Il n'y a pas de relation de cause à effet entre le sucre alimentaire et le diabète. En outre, le sucre est l'un des nutriments les plus essentiels dont l'homme dépend pour sa survie. En termes de fourniture d'énergie oxydative, le sucre est la meilleure source. Les produits de la dégradation oxydative du sucre dans l'organisme sont le dioxyde de carbone, l'eau et l'énergie. Les deux premiers peuvent être réutilisés par les cellules ou éliminés de l'organisme, tandis que l'énergie permet de travailler, de vivre et d'étudier, et fait partie des "énergies propres".

Au contraire, si l'on restreint trop l'apport en sucre, l'énergie cellulaire est insuffisante, on a inévitablement recours à l'oxydation des graisses et des protéines pour obtenir de l'énergie, ce qui, en plus de fournir de l'énergie, produit trop de déchets nocifs, tels que les corps cétoniques, l'urée (une variété de métabolites contenant de l'azote), etc. ......

Le mot "sucre" dans le mot "diabète" donne l'illusion que le diabète peut être lié aux sucreries. Or, la pathogénie du diabète n'a rien à voir avec les sucreries ; elle est liée à un déficit absolu de la sécrétion d'insuline et/ou à un défaut de son action, l'insulinorésistance.

La consommation normale de sucreries entraîne une forte augmentation de la glycémie dans l'organisme. Le pancréas mobilise alors le niveau approprié d'insuline pour synthétiser la glycémie dans l'organisme et la maintenir stable.

Cependant, si vous consommez trop de sucreries à une fréquence élevée sur une longue période, non seulement vous deviendrez obèse, mais la fréquence élevée de consommation de sucreries est également l'un des facteurs de risque du diabète, mais ce n'est pas un facteur décisif et inévitable. L'hérédité, l'obésité, la consommation fréquente de sucreries, un mode de vie malsain, etc. peuvent déclencher le développement du diabète.

Les sucreries ont des effets différents sur les personnes d'âges différents, plus l'âge est élevé, plus le risque de développer un diabète est grand. Entre 20 et 70 ans, la fonction pancréatique décline progressivement, un grand nombre de sucreries dépasse la capacité de régulation des îlots pancréatiques, ce qui entraîne une mauvaise gestion de la glycémie, le diabète, c'est pourquoi les personnes âgées devraient manger le moins possible de sucreries.

Auteur : Zhang Kun

Nutritionniste publique de niveau 2 au niveau national, technicienne en nutrition agréée au niveau national, ambassadrice de Hengdian Nutrition + Nutrition, titre n° kununhang créateur original

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En général, le diabète n'est pas dû à un penchant pour les sucreries.

Au cours des 30 dernières années, avec le développement rapide de l'économie chinoise, le niveau de vie de la population s'est considérablement amélioré, associé à l'occidentalisation des habitudes alimentaires et au vieillissement de la population, la prévalence du diabète a augmenté à un taux élevé de 9,7 %, et le taux de prédiabète atteint 15,5 %.

Le diabète sucré est classé en diabète de type 1, diabète de type 2, diabète gestationnel et types particuliers de diabète. Le diabète de type 2 représente plus de 90 % de la prévalence totale du diabète.

Les principales causes connues du diabète de type 2 sont les suivantes : 1. les facteurs génétiques et environnementaux. Les facteurs environnementaux comprennent principalement le vieillissement, le mode de vie moderne, la suralimentation, l'inactivité physique, l'environnement intra-utérin et le stress, les toxines chimiques, etc. L'obésité causée par l'effet combiné de facteurs génétiques et environnementaux, en particulier l'obésité centrale, est étroitement liée à la résistance à l'insuline et à l'apparition du diabète de type 2.2. Résistance à l'insuline et manque de fonction des cellules β du pancréas. La résistance à l'insuline désigne la sensibilité réduite des organes cibles (foie, muscle, tissu adipeux) à l'action de l'insuline. Le diabète sucré de type 2 présente une résistance à l'insuline au stade précoce et les cellules β pancréatiques peuvent augmenter la quantité de sécrétion d'insuline compensatoire, et la glycémie peut être maintenue normale ; lorsque les cellules β pancréatiques ne peuvent pas sécréter suffisamment d'insuline pour compenser la résistance à l'insuline, le diabète sucré progresse. 3, la fonction anormale des cellules α pancréatiques et le glucagon-like peptide-1 (GLP-1) sont étroitement liés à l'apparition du diabète sucré de type 2. les défauts de sécrétion du peptide-1 de type glucagon.

