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Quels sont les premiers signes du cancer du poumon dans l'organisme ?

Quels sont les premiers signes du cancer du poumon dans l'organisme ?

L'apparition ou non de symptômes dans le cas d'un cancer du poumon dépend de l'endroit où le cancer du poumon se développe au moment où il apparaît :

Si la tumeur se développe dans les bronches, des symptômes tels que la toux, la présence de sang dans les expectorations et l'oppression thoracique peuvent apparaître à un stade précoce de la maladie ;

Si le cancer du poumon se produit à la périphérie des poumons, près de la plèvre, il sera détecté à un stade plus précoce en provoquant des symptômes gênants tels qu'une douleur ou une oppression thoracique ;

Si le cancer du poumon survient dans la partie parenchymateuse des poumons, loin des bronches et de la plèvre pulmonaire, les symptômes tendent à n'apparaître que lorsque la tumeur a formé des métastases ou exercé une pression locale.

Symptômes précoces du cancer du poumon

1. la toux :

Si la tumeur se développe sur le tissu broncho-pulmonaire, elle peut provoquer une toux irritante.

2. l'hypothermie :Lorsque les bronches sont obstruées par la tumeur, on observe souvent une pneumonie obstructive, dont l'intensité varie d'une légère fièvre dans les cas bénins à une forte fièvre dans les cas graves.

3. gonflement et douleur de la poitrine :La douleur thoracique au stade précoce du cancer du poumon est légère, se manifestant principalement par une douleur sourde ou cachée, et la localisation n'est pas certaine. Si la douleur due au gonflement persiste, cela indique que le cancer peut toucher la plèvre.

4. mucosités et sang :Un petit saignement, souvent mélangé aux expectorations, peut se produire lorsque la tumeur provoque une rupture des capillaires. De nombreux patients atteints de cancer du poumon présentent du sang dans leurs expectorations.

La plupart des cancers du poumon ont été diagnostiqués à un stade moyen ou avancé, et le meilleur moment pour le traitement a été manqué ; le dépistage, le diagnostic et le traitement précoces sont donc les éléments importants de la prévention et de la lutte contre le cancer du poumon !

Il s'agit des symptômes les plus courants, mais il en existe d'autres qu'il ne faut pas ignorer.

5. l'enrouement L'enrouement est la première caractéristique la plus importante du cancer du poumon. En effet, les foyers métastatiques du cancer du poumon compriment le nerf laryngé récurrent ipsilatéral, provoquant ainsi un enrouement de la voix. Comme les foyers métastatiques du cancer du poumon peuvent apparaître à un stade précoce et que les cellules cancéreuses des foyers métastatiques sont hautement malignes et se développent parfois plus rapidement que la tumeur primaire, les manifestations cliniques des foyers métastatiques peuvent apparaître avant les foyers primaires.

6) Symptômes neurologiques : des maux de tête inexpliqués, des vomissements, des troubles visuels, un changement de personnalité et de tempérament peuvent être dus à une hypertension intracrânienne ou à des lésions des nerfs cérébraux causées par des métastases du cancer du poumon dans le cerveau. Des symptômes neurologiques tels que le coma soudain, l'aphasie, la faiblesse d'un membre ou même l'hémiparésie peuvent également survenir, et sont souvent diagnostiqués à tort comme une thrombose cérébrale ou une tumeur cérébrale en raison de l'absence de symptômes pulmonaires évidents. Le cancer du poumon à petites cellules et l'adénocarcinome sont les formes les plus courantes de ce type de cancer.

7) Certains patients atteints de cancer du poumon ne présentent pas de toux, d'essoufflement et d'autres désagréments, mais plutôt des douleurs lombaires, et ce n'est qu'après de nombreux examens qu'ils découvrent que le "coupable" initial est le cancer du poumon. Les métastases osseuses sont le premier symptôme du cancer du poumon chez environ 2,3 % des patients, et les métastases osseuses surviennent chez environ 30 à 50 % des patients atteints d'un cancer du poumon à un stade moyen ou avancé. Il n'y a pas de différence évidente dans les symptômes entre les douleurs osseuses et articulaires, qui surviennent souvent chez les personnes d'âge moyen et les personnes âgées, et les douleurs liées aux métastases osseuses du cancer du poumon. Par conséquent, les patients souffrant de douleurs articulaires prolongées, notamment au niveau des lombaires, des épaules et de la poitrine, ne doivent pas continuer à endurer, mais doivent se rendre à l'hôpital dès que possible pour vérifier si les métastases osseuses sont causées par le cancer du poumon.

8) Le doigt de pilon, également connu sous le nom de doigt de batteur, se manifeste par une hypertrophie de la première articulation des doigts et des orteils, et l'ongle fait saillie et devient incurvé, ce qui s'accompagne souvent de douleurs. Il est rapporté à l'étranger que 21 % des cancers du poumon présentent un doigt en forme de pilon à un stade précoce et que la plupart d'entre eux disparaissent après une opération du poumon.

