de suppositoires hémorroïdaires.Je suis retournée pour un nouvel examen, et un autre médecin de la clinique a fait une autre anoscopie, a diagnostiqué des hémorroïdes internes, en plus d'un suppositoire hémorroïdaire, et a prescrit un médicament chinois breveté, et cela a duré une semaine, et cela n'a toujours pas marché.

La dame est venue voir notre directeur de clinique, le directeur a regardé le rapport d'examen, pense qu'il ne s'agit certainement pas d'hémorroïdes ordinaires si simples, car alors les hémorroïdes puissantes ne peuvent pas être si longtemps avec la médecine ou pas un peu d'effet, et lui a immédiatement donné à faire un peu plus longtemps que l'anoscope rectoscopie, la rectoscopie.Elle était plus longue d'environ 5 à 6 cm que le tube du proctoscope, et c'est précisément ces 6 cm qui nous ont permis de voir sa "masse en forme de chou-fleur", qui a été diagnostiquée comme un "cancer du rectum" à partir des symptômes et de la forme de l'examen.Heureusement, l'examen postopératoire a révélé qu'il n'y avait pas de métastases et qu'il s'agissait seulement d'un cancer du rectum au stade précoce ; après l'opération et la radiothérapie simultanée, s'il la tolère bien, il pourrait survivre 5 ans, ce qui est le plus dangereux.

2) Une semaine avant les vacances de la fête nationale, nous avons admis une grand-mère de 68 ans qui présentait une augmentation de la fréquence des selles, 5 à 6 fois par jour, avec du sang frais, et elle a subi un test du doigt anal dans la clinique externe, et lorsqu'elle a poussé son doigt vers le haut, elle a touché la tumeur. Le "reroutage", c'est-à-dire l'ablation directe de la tumeur et du rectum qui la suit, puis l'ouverture d'une "fistule" dans l'abdomen, reliant les intestins à cette ouverture, de sorte que les selles sortent plus tard de l'abdomen.En raison de l'absence de sphincter anal, les selles s'écoulent en permanence, ce qui affecte considérablement la qualité de vie du patient. De nombreux patients préfèrent même mourir plutôt que de subir une chirurgie de dérivation, estimant que ce n'est pas digne. Le Dr Lin a rencontré ce type de patients, dont le plus jeune n'est âgé que de 30 ans.

La grand-mère a également demandé à pouvoirniveau très bas de protection analeSi la situation réelle pendant l'opération ne permet pas un autre détournement temporaire, notre directeur s'est rendu personnellement sur place, de sorte qu'après plus de trois heures d'opération, l'anus a été préservé avec succès et, pendant l'opération, aucune métastase ganglionnaire n'a été trouvée et les organes adjacents n'ont pas été envahis, ce qui correspond à ce que nous appelons un cancer du rectum au stade précoce.Quelle chance ! Ces derniers jours, ma mère a été hospitalisée pour terminer son deuxième traitement de chimiothérapie, sans réactions majeures, avec seulement quelques jours de légers vomissements, et sa sortie est prévue pour demain ou après-demain.

Les premiers symptômes du cancer de l'intestin sont très typiques et faciles à détecter. Tant que nous ne tardons pas et que nous ne prenons pas de médicaments en privé, nous pouvons encore détecter le cancer à un stade précoce :

Comment reconnaître un cancer de l'intestin ?

1) Symptômes cliniques

1) Caractéristiques du sang dans les selles

La zone hémorroïdaire interne se situe autour de la ligne dentinaire, de sorte que ce sont généralement les selles qui sortent et qui exercent une pression sur l'hémorroïde interne, entraînant un saignement, de sorte que ce sont généralement les selles qui sortent en premier et que le sang coule ensuite, de couleur rouge vif.

Le sang du cancer du rectum dans les selles est dû au fait que la tumeur est riche en vaisseaux sanguins et que les vaisseaux sanguins sont fragiles. Lorsque vous allez à la selle, la tumeur est comprimée et beaucoup de sang s'écoule avec les selles.

Comme les suppositoires hémorroïdaires sont remplis de musc, de morceaux de glace et d'autres plantes pour évacuer la chaleur, soulager la douleur et arrêter les saignements, ils peuvent contrôler les symptômes de la tumeur pendant une courte période, mais ils réapparaîtront dès que le médicament sera arrêté, tandis que les suppositoires hémorroïdaires sont beaucoup plus efficaces pour les hémorroïdes. Il est également possible de les différencier.

2), la forme du tabouret

Une hémorroïde est une masse de veines saillante, très molle, qui ne modifie pas la forme des selles.

La tumeur se développe dans l'intestin et, comme il s'agit d'une énorme masse en forme de chou-fleur qui bloque la moitié, voire la totalité, de la lumière intestinale, les selles sont comprimées et deviennent de plus en plus petites et fines au fur et à mesure qu'elles sont évacuées.