Si vous êtes plus âgé (plus de 40 ans), que vous mangez beaucoup de sucreries riches en calories et que vous ne faites pas assez d'exercice, vous souffrez souvent d'obésité centrale, ce qui entraîne une résistance à l'insuline, une augmentation compensatoire de la sécrétion d'insuline par les cellules β du pancréas, ce qui entraîne un dysfonctionnement des îlots pancréatiques et l'apparition d'un diabète sucré de type 2.

Il est donc recommandé aux amateurs de sucreries de limiter leur consommation de manière appropriée, tout en renforçant leur activité physique afin d'éviter l'obésité et le diabète.

De nombreuses personnes pensent que le diabète est dû à un excès de sucre ;

En fait, ce n'est pas toute la vérité.

Dans le cas du diabète de type 2, elle est principalement due à laEn raison d'une sécrétion insuffisante d'insuline et d'une résistance à l'insuline。

La résistance à l'insuline est un état dans lequel les tissus musculaires et adipeux de l'organisme ne parviennent pas à absorber et à utiliser le sucre, et la concentration de glucose dans le sang est trop élevée, ce qui affecte l'état de santé général.

Vous remarquerez donc que ci-dessusIl n'y a aucune mention indiquant que la consommation de sucre ou de sucreries est à l'origine du diabète.

En fait.Il n'est pas vrai que l'amour du sucre et des sucreries conduise toujours au diabète, mais c'est possible.La raison en est qu'un excès de sucre ajouté peut entraîner un apport calorique excessif, ce qui peut conduire au surpoids et à l'obésité, et l'obésité déclenche une résistance à l'insuline et un diabète de type 2. C'est pourquoi la thérapie par l'exercice est mentionnée dans la prise en charge des patients diabétiques afin de maintenir un poids sain.

Le diabète n'est pas une conséquence directe de la consommation de sucreries, mais il s'agit d'une maladie multifactorielle. Or, à moins de ne pas être concerné par l'un de ces facteurs, l'excès de sucre favorise grandement le diabète.Et grâce à ce 1,5 % de nos gènes légués par les Néandertaliens, nous sommes prédisposés au diabète.Il est donc préférable d'y aller doucement.

Bonjour, MicroMedicine est là pour répondre à vos questions.

Avec l'amélioration du niveau de vie matériel, l'incidence du diabète est de plus en plus élevée, les patients sont de plus en plus jeunes et de nombreuses personnes pensent que le diabète est lié à une consommation excessive de sucreries.Manger beaucoup de sucreries peut-il donc réellement entraîner un diabète ?Commençons par comprendre la classification du diabète et sa pathogénie.

1. la classification du diabète et sa pathogenèse

Diabète de type I

La raison principale est que la fonction des cellules bêta du pancréas est gravement endommagée par des facteurs immunitaires ou des virus. Les dommages sont si graves que les cellules β du pancréas sont incapables de libérer de l'insuline, ce qui entraîne une glycémie très élevée, et cette partie de la population est surtout observée chez les enfants et les adolescents.

Diabète de type II

La plupart des cellules des îlots pancréatiques du patient ne sont pas gravement endommagées, mais l'insuline qu'elles sécrètent et l'action de leurs récepteurs d'insuline ne sont pas sensibles, de sorte que même si elles ont beaucoup d'insuline, elles ne peuvent pas jouer correctement le rôle de l'insuline pour abaisser le taux de sucre dans le sang.

Le diabète de type II est généralement associé à une constitution génétique, et la plupart des patients ont un ou deux diabètes dans leur famille, ou un diabète récessif. Plus de 80 % des patients sont cliniquement diabétiques de type II. Il existe donc une corrélation entre la plupart des diabètes sucrés et la prédisposition génétique dans la famille.