9. les seins masculins et féminins Des chercheurs d'outre-mer ont étudié 267 cas de patients masculins atteints de cancer du poumon ; l'hypertrophie mammaire précoce d'un côté ou des deux côtés, comme celle des femmes, représentait 37,5 % des cas ; elle était souvent négligée et même diagnostiquée à tort comme une simple hyperplasie mammaire, et était excisée.

10) La myosite périphérique multiple est également l'un des premiers symptômes du cancer du poumon. Selon les statistiques, 85% des cancers du poumon ne présentent qu'une faiblesse progressive et une perte d'appétit avant l'apparition des symptômes typiques, et lorsqu'ils sont aggravés, ils peuvent avoir des difficultés à marcher et à se lever du lit.

Le professeur Xiao Yi, médecin en chef de la médecine respiratoire au Peking Union Medical College Hospital, a résumé quatre points :

1. les symptômes causés directement par le cancer du poumon qui se développe dans les poumons

(1) La toux est le symptôme le plus courant. Au stade initial, il s'agit souvent d'une toux paroxystique sans expectoration, déclenchée par des odeurs irritantes (toux sèche irritative), qui peut être facilement considérée comme une infection des voies respiratoires. Lorsque la tumeur obstrue la lumière des grandes voies aériennes (c'est-à-dire les voies aériennes centrales), entraînant un rétrécissement des voies aériennes, la toux devient persistante et émet un son métallique aigu. Lorsque la tumeur dans le tube des voies respiratoires s'agrandit et affecte l'expectoration des crachats, etc. dans les poumons, une infection pulmonaire peut se produire et les crachats augmentent de volume après une toux intense et sont purulents et ressemblent à du mucus. Chez certains patients, l'expectoration de mucus est très abondante et peut atteindre 2 000 ml par jour (caractéristique commune aux patients atteints de cancer alvéolaire).

(2) Hémoptysie : les tissus cancéreux étant riches en vaisseaux sanguins et sujets à la nécrose tissulaire, plus de 21 % des patients présentent une hémoptysie, qui se traduit le plus souvent par des expectorations contenant des filaments de sang ou des expectorations sanglantes intermittentes, parfois seulement une ou deux fois, et il n'est pas facile d'attirer l'attention des patients. Si la lésion envahit les gros vaisseaux sanguins, elle peut provoquer une hémoptysie.

(3) Si la tumeur provoque l'obstruction des voies respiratoires les plus larges, les patients peuvent présenter des symptômes d'obstruction à différents degrés, tels qu'une respiration sifflante, une oppression thoracique, un essoufflement, une douleur thoracique et de la fièvre.

2. propagation intrathoracique de la tumeur

Il s'agit de douleurs thoraciques, de dyspnée, d'oppression thoracique, d'enrouement et de symptômes de compression de l'œsophage, d'épanchement pleural et d'épanchement péricardique. Il existe également certains syndromes, tels que : le syndrome de la veine cave supérieure, une dyspnée aiguë ou subaiguë causée par la compression de la veine cave supérieure par une tumeur intrathoracique, un gonflement du visage et du cou, et l'examen peut révéler une obstruction du retour veineux du cou, des membres supérieurs et du thorax, des ecchymoses, un œdème et une dyspnée, et son développement ultérieur peut entraîner une hypoxie et une augmentation de la pression intracrânienne, ce qui nécessite un traitement urgent pour soulager les symptômes ; la paralysie du diaphragme, qui se produit en raison d'une lésion du nerf phrénique et du blocage des impulsions nerveuses, entraînant une paralysie d'un côté ou des deux côtés du diaphragme qui se soulève, et des troubles moteurs. La paralysie diaphragmatique est due à une lésion du nerf phrénique et au blocage de l'influx nerveux, entraînant une paralysie du diaphragme d'un côté ou des deux côtés du diaphragme, et des troubles de la motricité. Le cancer du poumon apical, également appelé tumeur de Pancost, peut envahir le médiastin et comprimer des organes ou des tissus situés dans la partie supérieure du thorax, tels que la première côte, l'artère et la veine sous-clavières, le plexus brachial et les nerfs sympathiques cervicaux, etc., ce qui peut provoquer de fortes douleurs dans la poitrine et les épaules, une distension veineuse des membres supérieurs, des œdèmes, des douleurs dans les bras et des troubles des mouvements des membres supérieurs, ainsi que des syndromes sympathiques tels que l'affaissement de la paupière supérieure ipsilatérale, le rétrécissement de la pupille, le mouvement des globes oculaires vers l'intérieur et l'absence de transpiration du visage.