3), Difficulté à évacuer les selles

Comme la tumeur du cancer du rectum se développe dans toute la cavité intestinale à un stade avancé, il est parfois très difficile d'aller à la selle, et les patients veulent évacuer les selles mais n'y parviennent pas, alors que les hémorroïdes n'affectent pas l'accès aux selles, et même s'il y a un prolapsus de l'anus et un prolapsus de la muqueuse rectale, il n'y a pas de symptôme de difficulté à aller à la selle.

4), augmentation de la fréquence des selles

Comme la tumeur bloque les intestins et appuie sur les organes environnants, elle provoque un gonflement de l'anus et stimule la contraction anale, ce qui se traduit par des selles fréquentes, mais très peu abondantes.

Extension des connaissances : la raison pour laquelle le cancer de la thyroïde est aussi un cancer chanceux, c'est qu'à l'heure actuelle, le taux de survie à 10 ans après l'opération a atteint plus de 80 %, même notre Alipay à l'intérieur du "Trésor mutuel" a été supprimé du remboursement du cancer de la thyroïde.

Résumé : Le cancer a aussi des symptômes précoces, mais beaucoup de gens ne le prennent pas au sérieux, mais aussi avec le niveau des conditions médicales au moment de la consultation, donc quand nous n'avons pas une richesse de connaissances médicales de santé, ou à des examens médicaux réguliers, et le Dr Lin a suggéré qu'après l'âge de 40 ans de l'examen physique doit être ajouté à l'examen gastro-intestinal ! De cette manière, nous pouvons vraiment faire en sorte que "mieux vaut prévenir que guérir" !

Suivez Dr Lin, apprenez d'autres conseils de santé, laissez-moi être votre petit soleil exclusif~~~~.

Plusieurs membres de ma famille et des amis de mon entourage se sont sentis mal à l'aise et se sont rendus à l'hôpital pour des examens. Les résultats de ces examens sont souvent déjà à un stade moyen ou avancé des tumeurs malignes et, au stade précoce, il n'y a pratiquement pas de réaction gênante.

J'ai une sœur, elle a travaillé et s'est mariée plus tôt, elle n'a pas terminé ses études secondaires avant d'abandonner l'école, la famille a établi des contacts pour qu'elle trouve un emploi. A 19 ans, elle a donné naissance à un enfant, l'enfant a été placé dans l'ancienne famille, mon oncle et ma tante l'ont aidée à l'élever, elle et son mari travaillent en Mongolie intérieure. Le climat de la région où elle travaille est assez rude, j'ai entendu dire qu'elle est peu peuplée, que le vent et le sable sont très forts, que l'eau est jaune et que les radiations provenant de son travail sont assez fortes. Je ne sais pas si cela a quelque chose à voir avec l'environnement dans lequel elle se trouvait, mais elle a eu un cancer du sein à l'âge de 20 ans.

Elle a dit qu'elle ne ressentait aucune gêne, juste une sensation involontaire de grosseur à l'intérieur de son sein, que personne n'a d'abord considéré comme un cancer du sein. Personne dans notre famille n'avait jamais eu de cancer avant cela non plus. Je suis allée à l'hôpital pour subir une tumorectomie et une ablation des seins. Au début, ma famille espérait que la tumeur était bénigne, mais les résultats de la biopsie ont montré qu'elle était maligne. La guérison a été assez bonne les premières années, mais cette année, elle a eu 30 ans et j'ai appris que le cancer s'était métastasé dans ses poumons lors de son examen de contrôle cette année, alors je ne sais pas combien de temps elle vivra encore.

Ma tante, qui est médecin à la retraite, est plus soucieuse de sa santé et passe habituellement un examen complet du corps au moins une fois par an. Elle n'a ressenti aucune gêne, mais on lui a découvert un cancer du poumon lors de cet examen. Détecté plus tôt, le cancer du poumon était encore à un stade précoce, de sorte que le traitement chirurgical a été très efficace. Une partie du poumon a été enlevée et, grâce à une chimiothérapie postopératoire, elle a vécu encore cinq ans avant que le cancer ne s'étende et ne fasse des métastases et qu'elle ne décède.

De nombreuses tumeurs malignes sont peu ou pas gênantes dans les premiers stades, et lorsqu'elles le deviennent, elles sont souvent à un stade moyen ou avancé.

Mon grand-père, avant la santé a été assez bon. Il était enseignant, l'unité organisera un examen physique chaque année, avant les résultats de l'examen physique sont assez bons, mais l'année dernière, lorsque l'examen physique, vérifier la zone du foie un peu de problème, puis cousin d'emmener moncler outlet store à l'hôpital pour un examen plus approfondi, c'est le cancer du foie. En raison de la détection précoce, le cancer du foie est encore à un stade précoce, mais le développement de l'état de mon grand-père est plus rapide, a fait la chirurgie et la chimiothérapie ou pas de contrôle, de la découverte à la mort de moins d'un an de temps.