Le diabète est donc causé par divers facteurs pathogènes tels que des facteurs génétiques, des dysfonctionnements immunitaires, des infections virales, etc., qui entraînent la perte de la fonction des îlots pancréatiques et contribuent à l'augmentation du taux de sucre dans le sang.

2、 Est-il vrai que manger régulièrement des sucreries peut conduire au diabète ?

Il est donc possible que certaines personnes mangent beaucoup de sucreries mais que leur glycémie ne soit pas élevée, tandis que d'autres personnes ne mangent pas beaucoup de sucreries mais développent un diabète.

Mais cela ne signifie pas que manger beaucoup de sucreries n'a rien à voir avec le diabète. Si vous avez une prédisposition génétique au diabète, sous la stimulation d'un taux de sucre élevé, pour que votre glycémie revienne à la normale, le pancréas doit augmenter la sécrétion d'une grande quantité d'insuline, ce qui aggrave la charge du pancréas et, sur une longue période, il y aura toujours un moment où le pancréas ne fonctionnera pas correctement, ce qui entraînera des symptômes liés au diabète tels qu'une glycémie élevée, une bouche sèche, et le fait de boire et d'uriner plus qu'il n'est nécessaire.

En résumé.La consommation régulière de sucreries n'est pas la cause première du diabète, mais elle peut accélérer ou induire une apparition plus précoce ou plus grave chez les personnes qui possèdent le gène du diabète.

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Le développement du diabète n'est pas directement lié à l'habitude de manger des sucreries. La véritable cause du diabète est directement liée à l'insuline, l'hormone endocrine, car l'insuline est la seule substance de notre corps capable de faire baisser le taux de sucre dans le sang. Le sucre dans le sang est le glucose, alors que le "sucre" des sucreries peut être de différentes sortes.

La plupart des substances énergétiques contenues dans notre alimentation quotidienne ne peuvent être utilisées par notre organisme que si elles sont converties en glucose. Pour que le glucose soit utilisé par les cellules de notre corps, il doit être transformé par l'insuline. Si la quantité d'insuline est insuffisante ou si la fonction de l'insuline est réduite, le glucose ne peut pas être converti dans le sang et la concentration de glucose dans le sang augmente. Un excès de sucre dans le sang est toxique pour notre organisme, d'où l'apparition du diabète et ses effets néfastes.

Pourquoi la quantité ou la qualité de l'insuline diminue-t-elle ? Les raisons sont multiples. Par exemple, certaines personnes développent un diabète en raison d'une susceptibilité génétique et souffrent ensuite d'une infection virale, ce qui est le mécanisme du diabète de type 1 ; il y a aussi des personnes qui n'ont pas de facteurs déclenchants évidents, mais seulement une indiscipline alimentaire, un manque d'exercice physique entraînant une prise de poids, ce qui déclenche une faible sécrétion d'insuline ou une résistance à l'insuline, ce qui est le mécanisme de l'apparition du diabète de type 2 ; et il y a des personnes qui souffrent de diabète gestationnel en raison de la grossesse et des modifications des niveaux d'autres hormones endocriniennes dans le corps entraînant une sécrétion anormale d'insuline. Certaines femmes souffrent de diabète gestationnel en raison de la grossesse et des changements dans les niveaux d'autres hormones endocrines dans le corps, ce qui entraîne une sécrétion anormale d'insuline.

Le diabète sucré est une maladie endocrinienne directement liée à la sécrétion et à l'utilisation de l'insuline. Bien entendu, on ne peut pas dire que le développement du diabète chez de nombreuses personnes n'a rien à voir avec la consommation de sucreries. Bien que le "sucre" des sucreries ne soit pas le "sucre" de la glycémie, ces substances sont des aliments à haute teneur énergétique, et leur consommation accrue fera naturellement grossir les gens, ce qui entraînera une série de problèmes endocriniens, notamment la sécrétion et la sous-utilisation de l'insuline.