3. métastases distantes

Ganglions lymphatiques hypertrophiés dans la région sus-claviculaire et dans le cou. La présence de symptômes du système nerveux central tels que céphalées, vomissements, vertiges, diplopie, ataxie, hémiparésie et crises d'épilepsie sont souvent des manifestations de métastases intracrâniennes. Des douleurs aux épaules et au dos, une faiblesse des membres inférieurs, un dysfonctionnement de la vessie ou des intestins doivent faire suspecter une compression du faisceau de la moelle épinière. En cas de métastases hépatiques, 28 à 33 % des patients présentent une hépatomégalie et des douleurs. Les métastases osseuses se manifestent par des douleurs osseuses et des fractures.

4) Manifestations extrapulmonaires du cancer du poumon

Les manifestations extrapulmonaires du cancer du poumon sont principalement des manifestations cliniques causées par certaines substances spéciales (hormones, antigènes, enzymes ou métabolites) produites par les cellules cancéreuses du poumon.

Ce que nous appelons souvent "signaux" sont en fait des "symptômes" en médecine, et les symptômes sont une série de changements dans la fonction, le métabolisme et la structure morphologique du corps causés par des changements anormaux dans le processus de la maladie. L'image ci-dessous montre un patient souffrant d'hémorragie et crachant du sang, et dont le scanner révèle un cancer du poumon droit :

Ces dernières années, les taux d'incidence et de mortalité du cancer du poumon ont augmenté, et les taux d'incidence et de mortalité se sont régulièrement classés au premier rang chez les hommes et au deuxième rang chez les femmes. Qu'il s'agisse du taux d'incidence, du taux de mortalité ou du taux de survie à cinq ans, le cancer du poumon est suffisamment effrayant pour qu'il soit particulièrement important de détecter la maladie à un stade précoce et de s'efforcer d'obtenir plus de temps pour le traitement du cancer du poumon. Il est donc particulièrement important de détecter la maladie à un stade précoce et de s'efforcer d'obtenir plus de temps pour le traitement dans le cadre du traitement du cancer du poumon.

Trente-cinq à soixante-dix pour cent des patients atteints d'un cancer du poumon présentent d'abord le symptôme de la toux. La tumeur affecte le fonctionnement normal des alvéoles et des bronches, d'où l'apparition de la toux. Cette toux se caractérise par la sensation de présence d'un corps étranger dans les poumons, qui ne peut être expectoré, et le bruit de la toux peut devenir métallique, ce qui différencie la toux du cancer du poumon des autres toux.

Plus de 30 % des patients atteints d'un cancer du poumon présentent préférentiellement du sang dans leurs expectorations, ce qui constitue souvent un symptôme caractéristique.En effet, la tumeur a envahi les vaisseaux sanguins environnants, ce qui entraîne des saignements qui sont expulsés des poumons sous forme d'expectorations. Quelle qu'en soit la raison, dès qu'il y a du sang dans les expectorations, il faut y prêter attention. Rendez-vous à temps au service de pneumologie de l'hôpital pour un examen.

Une partie des patients présente d'abord le symptôme d'une douleur thoracique, mais cette douleur n'est généralement pas trop évidente, il s'agit surtout d'une douleur cachée, les nodules malins tirant sur le septum lobulaire des poumons environnants, sur la plèvre locale, etc. Toutefois, si la tumeur augmente progressivement de volume, tire sur les structures pulmonaires environnantes et affecte d'autres parties des poumons, la douleur s'aggrave considérablement.

Il est donc très important de se soumettre à des examens annuels réguliers, et plus encore si vous avez plus de 40 ans, si vous fumez davantage et si vous souffrez d'une toux chronique, de passer régulièrement à une tomodensitométrie à faible dose pour examiner vos poumons.

La plupart des cancers du poumon ne présentent pratiquement aucun symptôme à un stade précoce, et de nombreux patients atteints d'un cancer du poumon à un stade précoce sont découverts involontairement lors d'un examen physique, d'un scanner thoracique ou d'autres maladies. La semaine dernière, un patient s'est présenté à la clinique externe pour un examen après une intervention chirurgicale. Ce patient est tombé sur un vélo à batterie et craignait une fracture des côtes, mais après avoir passé un scanner, il a constaté que ses côtes étaient en bon état, mais qu'il y avait un nodule de 2 cm dans ses poumons, ce qui a été diagnostiqué comme un cancer du poumon précoce après l'intervention chirurgicale. Il s'est exclamé qu'il avait beaucoup de chance d'être tombé, sinon il n'aurait pas pu le découvrir. Cela montre l'importance des examens médicaux et du scanner thoracique.

Il est triste de constater que la plupart des cancers du poumon à un stade précoce n'envoient que peu ou pas de signaux à l'organisme et ne donnent que peu ou pas d'avertissement, sinon il n'y aurait pas autant de patients atteints d'un cancer du poumon à un stade moyen ou avancé. Certaines personnes présenteront également des symptômes moins typiques.