De nos jours, les tumeurs malignes sont de plus en plus jeunes, nous ferions mieux de prendre l'habitude d'effectuer des examens médicaux réguliers, de procéder à une détection et à un traitement précoces. Le taux de guérison précoce de nombreuses tumeurs malignes est encore relativement élevé, en particulier dans le cas du cancer du sein ; après traitement, le taux de survie général est encore très élevé pendant dix, voire vingt ans. Si vous ne vous sentez pas bien, vous devriez consulter un médecin à temps et être dans un meilleur état d'esprit. La vie ne dure que quelques décennies, à quoi faut-il penser ? Vivez bien le moment présent, les choses de demain attendent le réveil de demain pour le dire.

Permettez-moi de vous parler de notre expérience. Mon mari n'a pas ressenti de gêne importante avant d'apprendre qu'il était atteint d'un cancer du foie à un stade avancé. Un jour, il est allé jouer au basket-ball et le lendemain, il a passé un examen médical qui lui a appris qu'il était atteint d'un cancer du foie à un stade avancé. La tumeur mesurait déjà 15 cm. J'ai perdu la chance d'être opéré. J'étais une bonne personne, j'ai passé un examen médical et soudain, j'ai été atteint d'un cancer en phase terminale. En repensant aux changements survenus au cours de l'année écoulée, je constate qu'il y a eu quelques symptômes mineurs que nous avons tout simplement ignorés.

Cette année, il a progressivement perdu du poids, parce qu'il ne s'agit pas d'une perte de poids rapide, facile à ignorer. En outre, cette année, il s'est passé beaucoup de choses : son grand-père a été malade et hospitalisé, puis il est décédé, presque un an avant et après, il a couru dans tous les sens. En outre, cette année, il a dû changer de maison, vendre la maison pour en acheter une autre. Les choses sont aussi beaucoup, on pense aussi qu'il y a de la fatigue. J'ai moi-même perdu 10 livres, il est vraiment difficile d'attirer l'attention.

Deuxièmement, je mange un peu moins qu'avant, mais cela ne change pas grand-chose. Le seul changement, c'est que je ne mange plus de nourriture grasse ! Avant, j'aimais le porc grillé avec de la graisse et les pieds de porc cuits à la vapeur. Mais depuis un an, je n'en mange plus. C'est le seul changement notable ! Mais il est facile pour les jeunes de négliger ces choses et de ne pas y prêter attention. Il n'y a pas non plus de bosses dures sur le corps. Des contrôles médicaux réguliers sont donc toujours nécessaires.

Bien que la maladie soit de plus en plus jeune, il est toujours conseillé de se soumettre à des contrôles médicaux réguliers et de prêter attention aux changements qui se produisent dans l'organisme. En particulier pour les porteurs du virus de l'hépatite B. Nous poursuivons le traitement et attendons un miracle.

Lorsqu'une tumeur maligne est présente à un stade précoce dans le corps d'une personne, il n'y a pas vraiment de gêne.

La fille d'un proche, âgée de 20 ans, est décédée d'un cancer du sein l'année dernière. Elle était encore en deuxième année d'université, bien vivante, toujours en bonne santé, n'ayant jamais eu de rhume ni de fièvre.

J'ai appris le piano, le guzheng, la danse, les spectacles de mannequins et tout le reste. Je veux que ma fille devienne un jour une star de cinéma et qu'elle ait un bel avenir.

En mars de l'année dernière, la jeune fille a soudainement ressenti une vague douleur sur le côté droit de sa poitrine pendant les cours.

Après trois jours de douleur consécutifs, elle a appelé sa mère pour lui expliquer la situation, et sa mère l'a emmenée dans notre ville pour un examen, qui ne pouvait pas être effectué dans la ville, et elle a dû aller à Wuhan, et c'est alors qu'elle a réalisé la gravité de la situation.

Vous amenez votre fille à Wuhan pour un examen de contrôle, le résultat est un cancer du sein, et il est encore avancé, il ne peut plus être opéré, seul un traitement conservateur, la pauvre enfant de la découverte du cancer à la mort, sont seulement un mois ou deux.

Il est vrai que de nombreux cancers ne présentent aucun symptôme gênant au stade précoce, mais si la douleur est forte, c'est qu'ils sont déjà à un stade avancé. Nous devrions toujours passer des examens médicaux fréquents pendant notre temps libre, car c'est le seul moyen de connaître l'état de santé de notre corps sans aucun regret !