Bien que la consommation de sucreries ne soit pas la cause directe du diabète, les diabétiques ne devraient pas en manger à volonté. En effet, la plupart des sucreries sont très énergétiques et peuvent facilement être converties en glucose dans l'organisme, ce qui complique le contrôle de la glycémie par les diabétiques ; en même temps, ces substances très énergétiques peuvent facilement être converties en graisse dans l'organisme, ce qui augmente notre poids corporel et détériore la sécrétion d'insuline, ce qui peut encore aggraver l'évolution du diabète.

La consommation régulière de sucreries peut entraîner l'apparition du diabète, les personnes qui mangent souvent des sucreries sont sujettes à l'obésité, l'obésité entraîne une diminution de l'utilisation de l'insuline par l'organisme, l'apport d'insuline est insuffisant, ce qui se traduit par une augmentation de la glycémie. L'obésité entraîne un dépôt de graisse, ce qui affecte encore davantage l'effet de l'insuline.

Comme il existe un système insuline-glucagon dans l'organisme, si l'on mange trop de sucre, le sucre dans le sang augmente et stimule les cellules β du pancréas à sécréter de l'insuline, ce qui réduit rapidement la concentration de glucose dans le sang et la maintient à un niveau normal. Si quelque chose ne va pas dans ce système, l'insuline ne peut pas inciter les cellules à se mettre au travail. L'insuline ne peut pas inciter les cellules à absorber le sucre dans le sang, il est probable que vous deveniez diabétique.

Non, les gens ne mangent pas de sucre pour provoquer directement le diabète. Et si le diabète est effectivement causé par le sucre, ce n'est pas le sucre consommé qui en est la cause, mais le glucose.

La raison en est que les aliments que nous consommons sont décomposés et synthétisés chimiquement pour former des composés carboliques. Les hydrates de carbone sont ensuite décomposés et synthétisés à nouveau sous forme de glucose. Le glucose n'est pas entièrement décomposé et fluidifié dans l'organisme, mais la partie restante du glucose est absorbée dans la circulation sanguine et transformée en sucre dans le sang. Le sucre dans le sang est également nécessaire à l'organisme, mais il a une valeur d'offre et de demande élevée et faible. D'une manière générale, une glycémie inférieure à 2,7 ou 3,9 est considérée comme insuffisante et constitue une hypoglycémie. Une glycémie positive se situe entre six et sept, vers le haut et vers le bas. Un taux de neuf à douze points est élevé, et un taux de treize à dix-sept points ou plus correspond à une glycémie élevée. L'hypoglycémie et l'hyperglycémie sont des états pathologiques qui peuvent entraîner une faiblesse physique et la défaillance d'un organe, et l'hyperglycémie se transforme en diabète.

L'hypoglycémie doit être reconstituée. La plupart du temps, le glucagon est utilisé pour augmenter le taux de glucose dans le sang. Il s'agit de décomposer le glycogène du foie en glucose et de le renvoyer dans la circulation sanguine pour fournir l'énergie nécessaire au bon fonctionnement de l'ensemble des organes.

Le seul moyen d'abaisser le taux de glucose est la suppression de l'insuline, qui est le seul moyen d'abaisser le taux de glucose. La fonction de l'insuline est de forcer le glucose sanguin à être transporté vers chaque cellule fonctionnelle, puis converti en énergie pour abaisser le taux de glucose sanguin, afin de soulager le stress pathologique et mental que le diabète entraîne pour le patient.

Merci pour l'invitation. Je sais par expérience qu'on ne devient pas diabétique parce qu'on a un penchant pour les sucreries. Il existe trois types de personnes sujettes au diabète :

1. des antécédents familiaux de diabète ;

2, les mauvaises habitudes à long terme, qui entraînent des problèmes dans le système endocrinien. Par exemple : ne pas prendre de petit-déjeuner, trop manger, se coucher tard, etc.

3. autres. Par exemple, pendant la grossesse, entraînant une élévation du taux de sucre dans le sang.

Si l'hyperglycémie survient à un stade précoce mais ne se transforme pas en diabète, vous ne deviendrez pas dépendant du sucre si vous contrôlez votre alimentation de manière appropriée, si vous adaptez votre structure alimentaire en temps voulu et si vous faites de l'exercice de manière adéquate.

Bonjour !