1. la toux La toux est un symptôme extrêmement courant, et presque toutes les maladies respiratoires peuvent provoquer la toux. Toutefois, pour les personnes de plus de 40 ans, si la toux revient au bout d'un à deux mois et que la prise de médicaments n'apporte aucun soulagement, il est préférable de se rendre à l'hôpital pour effectuer une radiographie pulmonaire ou un examen par tomodensitométrie (TDM). Les symptômes de la toux sont plus fréquents en cas de cancer central du poumon.

2) Sang dans les expectorations La présence de sang dans les expectorations peut être observée dans la tuberculose, la bronchectasie, le cancer du poumon, etc. Par rapport à l'hémoptysie dans la tuberculose et la bronchectasie, le cancer du poumon précoce présente moins de saignements, des expectorations mélangées, plus d'expectorations et moins de sang, ou des expectorations noires mélangées à du sang stagnant, ce qui est généralement dû à l'infiltration des capillaires par les cellules tumorales.

3. douleur thoracique et oppression thoracique Les patients atteints d'un cancer du poumon périphérique peuvent ressentir une légère douleur thoracique ou une oppression thoracique lorsque la tumeur tire sur la plèvre, ce qui n'est parfois pas facile à détecter.

4) Le doigt en pilon, également connu sous le nom de doigt en baguette, se manifeste par le fait que les extrémités des doigts et des orteils sont élargies comme des baguettes de tambour et que les ongles sont surélevés et incurvés. Le doigt en forme de pilon n'est pas propre au cancer du poumon, mais peut apparaître dans les bronchectasies, les abcès pulmonaires, les maladies pulmonaires interstitielles et les fistules artério-veineuses. Le doigt en forme de pilon apparaît plus tôt chez les patients atteints de cancer du poumon, souvent avant l'apparition des symptômes du cancer du poumon, ce qui constitue une manifestation précoce du cancer du poumon. Il a été rapporté que 20 % des patients atteints d'un cancer du poumon présentent un doigt d'honneur à un stade précoce et que la plupart d'entre eux disparaissent après une intervention chirurgicale sur le poumon. Toutefois, le pourcentage de patients atteints d'un cancer du poumon présentant un doigt en forme de pilon n'est pas aussi élevé.

5. amaigrissement inexpliqué L'amaigrissement des patients peut être commun à tous les cancers, mais tous les patients atteints de cancer du poumon ne présentent pas de manifestation d'amaigrissement. Si le régime alimentaire est normal, mais qu'il y a un amaigrissement inexpliqué au cours des 1 à 2 derniers mois, il est préférable d'aller à l'hôpital pour effectuer un examen physique complet.

Une grande partie des cancers du poumon surviennent dans le parenchyme pulmonaire, loin des bronches et de la plèvre pulmonaire, et ces patients ne présentent souvent des symptômes que lorsque la tumeur s'est métastasée ou a exercé une pression locale. Les groupes à haut risque comprennent les personnes qui ont fumé pendant longtemps et dont l'indice de tabagisme est supérieur à 400, ou qui ont arrêté de fumer depuis moins de 15 ans, ou qui ont été exposées au tabagisme passif pendant longtemps ; les personnes qui ont été exposées à la poussière, aux produits chimiques et aux substances radioactives pendant longtemps dans le cadre de leur travail ; les personnes qui ont des antécédents d'autres tumeurs ou des antécédents familiaux de cancer du poumon ; et les personnes qui souffrent de maladies pulmonaires chroniques, telles que la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC), la tuberculose, la fibrose pulmonaire et d'autres maladies. Il est conseillé aux personnes âgées de plus de 40 ans de passer chaque année un scanner thoracique pour le dépistage du cancer du poumon.

Il existe deux types de cancer du poumon les plus courants : l'adénocarcinome et le carcinome malpighien. Certains signes précoces nous rappellent qu'il faut le détecter à temps ! (Bien sûr, il y a aussi beaucoup de personnes qui ne présentent aucun symptôme au stade précoce et qui, dès qu'elles sont examinées, sont au stade avancé).

communmanifestation précoceEn voici quelques-unes :

1. découverte occasionnelle de sang dans les expectorationsChaque année, nous pouvons trouver une douzaine de cas de patients qui crachent une bouchée de crachats et trouvent du sang à l'intérieur, et qui viennent ensuite passer un scanner pour trouver un cancer du poumon à un stade précoce ou moyen, et la plupart de ces patients ont de bons résultats thérapeutiques ! Bien entendu, si les crachats sanguins ne sont pas un sujet de préoccupation, la sécheresse de la gorge, la fragilisation des petits vaisseaux sanguins, la rupture causée par l'apport d'eau, la consommation accrue de légumes pour compléter les vitamines sont autant de raisons qui expliquent cette situation.