Les personnes qui aiment le sucre sont-elles toujours diabétiques ? Pourquoi cette question ? Tout comme une voiture qui doit brûler de l'huile pour démarrer, le fait de la ravitailler en carburant va-t-il la faire tomber en panne ? Non !

Toutefois, si le système d'alimentation en carburant d'une voiture est défectueux, celle-ci tombera en panne. Ce n'est pas un problème d'essence.

Les personnes qui aiment le sucre souffrent-elles toujours de diabète ? Non !

Aimer le sucre ne donne pas, et ne donne pas nécessairement, le diabète. Et même de vous dire que le diabète n'a rien à voir avec le sucre. Tout comme une voiture qui tombe en panne n'a rien à voir avec l'essence ? Pourquoi ?

L'essence est le carburant nécessaire pour faire démarrer la voiture, la faire rouler et la faire rouler. Si un problème survient au niveau de la conduite de carburant et que la voiture tombe en panne, ce n'est pas l'essence qui est en cause.

Le diabète lui-même n'est pas un problème de sucre. En effet, le corps lui-même a besoin de sucre pour assurer sa vie, son fonctionnement physiologique.

Le sucre est la substance énergétique nécessaire à l'organisme pour se déplacer et maintenir une activité physiologique. Tout comme une voiture a besoin d'essence. Les glucides, les amidons, les polysaccharides, le fructose, etc. sont tous des sources de sucre pour l'organisme, c'est-à-dire d'énergie.

Ce n'est pas le sucre qui pose problème, mais le mécanisme d'utilisation du sucre par l'organisme qui est défectueux, ce qui se traduit par une glycémie élevée, qui s'accumule dans le sang et forme une hyperglycémie. Lorsque la charge de récupération des reins est dépassée, le sucre présent dans le sang est excrété dans l'urine pour former du glucose urinaire, ce qui est médicalement connu sous le nom de diabète sucré.

Le diabète ne consiste pas à ne pas pouvoir manger de sucre, à ne pas avoir besoin de sucre ou à devoir réduire son taux de sucre. Pourquoi ne pas essayer l'hypoglycémie pour voir ?

Les diabétiques, comme les personnes en bonne santé, ont besoin de sucre à moins que leur vie ne soit finie. Le diabète n'est qu'un problème d'utilisation du sucre et il faut se concentrer sur : a la nécessité de se concentrer sur des sources raisonnables de sucre. b la nécessité d'aider le corps à utiliser le sucre de manière raisonnable. c la nécessité de se concentrer sur la nécessité de réduire la quantité de sucre dans le corps. Au lieu de se concentrer sur la réduction du sucre.

Comment pouvez-vous aider votre corps à utiliser le sucre de manière judicieuse ? Comment éviter l'hyperglycémie ? Suggestions d'indications de référence.

Contrôle du sucre provenant de sources raisonnables.

a Éviter, réduire les aliments riches en sucre et les sources alimentaires à indice glycémique élevé. Comme le riz blanc, le pain cuit à la vapeur, les brioches, les nouilles, la farine, les sucreries, le pain, les desserts, les gâteaux, etc. Choisissez des aliments naturels, riches en fibres et en enzymes.

b Prenez de petits repas fréquents et faites attention à l'ordre dans lequel vous mangez. Par exemple, mangez d'abord les fruits et les légumes.

Aide l'organisme à utiliser le glucose sanguin.

cAugmenter le support nutritionnel qui permet de protéger le pancréas, la sécrétion d'insuline. Il est important de savoir que le pancréas a également besoin de matières premières pour fabriquer l'insuline. Le pancréas lui-même a besoin d'être nourri. Si le pancréas est entièrement endommagé et qu'il n'a même pas assez de matière pour fabriquer de l'insuline, que pensez-vous qu'il devrait se passer ?

d Les nutriments qui augmentent l'énergie pour faciliter l'utilisation du sucre dans le sang, tels que la vitamine B6, les vitamines B, les complexes, les enzymes, etc. sont très importants.

e augmentent la capacité des récepteurs cellulaires des tissus à accepter l'insuline en transportant le sucre pour le recevoir.