2. toux sèche paroxystiqueLa toux sans raison, sans expectoration, est un réflexe de toux induit par les cellules cancéreuses précoces qui envahissent les récepteurs muqueux des voies respiratoires, car elle n'est pas accompagnée d'une inflammation des voies respiratoires, il n'y a pas d'exsudation et il n'y a pas d'expectoration.

3. l'examen physique révèle des marqueurs tumoraux élevésCe type de patient est parfois accompagné de faiblesse. Par exemple, la patiente suivante.

En raison de sa paresse et de sa faiblesse pendant plus de dix jours, il s'est rendu à l'hôpital et a demandé un test de dépistage des marqueurs tumoraux. Le résultat était vraiment problématique : le taux de NSE (neuron specific enolase) était presque 30 fois plus élevé, ce qui est une sorte de marqueur tumoral que l'on trouve couramment chez les patients atteints d'adénocarcinome ; il a ensuite subi un examen de tomodensitométrie thoracique, qui a détecté un cancer précoce du lobe supérieur du poumon droit. À l'époque, le chef du service de chirurgie thoracique a même plaisanté en disant queCe n'est vraiment pas une mauvaise chose que les lesbiennes fassent parfois des histoires !

L'adénocarcinome pulmonaire est plus fréquent chez les femmes de plus de 40 ans et le cancer du poumon malpighien est plus fréquent chez les hommes qui ont fumé pendant de nombreuses années ; il n'est donc pas inutile que ces deux groupes se fassent examiner régulièrement !

Mais en plus de ces deux caractéristiques communes, le cancer du poumon à petites cellules est souvent difficile à détecter à un stade précoce, car il progresse rapidement et donne des métastases tôt, comme dans le cas de cet homme de 65 ans qui a ressenti des douleurs thoraciques accompagnées d'une toux pendant une semaine :

Cancer du poumon à petites cellules de la partie inférieure droite avec métastases étendues des ganglions lymphatiques médiastinaux. Il a été démontré queLe cancer du poumon à petites cellules peut évoluer vers des stades avancés en l'espace de 60 à 90 jours et la détection précoce est difficile.Le plus important est que le cancer du poumon à petites cellules est souvent sensible à la radiothérapie et à la chimiothérapie. Heureusement, le cancer du poumon à petites cellules est souvent sensible à la radiothérapie et à la chimiothérapie, et les résultats du traitement à court terme sont généralement satisfaisants, mais son taux de récidive élevé reste un problème.

Bien sûr, les miracles sont partout, et il n'est pas rare de trouver des patients atteints de cancer du poumon à petites cellules qui ont survécu pendant 7 ou 8 ans sans récidive grâce à la chimiothérapie et à la radiothérapie. On constate également que le cancer du poumon à petites cellules est étroitement lié au tabagisme et à la pollution environnementale.Rester à l'écart du brouillard et fumer moins peut encore être bénéfique

La vie va et vient, et peut-être pas pour longtemps. Souvent, le corps envoie des signaux de détresse qu'il convient de prendre au sérieux ! Il vaut la peine de consacrer quelques centaines d'euros à des examens médicaux réguliers.

Je suis Howie the Diver, un père de famille, n'hésitez pas à me corriger ! ☕☕☕

Le cancer du poumon est une tumeur maligne primaire des poumons qui met en danger la santé et la vie de l'homme. Comprendre les premiers symptômes du cancer du poumon peut aider à le détecter à temps et à le traiter rapidement.

Symptômes précoces du cancer du poumon :

1. la toux.La toux a de nombreuses causes. En l'absence de stimulation externe, d'infection des voies respiratoires supérieures et de toux répétée de cause inconnue, il convient d'y prêter attention. Il peut s'agir d'une manifestation du cancer du poumon à un stade précoce et il est nécessaire de consulter un médecin à temps pour un examen.

2. sang dans les expectorations, hémoptysie.La présence de ces manifestations doit attirer l'attention sur le fait qu'il s'agit d'une manifestation précoce du cancer du poumon. Lorsque la tumeur maligne envahit les vaisseaux sanguins, elle provoque la rupture de ces derniers, ce qui entraîne la présence de sang dans les expectorations et l'hémoptysie.

3. l'hypothermie.Si le cancer obstrue les bronches, on observe généralement un lobe pulmonaire obstructif, avec des manifestations plus ou moins importantes, allant de manifestations légères de fièvre légère à une forte fièvre dans les cas graves.

4. gonflement et douleur de la poitrine.Une légère douleur thoracique est présente, se manifestant par une oppression et une douleur vague dans la poitrine. La présence persistante d'une douleur générale de distension indique que le cancer a probablement atteint la plèvre.

Causes prédisposantes du cancer du poumon :

1. un tabagisme important, qui peut facilement conduire à la formation d'un cancer du poumon.

2. les antécédents familiaux, lorsqu'il y a des antécédents de la maladie dans la famille proche.

3. l'exposition à la pollution, telle que le travail dans la pollution radioactive, l'exposition à la pollution chimique, physique, etc., est susceptible de provoquer des lésions cellulaires ; à long terme, dans cet environnement, les personnes ont besoin d'un examen médical régulier.

C'est un cliché.

De nombreux cancers du poumon à un stade précoce ne présentent aucun symptôme et la grande majorité des cancers du poumon à un stade précoce sont détectés par un examen physique. Sur la base des faits ci-dessus, il est irréaliste d'espérer que le cancer du poumon puisse être détecté par des symptômes.

En l'état actuel des choses, seul un faible pourcentage de patients peut développer des symptômes aux premiers stades : la toux reste l'un des principaux symptômes les plus probables d'un cancer du poumon au stade précoce.

Étant donné que le cancer central du poumon se développe près des voies respiratoires principales, certains patients présenteront des symptômes d'irritation bronchique au stade précoce, provoquant ainsi une toux sèche irritante ou accompagnée d'une petite quantité d'expectorations ou d'expectorations contenant du sang. Par conséquent, les personnes souffrant d'une toux inexpliquée qui dure longtemps devraient faire attention à l'examen de leur thorax. En cas d'enrouement, d'essoufflement ou même de gonflement de la tête et du visage, il s'agit essentiellement d'un stade avancé.

Le cancer du poumon périphérique ne présente aucun symptôme au stade précoce car il est éloigné de la trachée et de la bronche principale. Par conséquent, cette partie des patients ne présente aucun symptôme pulmonaire et la plupart d'entre eux sont finalement identifiés comme des métastases du cancer du poumon par l'apparition d'une tumeur métastatique au moment de la consultation médicale et, à ce moment-là, ils sont déjà des patients à un stade avancé.

C'est pourquoi le dépistage précoce du cancer du poumon est très important : les personnes âgées de plus de 50 ans qui fument depuis longtemps ou celles qui ont des antécédents d'autres expositions dangereuses doivent subir une fois par an une tomodensitométrie hélicoïdale à faible dose. En outre, les patients ayant des antécédents de cancer du poumon dans leur famille proche font également partie du groupe à haut risque, ce qui nécessite des examens physiques et des dépistages réguliers.

À proprement parler, le cancer du poumon au stade précoce ne présente pas de symptômes spécifiques. La grande majorité des cancers du poumon sont détectés lors d'examens physiques ou lors d'examens d'imagerie tels que le scanner thoracique pour d'autres raisons. De ce point de vue, cela signifie également qu'il est très important d'avoir un examen physique normal et un examen d'imagerie des poumons. Ceci est particulièrement vrai pour certains groupes à risque, tels que les fumeurs, les personnes âgées, les personnes ayant des antécédents familiaux de tumeurs ou de cancer du poumon, et les personnes ayant déjà souffert d'une maladie pulmonaire.

Pour ces groupes à haut risque, nous mettons l'accent sur le dépistage annuel par scanner thoracique. De cette manière, davantage de cancers du poumon précoces seront détectés.

Les symptômes du cancer du poumon sont tous causés par la compression de la tumeur ou des métastases de la tumeur. Par exemple, si la tumeur comprime les poumons ou la trachée et les bronches, elle entraîne une toux, des expectorations, voire une hémoptysie. Dans certains cas, la tumeur a obstrué la trachée ou les bronches, provoquant une inflammation obstructive à l'extrémité distale, et le patient aura de la fièvre et d'autres symptômes inflammatoires.

Lorsqu'une tumeur comprime des structures importantes telles que les vaisseaux sanguins et le cœur, elle peut entraver la circulation sanguine. Par exemple, la compression de la veine cave supérieure peut entraîner un syndrome de la veine cave supérieure, et des œdèmes peuvent apparaître dans les membres supérieurs, comme le visage.

Dans l'ensemble, le stade le plus précoce du cancer du poumon présente rarement des manifestations cliniques spécifiques. Lorsque des manifestations cliniques apparaissent dans les poumons, il est d'autant plus important d'y prêter attention et de les faire examiner en temps utile.

Pour en savoir plus sur la chirurgie thoracique, veuillez suivre mon titre [Dr Joe VIP Chirurgie thoracique].

Parmi toutes les maladies oncologiques, le cancer du poumon présente les taux de morbidité et de mortalité les plus élevés. Pourquoi tant de personnes souffrent-elles du cancer du poumon ? Parce qu'il y a plus de 400 millions de fumeurs en Chine ! Si le tabagisme n'existait pas, le cancer du poumon serait une maladie rare !
Quels sont donc les signes précoces du cancer du poumon ?

Malheureusement, la plupart des patients atteints de cancer du poumon ne présentent rien de typique aux premiers stades de la maladie. Parlons de deux cas récents de patients atteints de cancer du poumon. Le premier est un patient de 64 ans chez qui on a diagnostiqué un cancer du poumon, qui a reçu plus de 20 fois de la radiothérapie, près de 10 fois de la chimiothérapie, et finalement les globules blancs sont presque tombés à 0, presque la perte de la fonction immunitaire, en plus du cancer du poumon comme la maladie primaire, et la pneumonie interstitielle, les poumons ont une combinaison d'infections fongiques et bactériennes, les patients avec une insuffisance respiratoire sévère, suffoquant à la mort, et finalement dans l'état de la machine respiratoire et des médicaments sédatifs pour mettre fin à sa vie.

L'autre était un homme de 61 ans, en bonne santé, sans hypertension, hyperlipidémie, diabète, etc., qui s'est présenté avec une hémoptysie, et après que je lui ai fait passer un scanner thoracique, un autre long soupir (film ci-dessous)... Et ces deux vieillards avaient des antécédents de tabagisme important !

Certains symptômes moins typiques, tels qu'une toux sèche irritante, un essoufflement ou une respiration sifflante, peuvent être des manifestations d'un cancer du poumon au stade précoce, mais ces symptômes atypiques ne peuvent guère jouer un rôle précieux dans le diagnostic précoce du cancer du poumon. Et le statu quo actuel est qu'environ 86 % des patients meurent dans les cinq ans qui suivent le diagnostic du cancer du poumon !

Par conséquent, il est préférable de pouvoir arrêter de fumer, et si vous ne voulez pas arrêter, alors pour les gros fumeurs (plus de 5 cigarettes par jour) de plus de 40 ans, un dépistage annuel par tomodensitométrie à faible dose est le seul moyen de pouvoir le détecter à un stade précoce. Pour les non-fumeurs, il est nécessaire de refuser le tabagisme passif, de prendre des mesures de protection contre la brume et d'installer une meilleure hotte de cuisine (les fumées de cuisson ne doivent pas être sous-estimées) !


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Je suis le Dr Little Shadow, un médecin spécialiste de l'imagerie. Le cancer du poumon peut ne présenter aucun symptôme à un stade précoce, ou des symptômes tels que des douleurs thoraciques, une oppression thoracique, une toux et une hémoptysie. Si ces symptômes apparaissent à un stade précoce, et que le patient se rend à la clinique et découvre le stade précoce du cancer du poumon, on peut considérer qu'il a de la chance. En effet, le traitement du cancer au stade précoce est très efficace et 80 % des patients peuvent être guéris. La plupart des gens n'ont aucun symptôme au stade précoce, et lorsqu'ils ont des symptômes et vont chez le médecin, malheureusement, le cancer est déjà à un stade avancé.

Partage de cas cliniques

J'ai parlé aujourd'hui de deux tomodensitogrammes pour le cancer du poumon.

1. douleur thoracique pendant une journée, stade précoce du cancer du poumon

Un homme de 45 ans se présente avec des douleurs thoraciques depuis un jour. Une journée de douleur thoracique peut sembler une courte période, mais un scanner a été réalisé et la masse mesurait déjà 3 cm de long, soit au moins 3 mois.

Cette masse se rapproche de la plèvre et grossit de plus en plus, tirant sur la plèvre locale et provoquant des symptômes douloureux, ce qui se traduit par une douleur thoracique. Si la masse se développe un peu à l'intérieur et ne tire pas sur la plèvre, il se peut qu'il n'y ait pas de symptômes. On s'attend à ce qu'il vienne à la clinique beaucoup plus tard. Le site de croissance d'une lésion détermine donc également les symptômes qui apparaissent et le stade du diagnostic. Si vous avez des symptômes précoces, vous avez de la chance de l'attraper tôt.

Comment les médecins spécialistes de l'imagerie diagnostiquent-ils le cancer du poumon ? Regardez la morphologie de cette lésion, vous pouvez voir qu'elle présente une croissance très irrégulière sur le bord, longue d'un côté et courte de l'autre, comme une pieuvre. En médecine, il existe un terme pour décrire les lésions malignes, appelé "crabsfoot-like", c'est-à-dire que la croissance est très irrégulière et qu'elle est infiltrée à la périphérie. Les tumeurs malignes se développent rapidement, chaque endroit fait des pieds et des mains pour se développer en premier, de sorte que le taux de croissance est très irrégulier, ce qui se manifeste par une forme d'irrégularité.

Il est encore considéré comme chanceux, aucune métastase d'autres sites n'ayant été trouvée pour le moment. Après l'ablation chirurgicale, les chances de guérison sont relativement élevées.

2. hémoptysie pendant un jour, cancer du poumon avancé

Il s'agit d'un patient qui s'est présenté aux urgences juste après 18 heures. C'est un homme de 51 ans. L'hémoptysie est une consultation d'un jour. L'hémoptysie consiste à cracher du sang au lieu de mucosités. Quoi qu'il en soit, il est temps de consulter un médecin. Une radiographie du thorax a été effectuée et a révélé que le lobe supérieur du poumon droit était occupé. Le cliché du thorax n'était pas clair, on ne voyait qu'une ombre, et il a été suivi d'un scanner.

Le scanner a révélé une masse dans le lobe supérieur du poumon droit avec des bords mal définis, empiétant sur la bronche, et la bronche du lobe supérieur était occluse avec une pneumonie obstructive. Il y avait une accumulation de sang dans les alvéoles. Il y a également une lésion métastatique dans la glande surrénale gauche. Le cancer du poumon peut facilement métastaser dans la glande surrénale par le biais de la circulation sanguine, et malheureusement, ce patient a développé des métastases.

Pourquoi souffrez-vous d'hémoptysie ? Le cancer est riche en sang et tout cancer qui se développe a tendance à saigner, quelle que soit la partie du corps où il se trouve. Il en va de même pour le cancer de l'intestin, et les selles seront donc sanglantes.

Deux patients à peu près du même âge, l'un souffrant de douleurs thoraciques et l'autre d'hémoptysie, se sont présentés à la clinique, tous deux avec une date d'apparition d'un jour, mais avec des pronostics et des traitements différents. Dans les deux cas, il s'agit d'un cancer en pleine croissance, qui se développe sur des sites différents, qui présente des symptômes différents et qui est stadifié différemment lorsqu'il est détecté. Certaines personnes découvrent un cancer à un stade précoce parce qu'elles sont amenées à faire un bilan de santé, mais en fait, elles sont bénies par la catastrophe.

Le cancer du poumon à un stade précoce peut faire l'objet d'un dépistage complet et l'outil actuel est un examen physique par tomodensitométrie thoracique à faible dose. Il est recommandé aux personnes âgées de plus de 40 ans, ayant des antécédents de tabagisme et des antécédents familiaux de cancer du poumon, de subir un examen annuel par tomodensitométrie thoracique.

Dans la société moderne, de plus en plus de personnes souffrent de maladies respiratoires dues aux risques de la pollution environnementale, du tabagisme et de facteurs professionnels, et la plus redoutable d'entre elles est le cancer du poumon. Selon les statistiques du Centre national du cancer, le taux d'incidence du cancer du poumon est le premier parmi les tumeurs malignes masculines et le deuxième parmi les tumeurs malignes féminines dans le pays, et il y a environ 781 000 nouveaux cas de la maladie chaque année, des données aussi importantes nous avertissent que nous devons accorder plus d'attention au cancer du poumon et prévenir son apparition.

La plupart des cancers du poumon ne présentent pas de symptômes spécifiques au stade précoce, et lorsque des symptômes évidents apparaissent, la plupart d'entre eux ont déjà atteint le stade avancé et ont manqué la meilleure période de traitement chirurgical, c'est pourquoi la prévention au stade précoce est particulièrement importante. Nous allons voir ici quels sont les symptômes du cancer du poumon à un stade précoce. Quels sont les symptômes qui suggèrent que nous devrions chercher un traitement médical le plus tôt possible ?

1) Toux Le premier symptôme du cancer du poumon est généralement la toux. Lorsque certains patients qui n'ont pas d'antécédents de toux chronique souffrent d'une toux chronique qui n'a pas été guérie, ou lorsque certains patients qui ont des antécédents de toux mais que cette fois-ci le début de la maladie est différent de la nature précédente, et qu'il y a une toux sèche paroxystique avec des expectorations blanches, mousseuses ou purulentes, etc.

2) Crachats sanglants Les patients doivent être particulièrement vigilants s'ils ont de petits crachats sanglants répétés et des hémoptysies occasionnelles, surtout s'ils sont âgés de plus de 40 ans.

(3) Essoufflement Bien que les patients atteints d'un cancer du poumon au stade précoce ne présentent pas de phénomène de compression tumorale, ils peuvent également présenter un essoufflement et une fatigue, ainsi qu'un essoufflement après des activités.

4) Douleur thoracique Certains patients ressentent une constriction thoracique occasionnelle dans les premiers stades de la maladie, mais ne sont pas en mesure de fournir une description détaillée de la nature de la douleur ou de sa localisation exacte.

(5) Perte de poids Certains patients présentent une perte de poids importante sans cause évidente, en particulier lorsque ces patients constituent le groupe à forte incidence de cancer du poumon, ce qui nous rappelle également de prendre en compte cet aspect.

Par conséquent, lorsque les symptômes susmentionnés apparaissent, il est nécessaire d'effectuer un traitement régulier de manière opportune et efficace, car une détection et un traitement précoces permettent un meilleur rétablissement ultérieur. En particulier pour les personnes qui fument beaucoup et qui sont exposées à un environnement pollué pendant une longue période, il est préférable de procéder régulièrement à un examen par tomodensitométrie thoracique afin de prévenir l'apparition de la maladie.

Réponse : Yan Jiaojiao, maître en médecine

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